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  1. Bonjour, Vous venez d'acheter un NAS et vous ne savez pas par ou commencer, et bien nous allons voir ensemble les principales étapes les plus importantes et surtout prioritaires afin d'éviter de futurs problèmes ! Un NAS, c'est un serveur de stockage en réseau. Il est donc important que le système soit correctement installé et surtout sécurisé. Il est vivement recommandé de suivre toutes ces étapes ci-dessous et surtout d'essayer de les comprendre ! Si vous avez des questions, vous pouvez bien entendu les poser à la suite de ce tutoriel ou sur les tutoriels en question indiqués ci-dessous quand ça concerne un de ces derniers. INSTALLATION DE DSM Pour installer DSM, ce n'est pas compliqué et il suffit de suivre étape par étape ce qui est demandé sur votre écran. On va voir les grandes étapes ci-dessous : Recherche du NAS : On part du principe que vous avez déjà installer un (ou plusieurs) disques dur vierges dans votre NAS et que ce dernier est allumé. Vous avez même déjà entendu le bip sonore qui indique que le NAS est fonctionnel. Si vous ne savez pas comment aller consulter votre routeur pour connaitre l'adresse IP du NAS, je vous recommande de télécharger l'utilitaire "Synology Assistant" qui se chargera de trouver votre NAS sur votre réseau. https://www.synology.com/fr-fr/support/download Vous pouvez aussi essayer de le trouver en consultant ce lien : http://find.synology.com/ NOTE : certaines extensions de sécurité sur votre navigateur peuvent bloquer la recherche sur le réseau local ce qui a été mon cas sous Firefox ce qui m'a obligé à faire une recherche du NAS avec le navigateur Iridium pour ce tutoriel. Installation de DSM : (version 6.2.1 au moment de la rédaction de ce tutoriel) On a le choix entre l'installation de DSM en mode manuel ou en mode téléchargement. J'avais personnellement téléchargé le fichier .pat pour l'installer en local. Pour se faire, j'ai récupérer le fichier .pat sur mon ordinateur. Message d'avertissement qui préviens de la suppression des données sur les disques. On doit remplir ces champs qui sont dans l'ordre : nom du serveur > compte administrateur > mot de passe > confirmation du mot de passe. Ne mettez pas des noms génériques comme administrateur, administrator, admin etc... Et surtout utilisez un mot de passe long et compliqué. Le top étant une passphrase. Ex : Je suis allé avec ma femme chez le fleuriste en mai 2019. On nous demande si on veut utiliser le service QuickConnect. Je vous conseille de cliquer sur "Skip this step" (sauter cette étape). Comme expliqué un peu partout sur le forum, nous ne recommandons pas ce service ! En cliquant sur "Skip this step", nous obtenons ce message : "Si vous ignorez cette étape, vous devrez configurer la redirection de port pour accéder à distance à votre diskstation via Internet." Ca tombe bien, le tuto de Fenrir recommandé un peu plus loin dans ce tuto en parle de la redirection de ports 😜 L'installation de DSM commence. Une fois l'installation terminée, ça nous demande si l'on souhaite que le NAS sur le réseau soit reconnu pour le domaine find.synology.com Libre à vous de lire les conditions générales et d'accepter ou non. Perso, je refuse ! L'installation de DSM est persque terminée. On clique sur Got It. Et enfin, on nous demande si on veut partager des statistiques avec Synology (et peut-être avec d'autres partenaires de Synology comme Google). Libre à vous d'accepter ou refuser, perso, je refuse ! Voilà, DSM est installé 🙂 Nous recommandons aussi vivement de tester vos disques durs avant de les mettre en production. Pour se faire, je vous recommande ce très bon tuto. Choisir son RAID : Le système RAID (Redundant Array of Independent Disks) est une technologie de stockage qui permet de combiner plusieurs disques durs en un seul espace de stockage. Il existe différents types de RAID, chacun fournissant différents niveaux de performance, de capacité de stockage et de fiabilité. En gros car j'en ai certainement perdu quelques un d'entre vous, si on utilise par exemple un RAID 1 avec deux disques durs dans le NAS, ça veut dire que les premier disque dur est cloné sur le deuxième à l'identique. Si un des deux disque dur tombe en panne alors le serveur peut continuer à fonctionner sous réserve de remplacer rapidement le disque dur tombé en panne. NOTE : le système RAID est utilisé principalement pour de la continuité de service et en aucun cas comme de la sauvegarde ! Voici une page mise en place par Synology pour simuler/comparer un RAID. https://www.synology.com/fr-fr/support/RAID_calculator Pour choisir un type de RAID, vous pouvez aussi visiter ce lien : https://www.synology.com/fr-fr/knowledgebase/DSM/help/DSM/StorageManager/storage_pool_what_is_raid En général, on appliquera un RAID 1 (SHR) pour deux disques durs et un RAID 5 (SHR) pour trois/quatre disques durs. Voici un guide qui en dira aussi pas mal sur les volumes, groupe de disques, RAID/SHR, système de fichiers etc... 😉 ALIMENTATION Onduleur : Il est important de prendre en compte que votre NAS contient de l'électronique et surtout des disques durs mécaniques. Ces disques durs et l’électronique n'aiment pas du tout les surtensions et encore moins les coupures de courant inopinées ! Nous vous recommandons donc vivement de mettre entre la prise électrique et le NAS ce qu'on appelle un onduleur afin d'éviter de subir des pertes de données et même pire votre matériel. Le but de l'onduleur sera de réguler correctement la tension mais aussi de prévenir en cas de soucis sur la ligne électrique. Dans ce cas, si c'est bien configuré, le NAS pourra passer en mode sans echec Pour plus d'explications sur le sujet, je vous renvoi vers cette page qui l'explique très bien : http://www.europ-computer.com/dossiers/dossier_6_18.html Dans le cas ou vous auriez un onduleur, il faut bien entendu l'ajouter au NAS. Il y a deux possibilités pour faire cela. Brancher l'onduleur sur le NAS directement Connecter le NAS à l'onduleur via son serveur si il est déjà sur un autre NAS par exemple. Nous allons voir la première possibilité. Branchez votre onduleur sur le NAS et rendez-vous sur : Panneau de configuration > Matériel et alimentation > UPS c'est ici que vous pourrez ajouter votre onduleur. Pour l'ajout d'un onduleur qui est en mode serveur, ça sera pratiquement la même chose. Extinction et/ou hibernation : Un NAS, ce n'est pas qu'un simple disque dur et nous ne recommandons pas d'éteindre votre NAS régulièrement. Nous sommes en 2019 et ces appareils ont été fabriqués pour tourner 7/7 H24. Le faite de redémarrer régulièrement un NAS (plusieurs fois par jour) peut user prématurément les disques durs. Quant à l'hibernation des disques durs, c'est vivement déconseillé de le faire sur un NAS ! Petite exception : Si comme moi ou d'autres membres, vous avez un NAS qui est destiné uniquement à recevoir et stocker des sauvegardes de temps en temps (une fois par jour par exemple), alors vous pouvez le configurer pour qu'il s'éteigne et s'allume automatiquement avant le lancement de la sauvegarde. Pour se faire, nous allons aller sur : Panneau de configuration > Matériel et alimentation > Planif. alim Sur cette fenêtre, on peut créer des règles pour éteindre ou allumer le NAS. On peut aussi laisser le NAS allumé en permanence et choisir uniquement de mettre en veille les disques durs (je rappelle que ce n'est pas conseillé de le faire régulièrement). Pour se faire, on se rend sur : Panneau de configuration > Matériel et alimentation > Hivernation du disque dur Et là, on peut choisir la durée de non utilisation des disques durs avant qu'ils ne passent en veille. Note : il faut prendre en compte que la sortie de veille peut prendre quelques instants. Pourquoi mes disques durs ne rentrent pas en hibernation ? Certains services désactivent l'hibernation des disques durs. Voici la liste de ces services : https://www.synology.com/fr-fr/knowledgebase/DSM/tutorial/Management/What_stops_my_Synology_NAS_from_entering_System_Hibernation SAUVEGARDE Il est aussi très important d'envisager un moyen de sauvegarde pour vos données. Pour se faire, je vous redirige vers ce tutoriel : SÉCURITÉ Sécurisation : Maintenant que votre NAS est installé et qu'il est fonctionnel, il faut penser en priorité à sa sécurisation. C'est le point le plus important avant de l'utiliser et vouloir le mettre en production ! Pour la sécurité de votre NAS, rien de mieux que de suivre le très bon tutoriel de Fenrir 😉 J'ajouterais que pour l'ouverture des ports, Synology répertorie tous les ports utilisés par défaut sur un NAS Synology. En voici le lien : https://www.synology.com/fr-fr/knowledgebase/DSM/tutorial/Network/What_network_ports_are_used_by_Synology_services Bien entendu, nous vous recommandons vivement d'utiliser uniquement les ports 80 (uniquement avec une redirection automatique) et 443 avec un Reverse Proxy d'installé (lien du tuto plus bas). Accès VPN : Si vous avez une bonne connexion internet et que vous voulez ouvrir votre NAS vers l'extérieur, nous vous recommandons aussi vivement d'utiliser un accès VPN. Pour se faire, autant continuer avec Fenrir et son super tuto 🙂 DIVERS Voici quelques petites astuces qui pourraient vous sauver la vie ou faciliter votre quotidien avec votre NAS. Journal : Pour avoir un aperçu de ce qui est fait sur le NAS, nous pouvons utiliser le paquet "Centre des journaux". Ce dernier se présente ainsi : On peut en cliquant sur l'onglet "Journaux" voir toute la journalisation du système sur le NAS. On peut aussi affiner une recherche : File Station : Pour la journalisation de ce qui est fait sur le NAS au niveau de la manipulation des fichiers, nous allons activer le journal de File Station. Ça aura pour conséquence de mémoriser dans le journal la création de répertoires/fichiers, modifications, suppressions etc... ce qui peut être pratique pour remonter à la source d'un problème rencontré. File Station > Paramètres Le journal se présentera comme ceci en détaillant ce qui a été fait et par qui. Corbeille : Je vous recommande vivement d'activer les corbeilles sur vos dossiers partagés. Ça aura pour conséquence qu'en cas de suppression accidentelle, vous pourrez avoir un moyen de récupérer ces données. Je pars du principe que si la corbeille n'est pas activée alors les données sont perdues définitivement. Il y a bien des moyens d'essayer de récupérer ses données mais ce n'est pas fiable à 100% et ça peut prendre beaucoup de temps. Autant l'appliquer de suite 🙂 NOTE : l'activation de la corbeille n'est pas généralisée pour tous les dossiers partagés. Il faut donc le faire pour chaque dossier partagé 😉 Dossier qu'on créer en direct : Dossier partagé déjà créé : Panneau de configuration > Dossier partagé > (clic droit sur un dossier partagé existant puis modifier) On peut ensuite aller voir notre dossier partagé et y trouver la corbeille. On peut bien évidemment consulter la corbeille et restaurer les données supprimées. Corbeille : On peut aussi programmer le vidage des corbeilles automatiquement. On se rend sur : Panneau de configuration > Dossier partagé > Action > Créer une planification de vidage de la Corbeille On est redirigé sur le planificateur de tâches et une nouvelle fenêtre s'ouvre. On lui donne un nom puis on se rend sur l'onglet "Programmer". On choisit la programmation souhaitée du lancement de la tâche puis on se rend sur "Paramètres de tâche". Ensuite, on a différent paramètres : Choix des corbeilles à vider. On peut choisir la corbeille d'un dossier partagé, de plusieurs dossiers partagés ou les corbeilles de tous les dossiers partagés. On peut appliquer une politique de conservation. Ex : pas de suppression des données ayant une ancienneté de moins de 7 jours. Nous avons aussi des paramètres avancés que je liste juste en dessous. Le bouton "Paramètres avancés" propose ceci comme options : Une fois validé, on retrouve la tâche dans le planificateur de tâche (désactivé pour le tuto) : Panneau de configuration > Planificateur de tâches Autres Nom de domaine Si vous comptez utiliser un nom de domaine, voici un sujet qui en parle : Avec ça, je vous recommande le tuto de Fenrir sur l'installation d'un serveur DNS : Puis pour aller un peu plus loin, l'utilisation d'un proxy inversé : FIN DU TUTO
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  2. Bonjour, Je vois encore trop de personnes cherchant de l'aide sur l'utilisation de leurs adresses IP pour se connecter à leurs serveurs à distance ou pour partager des données. Je vais donc vous expliquer ci-dessous pourquoi je vous recommande vivement de prendre un nom de domaine. D'abord, on va casser le mythe tout de suite, un nom de domaine, c'est pas cher quand on prend en compte qu'on vient de dépenser pas mal d'argent dans un NAS et des disques durs ainsi qu'un onduleur et un moyen de sauvegarde. Le site OVH (français) par exemple, propose sa propre extension (.ovh) pour moins de 4 euros par an. Je paie moins de 10 euros par an pour un .fr chez eux par exemple. Il existe beaucoup de "registrar" mais je recommande toujours OVH parce qu'il est français, fiable et qu'il permet de travailler avec une IP dynamique via un service DDNS. Il propose aussi différentes API qui peuvent plaire à certains. J'utilise par exemple une API OVH pour la validation de mes certificats Wildcard de Let's Encrypt. Pourquoi ne pas utiliser Quickconnect ? Vous pourriez le lire assez souvent sur le forum, nous ne conseillons pas du tout la fonction QuickConnect intégrée au NAS Synology et en voici les raisons principales. Tout le trafic lié à votre NAS passe par des serveurs tiers. La qualité de connexion et de transit des données est lié au bon fonctionnement des serveurs tiers or on constate régulièrement chez les membres qui utilisent QuickConnect que ça ne fonctionne pas si bien que ça. C'est souvent très lent quand ça fonctionne. On ne contrôle absolument pas ce moyen de connexion et de communication. Adresse IP fixe et adresse IP dynamique : Une adresse IP, c'est un peu comme votre numéro de sécurité sociale. Elle est liée à un propriétaire (le client déclaré chez l'opérateur). C'est d'ailleurs comme ça que fonctionne la fameuse HADOPI quand ils attrapent quelqu'un sur la toile. Ils contactent l'opérateur en fournissant l'adresse IP, la date et l'heure et l'opérateur sait tout de suite quel client avait cette adresse IP à ce moment précis. Ils se fichent par contre de savoir QUI exactement utilisait la connexion à ce moment là. Ils partent du principe que le responsable, c'est le client déclaré chez l'opérateur. Aujourd'hui, il existe trois types d'adresses IP qui nous concerne quand on prend un abonnement internet chez un opérateur. IP fixe IP dynamique IP fixe partagée L'IP fixe (aussi appelée IP statique), c'est ce que tout le monde voudrait. Une IP qui ne change jamais est idéale pour héberger des services sur lesquels on voudrait un accès externe. L'IP dynamique, elle change régulièrement et ça sans prévenir. Mais on peut travailler avec un service DDNS qui sera chargé de surveiller ces changements d'IP régulièrement pour mettre à jour le système automatiquement. L'IP fixe partagée, c'est une plaie mais à ma connaissance, seul Free le fait pour certains clients et les clients peuvent facilement demander une IP fixe via le site internet de Free. Elle a pour conséquence de partager la même IP fixe entre plusieurs clients mais en séparant en plusieurs parties la plage de ports. Un premier client aura la chance d'avoir par exemple les ports 22, 80, 443 etc... quand les autres devront faire sans. La plupart des clients ne voient pas le soucis quand ils ne font que de la visite de sites/blogs ou du visionnage youtube mais pour quelqu'un utilisant ces ports pour de l'hébergement, ça devient tout de suite problématique si il a pas la chance de les avoir. D'autres soucis peuvent s'ajouter à ça comme le bannissement sur un jeu ou un site internet de l'IP à cause d'un client et c'est tous les autres clients ayant cette IP partagée qui seraient punis. Voici en gros les principaux opérateurs français et si ils offrent une IP fixe, dynamique ou partagée. Orange : IP fixe (option chère) et IP dynamique d'office (fibre et ADSL) SFR : IP fixe (fibre) et IP dynamique (ADSL) Free : IP fixe (fibre et ADSL) et IP partagée (fibre et ADSL) Bouygues : IP fixe (fibre, ADSL), IP dynamique (câble) Si vous avez une adresse IP partagée, vous pouvez demander une adresse IP fixe fullstack rien que pour vous 🙂 Pour se faire, il vous suffit d'en faire la demande sur votre espace client sur free.fr Voir ce site qu'il l'explique un peu plus en détail : https://www.freenews.fr/freenews-edition-nationale-299/fibre-optique-125/loption-ip-fixe-finalement-disponible-freebox-fibre-zmd Pourquoi prendre un nom de domaine ? Un nom de domaine est plus facile à retenir et donc à partager qu'une adresse IP. D'autant plus si cette dernière n'est pas fixe ! Un nom de domaine ne fait pas peur au grand public contrairement à une adresse du type : 98.172.34.29 On peut utiliser plusieurs domaines différents sur une même IP alors que vous ne pourrez pas utiliser plusieurs IP sur une même IP. (mondomaine1.fr, mondomaine2.com) On peut utiliser d'autres domaines sur son propre domaine (ndd.tld, video.ndd.tld, mail.ndd.tld etc...). Ça fait quand même plus professionnel. Votre adresse IP peut changer même dans le cas d'une IP fixe (changement d'opérateur ou déménagement par exemple) mais pas votre nom de domaine. On peut cacher les ports des différents services (5000, 5001, 8080 etc...) qu'on met en ligne en utilisant les ports connus 80 et 443 via un proxy inversé ou virtual host. On peut obtenir un certificat SSL pour son domaine. Est-ce facile à mettre en place ? Oui, c'est très facile à faire et ça ne prend que quelques minutes maximum. Un peu long à se valider (24h max en général et en 2h chez OVH) parce qu'il faut que votre nouveau domaine créé se propage (se fasse connaître en gros) partout sur la planète à travers une multitude de serveurs DNS. Voici la procédure : Rendons-nous sur la page officielle d'OVH pour choisir notre nouveau nom de domaine : https://www.ovh.com/fr/domaines/ Une fois le domaine libre choisi, on passe commande comme on passerait une commande sur Amazon. Pour les options, à vous de voir ce dont vous avez besoin 😉 Une fois la commande passée et finalisée, on va se rendre sur la page de configuration : https://www.ovh.com/manager/web/index.html#/configuration Le nom de domaine dans ce tuto n'est plus utilisé et sera résilié dans le courant de l'année 2019. Merci donc de ne pas le spammer par respect du potentiel prochain acquéreur. Pour une IP FIXE : Nous allons nous rendre sur notre nom de domaine puis sur notre zone DNS Il suffit d'indiquer son IP fixe dans la cible et valider. On laisse vide le champ "sous-domaine". Pour obtenir votre adresse IP fixe, on peut visiter ce site par exemple : https://mon-ip.io/ Une fois cettre entrée validée, on peut surveiller la propagation DNS afin de s'assurer qu'elle a bien été prise en compte. https://www.whatsmydns.net/ Selon les registrars, la propagation peut durer 24h environ. Chez OVH, je n'ai jamais dépassé les deux heures. Pour une IP DYNAMIQUE : C'est légèrement différent pour une IP dynamique puisqu'il faudra passer par le service DDNS. Premièrement, nous allons supprimer l'entrée A si il en existe une qui aurait été créé par OVH pendant la mise en place du domaine. C'est ici que ça se passe : Ensuite, nous allons créer une règle DynHost. Il suffit d'indiquer un domaine et son IP dynamique dans la cible et valider. Pour obtenir votre adresse IP, on peut visiter ce site par exemple : https://mon-ip.io/ Ensuite il faut créer un identifiant afin qu'il puisse gérer les changements d'IP. On indique les informations en prenant en compte ce qu'on avait déjà rempli précédemment. Maintenant, on va se rendre sur le NAS dans "Panneau de configuration > Accès externe > DDNS" puis on clique sur Ajouter : On a plus qu'à entrer ce qu'on a fait précédemment sur notre compte OVH. On teste la connexion et on devrait obtenir un statut "normal" comme ci-dessous. On clique sur Ok pour valider. Pareil que pour l'IP FIXE, on va pouvoir surveiller la propagation de notre domaine dans le monde avec le lien ci-dessous : https://www.whatsmydns.net/ Voilà, maintenant que l'on a configuré son IP avec son domaine, on peut créer le transfert de port sur notre routeur et l'ouverture sur le pare feu du NAS. Vous avez deux possibilités : Ouvrir chaque port pour chaque service et ainsi vous devrez taper votre domaine suivi du port (ex : ndd.tld:8888). Un peu chiant si on a pas mal de services... Ou alors ouvrir un seul port qui sera le port 443 (et éventuellement le port 80 avec une redirection auto vers le 443) et ça pour que ce soit fonctionnel pour chaque domaine. Pour la première option, je vous laisse vous tourner vers votre moteur de recherche préféré pour savoir comment transférer un port de votre modem/routeur à votre NAS. Pour la partie NAS, le tuto de sécurité de Fenrir parle de l'ouverture de port. Si vous avez choisi comme la plupart des membres d'accéder à tous vos services par l'unique port 443, alors il vous faudra suivre le tuto de @Kawamashi 🙂
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  3. Bonjour, Qu'est-ce que Emby ? Réunir toutes vos vidéos, votre musique et vos photos personnelles au même endroit n'a jamais été aussi simple. Votre serveur Emby 100% personnel diffuse automatiquement vos fichiers multimédias pour qu'ils soient lus sur n'importe quel appareil depuis chez vous ou partout dans le monde. Il m'arrive un peu trop souvent de devoir expliquer l'installation d'Emby ici ou ailleurs alors je fais un petit tuto rapide pour montrer la config dans Docker. Les sept principales différences avec Plex sont : 1. 100% open source (sources disponibles sur leur Github). Certains bouts de codes seront bientôt fermés. 2. Serveur 100% personnel. Sur Plex, il faut à la fois faire connaitre son serveur chez eux mais aussi passer par leurs serveurs continuellement... 3. Respect de votre vie privée ! Ne traque pas ses utilisateurs avec des collectes de données. Du côté de Plex, en plus de traquer leurs utilisateurs, ils le font en passant par les services de Google... Notre serveur Emby : Notre serveur Plex : 4. Un serveur Emby est plus léger qu'un serveur Plex. 5. Les développeurs sont à l'écoute de leurs clients (voir le forum officiel). 6. Emby est personnalisable. 7. Possibilité d'installer des plugins (gratuit/payants). C'est encore le cas chez Plex mais plus pour longtemps selon les dernières informations sorties. Prérequis : Installer Docker sur son NAS. Avoir un compte spécifique pour Emby en lecture seule sur sa médiathèque. On commence par télécharger Emby : Ensuite, on installe l'image : A ce moment précis, c'est vous qui décidez de ce que vous voulez comme configuration pour les performances de votre serveur. Ici, on ajoute : Dossier docker/emby > /config en lecture et écriture (c'est ici que toute la configuration ou les images téléchargées par Emby se trouveront) Dossier médias > /nom_du_dossier en lecture uniquement On coche la case afin de garder le même réseau que Docker. Pour les variables d'environnement, on doit ajouter l'UID et le GID de notre utilisateur créé pour l'occasion. Pour ce faire, on va chercher l'information en SSH en tapant la commande "id nom d'utilisateur" et on prend les informations. Là, l'UID est 1047 et le GID est 100 On applique et le container se lance. Il vous suffit ensuite d'aller sur : http://adressedunas:8096 pour accéder à Emby On peut bien évidemment configurer une règle de proxy inversé pour y mettre notre domaine. Note importante : Emby est de base accessible à tout le monde, il faut sécuriser le compte administrateur créé après la première configuration. On clique sur la roue crantée tout en haut à droite puis dans la colonne de gauche, on sélectionnes "Utilisateurs". On sélectionne l'unique utilisateur créé et on clique sur mot de passe : On peut attribuer un mot de passe mais aussi un code pin pour les accès locaux. FIN du tuto installation. Pour la mise à jour d'Emby, je vous laisse voir le post de niklos0 ci-dessous :
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