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  1. Bonjour, Vous venez d'acheter un NAS et vous ne savez pas par ou commencer, et bien nous allons voir ensemble les principales étapes les plus importantes et surtout prioritaires afin d'éviter de futurs problèmes ! Un NAS, c'est un serveur de stockage en réseau. Il est donc important que le système soit correctement installé et surtout sécurisé. Il est vivement recommandé de suivre toutes ces étapes ci-dessous et surtout d'essayer de les comprendre ! Si vous avez des questions, vous pouvez bien entendu les poser à la suite de ce tutoriel ou sur les tutoriels en question indiqués ci-dessous quand ça concerne un de ces derniers. INSTALLATION DE DSM Pour installer DSM, ce n'est pas compliqué et il suffit de suivre étape par étape ce qui est demandé sur votre écran. On va voir les grandes étapes ci-dessous : Recherche du NAS : On part du principe que vous avez déjà installer un (ou plusieurs) disques dur vierges dans votre NAS et que ce dernier est allumé. Vous avez même déjà entendu le bip sonore qui indique que le NAS est fonctionnel. Si vous ne savez pas comment aller consulter votre routeur pour connaitre l'adresse IP du NAS, je vous recommande de télécharger l'utilitaire "Synology Assistant" qui se chargera de trouver votre NAS sur votre réseau. https://www.synology.com/fr-fr/support/download Vous pouvez aussi essayer de le trouver en consultant ce lien : http://find.synology.com/ NOTE : certaines extensions de sécurité sur votre navigateur peuvent bloquer la recherche sur le réseau local ce qui a été mon cas sous Firefox ce qui m'a obligé à faire une recherche du NAS avec le navigateur Iridium pour ce tutoriel. Installation de DSM : (version 6.2.1 au moment de la rédaction de ce tutoriel) On a le choix entre l'installation de DSM en mode manuel ou en mode téléchargement. J'avais personnellement téléchargé le fichier .pat pour l'installer en local. Pour se faire, j'ai récupérer le fichier .pat sur mon ordinateur. Message d'avertissement qui préviens de la suppression des données sur les disques. On doit remplir ces champs qui sont dans l'ordre : nom du serveur > compte administrateur > mot de passe > confirmation du mot de passe. Ne mettez pas des noms génériques comme administrateur, administrator, admin etc... Et surtout utilisez un mot de passe long et compliqué. Le top étant une passphrase. Ex : Je suis allé avec ma femme chez le fleuriste en mai 2019. On nous demande si on veut utiliser le service QuickConnect. Je vous conseille de cliquer sur "Skip this step" (sauter cette étape). Comme expliqué un peu partout sur le forum, nous ne recommandons pas ce service ! En cliquant sur "Skip this step", nous obtenons ce message : "Si vous ignorez cette étape, vous devrez configurer la redirection de port pour accéder à distance à votre diskstation via Internet." Ca tombe bien, le tuto de Fenrir recommandé un peu plus loin dans ce tuto en parle de la redirection de ports 😜 L'installation de DSM commence. Une fois l'installation terminée, ça nous demande si l'on souhaite que le NAS sur le réseau soit reconnu pour le domaine find.synology.com Libre à vous de lire les conditions générales et d'accepter ou non. Perso, je refuse ! L'installation de DSM est persque terminée. On clique sur Got It. Et enfin, on nous demande si on veut partager des statistiques avec Synology (et peut-être avec d'autres partenaires de Synology comme Google). Libre à vous d'accepter ou refuser, perso, je refuse ! Voilà, DSM est installé 🙂 Nous recommandons aussi vivement de tester vos disques durs avant de les mettre en production. Pour se faire, je vous recommande ce très bon tuto. Choisir son RAID : Le système RAID (Redundant Array of Independent Disks) est une technologie de stockage qui permet de combiner plusieurs disques durs en un seul espace de stockage. Il existe différents types de RAID, chacun fournissant différents niveaux de performance, de capacité de stockage et de fiabilité. En gros car j'en ai certainement perdu quelques un d'entre vous, si on utilise par exemple un RAID 1 avec deux disques durs dans le NAS, ça veut dire que les premier disque dur est cloné sur le deuxième à l'identique. Si un des deux disque dur tombe en panne alors le serveur peut continuer à fonctionner sous réserve de remplacer rapidement le disque dur tombé en panne. NOTE : le système RAID est utilisé principalement pour de la continuité de service et en aucun cas comme de la sauvegarde ! Voici une page mise en place par Synology pour simuler/comparer un RAID. https://www.synology.com/fr-fr/support/RAID_calculator Pour choisir un type de RAID, vous pouvez aussi visiter ce lien : https://www.synology.com/fr-fr/knowledgebase/DSM/help/DSM/StorageManager/storage_pool_what_is_raid En général, on appliquera un RAID 1 (SHR) pour deux disques durs et un RAID 5 (SHR) pour trois/quatre disques durs. Voici un guide qui en dira aussi pas mal sur les volumes, groupe de disques, RAID/SHR, système de fichiers etc... 😉 ALIMENTATION Onduleur : Il est important de prendre en compte que votre NAS contient de l'électronique et surtout des disques durs mécaniques. Ces disques durs et l’électronique n'aiment pas du tout les surtensions et encore moins les coupures de courant inopinées ! Nous vous recommandons donc vivement de mettre entre la prise électrique et le NAS ce qu'on appelle un onduleur afin d'éviter de subir des pertes de données et même pire votre matériel. Le but de l'onduleur sera de réguler correctement la tension mais aussi de prévenir en cas de soucis sur la ligne électrique. Dans ce cas, si c'est bien configuré, le NAS pourra passer en mode sans echec Pour plus d'explications sur le sujet, je vous renvoi vers cette page qui l'explique très bien : http://www.europ-computer.com/dossiers/dossier_6_18.html Dans le cas ou vous auriez un onduleur, il faut bien entendu l'ajouter au NAS. Il y a deux possibilités pour faire cela. Brancher l'onduleur sur le NAS directement Connecter le NAS à l'onduleur via son serveur si il est déjà sur un autre NAS par exemple. Nous allons voir la première possibilité. Branchez votre onduleur sur le NAS et rendez-vous sur : Panneau de configuration > Matériel et alimentation > UPS c'est ici que vous pourrez ajouter votre onduleur. Pour l'ajout d'un onduleur qui est en mode serveur, ça sera pratiquement la même chose. Extinction et/ou hibernation : Un NAS, ce n'est pas qu'un simple disque dur et nous ne recommandons pas d'éteindre votre NAS régulièrement. Nous sommes en 2019 et ces appareils ont été fabriqués pour tourner 7/7 H24. Le faite de redémarrer régulièrement un NAS (plusieurs fois par jour) peut user prématurément les disques durs. Quant à l'hibernation des disques durs, c'est vivement déconseillé de le faire sur un NAS ! Petite exception : Si comme moi ou d'autres membres, vous avez un NAS qui est destiné uniquement à recevoir et stocker des sauvegardes de temps en temps (une fois par jour par exemple), alors vous pouvez le configurer pour qu'il s'éteigne et s'allume automatiquement avant le lancement de la sauvegarde. Pour se faire, nous allons aller sur : Panneau de configuration > Matériel et alimentation > Planif. alim Sur cette fenêtre, on peut créer des règles pour éteindre ou allumer le NAS. On peut aussi laisser le NAS allumé en permanence et choisir uniquement de mettre en veille les disques durs (je rappelle que ce n'est pas conseillé de le faire régulièrement). Pour se faire, on se rend sur : Panneau de configuration > Matériel et alimentation > Hivernation du disque dur Et là, on peut choisir la durée de non utilisation des disques durs avant qu'ils ne passent en veille. Note : il faut prendre en compte que la sortie de veille peut prendre quelques instants. Pourquoi mes disques durs ne rentrent pas en hibernation ? Certains services désactivent l'hibernation des disques durs. Voici la liste de ces services : https://www.synology.com/fr-fr/knowledgebase/DSM/tutorial/Management/What_stops_my_Synology_NAS_from_entering_System_Hibernation SAUVEGARDE Il est aussi très important d'envisager un moyen de sauvegarde pour vos données. Pour se faire, je vous redirige vers ce tutoriel : SÉCURITÉ Sécurisation : Maintenant que votre NAS est installé et qu'il est fonctionnel, il faut penser en priorité à sa sécurisation. C'est le point le plus important avant de l'utiliser et vouloir le mettre en production ! Pour la sécurité de votre NAS, rien de mieux que de suivre le très bon tutoriel de Fenrir 😉 J'ajouterais que pour l'ouverture des ports, Synology répertorie tous les ports utilisés par défaut sur un NAS Synology. En voici le lien : https://www.synology.com/fr-fr/knowledgebase/DSM/tutorial/Network/What_network_ports_are_used_by_Synology_services Bien entendu, nous vous recommandons vivement d'utiliser uniquement les ports 80 (uniquement avec une redirection automatique) et 443 avec un Reverse Proxy d'installé (lien du tuto plus bas). Accès VPN : Si vous avez une bonne connexion internet et que vous voulez ouvrir votre NAS vers l'extérieur, nous vous recommandons aussi vivement d'utiliser un accès VPN. Pour se faire, autant continuer avec Fenrir et son super tuto 🙂 DIVERS Voici quelques petites astuces qui pourraient vous sauver la vie ou faciliter votre quotidien avec votre NAS. Journal : Pour avoir un aperçu de ce qui est fait sur le NAS, nous pouvons utiliser le paquet "Centre des journaux". Ce dernier se présente ainsi : On peut en cliquant sur l'onglet "Journaux" voir toute la journalisation du système sur le NAS. On peut aussi affiner une recherche : File Station : Pour la journalisation de ce qui est fait sur le NAS au niveau de la manipulation des fichiers, nous allons activer le journal de File Station. Ça aura pour conséquence de mémoriser dans le journal la création de répertoires/fichiers, modifications, suppressions etc... ce qui peut être pratique pour remonter à la source d'un problème rencontré. File Station > Paramètres Le journal se présentera comme ceci en détaillant ce qui a été fait et par qui. Corbeille : Je vous recommande vivement d'activer les corbeilles sur vos dossiers partagés. Ça aura pour conséquence qu'en cas de suppression accidentelle, vous pourrez avoir un moyen de récupérer ces données. Je pars du principe que si la corbeille n'est pas activée alors les données sont perdues définitivement. Il y a bien des moyens d'essayer de récupérer ses données mais ce n'est pas fiable à 100% et ça peut prendre beaucoup de temps. Autant l'appliquer de suite 🙂 NOTE : l'activation de la corbeille n'est pas généralisée pour tous les dossiers partagés. Il faut donc le faire pour chaque dossier partagé 😉 Dossier qu'on créer en direct : Dossier partagé déjà créé : Panneau de configuration > Dossier partagé > (clic droit sur un dossier partagé existant puis modifier) On peut ensuite aller voir notre dossier partagé et y trouver la corbeille. On peut bien évidemment consulter la corbeille et restaurer les données supprimées. Corbeille : On peut aussi programmer le vidage des corbeilles automatiquement. On se rend sur : Panneau de configuration > Dossier partagé > Action > Créer une planification de vidage de la Corbeille On est redirigé sur le planificateur de tâches et une nouvelle fenêtre s'ouvre. On lui donne un nom puis on se rend sur l'onglet "Programmer". On choisit la programmation souhaitée du lancement de la tâche puis on se rend sur "Paramètres de tâche". Ensuite, on a différent paramètres : Choix des corbeilles à vider. On peut choisir la corbeille d'un dossier partagé, de plusieurs dossiers partagés ou les corbeilles de tous les dossiers partagés. On peut appliquer une politique de conservation. Ex : pas de suppression des données ayant une ancienneté de moins de 7 jours. Nous avons aussi des paramètres avancés que je liste juste en dessous. Le bouton "Paramètres avancés" propose ceci comme options : Une fois validé, on retrouve la tâche dans le planificateur de tâche (désactivé pour le tuto) : Panneau de configuration > Planificateur de tâches Autres Nom de domaine Si vous comptez utiliser un nom de domaine, voici un sujet qui en parle : Avec ça, je vous recommande le tuto de Fenrir sur l'installation d'un serveur DNS : Puis pour aller un peu plus loin, l'utilisation d'un proxy inversé : FIN DU TUTO
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  2. Bonjour, Nous allons voir dans ce petit tuto les quelques règles importantes pour configurer correctement son routeur Synology afin d'éviter qu'il ne soit ouvert aux quatre vents et par la même occasion protéger aussi notre réseau local du monde extérieur. Quelques règles importantes : S'assurer que le compte "admin" et le compte "guest" sont désactivés. Voir en image S'assurer que notre compte administrateur a un mot de passe fort. Voir recommandations de l'ANSSI S'assurer que notre routeur à l'heure à jour et qu'il est bien configuré. Voir en image S'assurer que la double authentification est activée. Voir en image S'assurer que l'accès à distance au routeur est désactivé. Voir en image S'assurer que DoH est activé (DNS via HTTPS). Voir en image (On en parle ci-dessous 🙂) Dans le cas ou vous voudriez tout de même accéder à votre routeur de l'extérieur ce qui n'est pas recommandé pour des questions de sécurité, je vous recommande vivement de : Passer par votre serveur VPN (voir tuto de Fenrir)voir tuto de Fenrir Éventuellement passer par un domaine personnalisé via votre proxy inversé sur le port 443. Pas de nom générique du type "routeur" dans votre domaine... Lexique abrégé : Transfert de port unique (Single Port Forwarding) : lorsqu'un accès entrant doit atteindre une application particulière (programme serveur). Il faut indiquer dans le routeur un numéro du port et l'adresse IP du PC serveur. Transfert d'un ensemble de ports (Port Range Forwarding): lorsque plusieurs ports sont nécessaires pour une même application. Déclenchement de ports (Port Triggering) : pour les applications qui nécessitent que les ports soient ouverts à la demande sans pour autant préciser un appareil contrairement au port forwarding. DMZ (DeMilitarized Zone) : on autorise tous les ports à être ouvert en permanence. A ne jamais employer pour un non connaisseur en réseau. On peut éventuellement activer ce paramètre quand nous avons derrière un autre routeur qui fera le travail. UPnP (Universal Plug and Play) : on permet à n'importe quoi/qui d'ouvrir automatiquement des ports sans l'approbation du routeur/administrateur. A ne pas activer pour un non connaisseur en réseau. Vous pourrez lire sur ce forum des membres qui recommandent d'activer l'option DMZ sur un modem routeur d'un opérateur internet comme Orange ou SFR par exemple. Cela peut être utile mais c'est souvent suivi de ces deux conditions obligatoirement : Le modem routeur en question ne peut être mit en mode "bridge". Vous avez déjà un routeur derrière ce modem routeur qui fera le boulot à sa place. Partie local : Principe : encapsuler une requête DNS dans une requête HTTP/2 et l’envoyer à un serveur HTTPS qui va faire la résolution et renvoyer la réponse en HTTPS Pour ceux qui voudraient en savoir plus sur DNS DoH, je vous recommande cette vidéo très instructive : https://tube.benzo.online/videos/watch/756a8447-5a27-408d-a513-611f0288e1dd On va configurer le serveur DNS DoH ici : Centre réseau > Réseau local > Options avancées Je vous recommande de passer par le serveur DNS (DoH) de quad9 qui est un peu plus soucieux de votre vie privée que ne l'est Google ou Cloudflare par exemple... Serveur DNS DoH de Quad9 : https://dns.quad9.net/dns-query Liste des serveurs publiques DNS DoH : https://github.com/curl/curl/wiki/DNS-over-HTTPS#publicly-available-servers Partie internet : Il n'y a pas grand chose à configurer sur cette partie à part les serveurs DNS. Sécurité : Protection DoS On active la protection DoS si elle ne l'ai pas déjà. Pour les petits curieux, je vous laisse découvrir ce que c'est sur la page Wikipedia. Centre réseau > Sécurité > Général Nous ne recommandons pas la modification des Paramètres avancés si vous n'êtes pas connaisseur car ça pourrait causer des soucis sur le routeur et les appareils du réseau. DMZ On vérifie que DMZ est bien désactivé. Centre réseau > Transmission de port > DMZ Bannir un appareil Certains appareils connectés sont un peu trop bavards avec des serveurs du fabricant ou des serveurs tiers et/ou sont vendus avec des failles de sécurité comme des caméras IP, des imprimantes etc... Il peut donc être utile de leur interdire de discuter avec internet. Si on veut bannir un appareil pour qu'il ne communique pas avec internet comme une imprimante en réseau, il faut aller sur : Centre réseau > Contrôle du trafic > Généralités Là, on coche le petit globe barré afin qu'il ne soit plus grisé. Ainsi l'appareil ne peut plus communiquer avec l'extérieur ou recevoir des informations. ATTENTION : ça bloquera toutes communication entre l'appareil et internet donc ça bloquera aussi les mises à jour automatique de l'appareil. A prendre en compte ! Partie ethernet : Ne mettez sur votre réseau local câblé QUE des appareils/personnes de confiance. Une personne mal intentionnée n'aura aucun mal à récupérer vos informations en étant sur le même réseau que vous. Exactement comme un réseau wifi public (aéroports par exemple). Adresses IP privées des principaux FAI FR : B-Box > 192.168.1.254 Free-Box > 192.168.0.254 Live-Box > 192.168.1.1 SFR-Box > 192.168.1.1 En sachant celà, on va éviter de donner à notre routeur la même adresse IP privée que le modem-routeur de notre opérateur. Il est plus facile de procéder ainsi que de vouloir changer l'adresse IP privée du modem-routeur du FAI. Voici ma configuration : Pour en savoir plus sur l'IGMP, je vous laisse consulter ce lien qui sera bien plus parlant que moi. https://fr.wikipedia.org/wiki/IGMP_snooping Fixer une adresse IP privée à un appareil : Je recommande vivement d'attribuer une IP privée à votre NAS afin que ce dernier garde toujours la même adresse IP. Quoi de mieux que de laisser faire le routeur et qu'ensuite, le NAS soit configuré sur automatique ?! Pour se faire, nous nous rendons sur : Centre réseau > Réseau local > Clients DHCP Nous pouvons y voir nos appareils connectés. Il nous suffit de sélectionner le NAS puis de cliquer sur "Ajouter à la réservation d'adresse". Résultat visible ici : Centre réseau > Réseau local > Réservation DHCP On peut bien entendu ajouter manuellement un appareil si on le souhaite. Ca sera toujours sur : Centre réseau > Réseau local > Réservation DHCP On clique sur le bouton "Ajouter" puis on rempli manuellement les informations. Il faudra redémarrer l'appareil ajouté pour qu'il prenne en compte les éventuels changements. Attention : SRM est un peu capricieux avec le nom d'hôte. Il n'accepte pas certains caractères comme les espaces. Partie WIFI : Pareil que pour la partie ethernet à la différence qu'on peut activer le wifi invité pour ..... les invités 🤣 Ma configuration WIFI : NOTE : pour le canal 2.4GHz, on vous recommande de mettre 20MHz. Le 40MHz est instable ! Options avancées (reprit du site Synology) : Rotation des clés : Saisissez le nombre de secondes entre chaque rotation des clés. Largeur de canal : Sélectionnez une largeur de canal. Remarque : Cette option devient individuelle pour les différentes bandes sans fil lorsque la fonctionnalité Connexion intelligente est utilisée. Prise en charge de PMF : Choisissez parmi Désactivé, Désactivé - optionnel et Activé - requis pour permettre à votre périphérique de modifier les paramètres internes afin de répondre aux conditions de configuration. Puissance de transmission : Entrez une longueur de signal pour le réseau sans fil. Remarque : Cette option est toujours configurée sur Élevée lorsque le produit Synology rejoint un réseau mesh. DTIM : Spécifiez l'intervalle de synchronisation entre Synology Router et les clients Wi-Fi. Extended NSS : Permet d'améliorer le traitement des paquets (à activer uniquement sur RT2600AC du faite de son processeur quad core). AMPDU : Activez cette option pour que plusieurs données envoyées vers la même destination soient empaquetées ensemble. Cela contribue à améliorer les performances lorsqu'il existe de nombreux petits paquets. 802.11r : Activez cette option pour une itinérance rapide entre différents points Wi-Fi (Failles connues sur les serveurs et les clients. Résolu côté Synology mais ne le sera certainement jamais sur les clients.) Autoriser la commutation automatique sur les canaux DFS (disponible uniquement pour les bandes 5 GHz) : Activer Dynamic Frequency Selection (DFS) pour réduire le risque d'interférence des signaux. Isolement du PA : sélectionnez cette option pour activer ou désactiver cette fonctionnalité afin d'empêcher les clients connectés au réseau Wi-FI d'interagir avec d'autres périphériques connectés. MU-MIMO (disponible uniquement pour les bandes à 5 GHz) : Autoriser les périphériques clients à se connecter au réseau sans fil avec la prise en charge de MU-MIMO. Translation de multidiffusion : Activez cette option pour traduire plusieurs paquets de multidiffusion en paquets de monodiffusion pour de meilleures performances en ce qui concerne les services de diffusion. Remarque : Cette option est toujours configurée sur Activée lorsque le produit Synology rejoint un réseau mesh. Partie WIFI invité : Je vous recommande aussi de vérifier que le réseau local n'est pas accessible pour les appareils se connectant sur le réseau invité. Transmission de port et Sécurité (Pare-feu) : SRM a un ordre de priorité sur les paquets entrants qui sont : Règles de déclenchement des ports Règles de transmission des ports Règles UPnP Règles DMZ C'est ici que l'on va autoriser le transfert d'une demande d'accès sur un autre appareil du réseau local. Je m'explique... Centre réseau > Transmission de port > Transmission de port Imaginons que l'on veuille de l'extérieur de chez nous atteindre notre NAS sur le port 443, alors c'est ici qu'on donnera au routeur la règle l'autorisant. Exemple :  Un autre exemple : Il est fréquent de voir un éditeur de jeux vidéo demander que certains ports soient ouverts pour une meilleure communication entre leurs serveurs et l'appareil utilisé. Pour cette raison, je vais donc ouvrir les ports demandés pour éviter un NAT (strict) qui pourrait me porter préjudice dans mes parties de jeu comme dans la recherche de serveurs disponibles par exemple. Je pense que là, tout le monde a compris l'intérêt et surtout comment on autorise le routeur à accepter les entrées sur tel port pour tel appareil. Mais ce n'est pas tout. Sur nos routeurs Synology, on peut aussi restreindre un peu plus l'ouverture de ces ports en y ajoutant des conditions. Et là, ça se passera dans l'onglet Sécurité > Pare-feu 🙂 Pare-Feu : NOTE : en dehors de l'ouverture de ports pour le routeur uniquement, il faudra toujours ajouter les ports à la transmission de port ! On retrouve les règles de transmission de port que l'on a vu ci-dessus et on peut y trouver d'autres règles. On peut comme je l'ai dit juste avant restreindre un peu plus l'autorisation d'une règle de transmission. Exemple : Reprenons notre règle sur les ports 80 et 443 qui autorise l'accès à distance à un serveur nommé Zeus sur ces deux ports. Je voudrais par contre limiter cet accès uniquement à la FRANCE et que l'accès ne soit pas autorisé pour les autres pays. Et bien on va créer une règle pour faire ça :   Ordre de priorité : Le routeur Synology et son Pare-feu prennent en compte la priorité donnée par un administrateur. Si SRM reçoit un ordre et trouve une règle correspondante alors il arrête sa recherche et exécute l'ordre. On peut donc organiser les priorités que l'on veut voir appliquer par le système en faisant un glisser-déposer d'une règle à une autre : Protection générale du réseau : Dans les Paramètres, voici ce qu'on doit avoir : On va en profiter pour tout cocher dans le Pare-feu dans les conditions ou aucune règle n'existerait. N'oubliez pas de sauvegarder vos changements ! Surveillance du trafic en temps réel : Si on veut savoir les communications dont celles que l'on ne voit pas directement sur un appareil, il suffit d'aller sur : Centre réseau > Contrôle du trafic > Surveiller Il faut activer sur "Paramètres" les options comme ci-dessous. Pour la durée de conservation, je vous laisse juger en fonction de vos besoins et votre mémoire. Là, on peut sélectionner en haut à droite "Domaine" puis un appareil : En cliquant sur le petit +, on peut ajouter ce domaine dans les blocages de Safe Access 🙂 ATTENTION : faites bien attention à ce que vous bloquez. Autant on peut bloquer des services de publicité comme de télémétrie, autant on peut aussi bloquer un site complet ou un service de mise à jour. Divers : Blocage auto On peut comme sur nos NAS bloquer automatiquement une IP qui serait un peu trop curieuse. Perso, je fonctionne avec 2 tentatives sous 1 minute ce qui peut faire peu si vous n'êtes pas doués pour taper vos mots de passe. Vous pouvez toujours changer cette valeur mais ne la mettez pas trop haute. Centre réseau > Sécurité > Blocage auto Nous pouvons aussi enregistrer des adresses IP privées ou publiques (local ou internet) afin d'éviter qu'une personne se bannisse d'elle même. Ex : on peut mettre son smartphone ou son ordinateur. Pour des raisons de maintenance en cas de problème, nous pouvons activer le protocole de communication SSH. Pour des raisons de sécurité, je ne vous recommande pas d'ouvrir le port dans votre Pare-feu ! Panneau de configuration > Services > System Services Petite astuce en cas de faille ou si on est un peu trop parano, on peut rediriger le port SSH sur une adresse IP privée non attribuée. Ajout d'un compte administrateur : Prérequis : avoir déjà créé un compte utilisateur à qui l'on souhaite octroyer les droits "admin". Par défaut, Synology n'autorise que deux administrateurs sur le routeur à savoir le compte par défaut "admin" qui est désactivé et le compte créé lors de l'installation du routeur. Grâce à l'astuce proposée par @maxou56, nous allons pouvoir ajouter autant de compte administrateur que l'on souhaite. Perso, j'aime avoir en permanence un compte administrateur système de secours. Pour se faire, on doit se connecter en SSH : ssh root@192.168.x.x Le mot de passe demandé sera celui du compte utilisateur "admin". Si vous avez changé le port par défaut qui est 22 alors tapez la commande ci-dessous en modifiant le port par le votre (port 1234 dans cet exemple) : ssh root@192.168.x.x -p 1234 On passe ensuite en compte "root" avec la commande : su root su root AVERTISSEMENT : à partir de maintenant, vous avez tous les droits en SSH. Une commande mal tapée pourrait vous coûter cher ! Pour obtenir la liste des administrateurs, on tape la commande : synogroup --get administrators Résultat : ~ # synogroup --get administrators Group Name: [administrators] Group Type: [AUTH_LOCAL] Group ID: [101] Group Members: 0:[admin] 1:[xxxxxxxxxxx] Pour ajouter un utilisateur au groupe "administrateur", il vous faut l'ajouter via une commande sans omettre les comptes administrateurs déjà en place. synogroup --member administrators admin xxxxxxxxxxx nouvel_utilisateur (en rouge, ce sont les comptes admin qui étaient déjà en place). synogroup --member administrators admin xxxxxxxxxxx nouvel_utilisateur Pour retirer un utilisateur du groupe "administrateur", il faut taper la même commande mais sans l'utilisateur qu'on désire retiré. N'étant pas dans la commande tapée, il sera enlevé du groupe. synogroup --member administrators admin xxxxxxxxxxx (en rouge, ce sont toujours les comptes administrateurs qui étaient déjà en place et que je veux garder). synogroup --member administrators admin xxxxxxxxxxx Je ne suis pas un expert en réseau mais juste un passionné d'informatique. C'est pourquoi si vous constatez des erreurs ou que vous voudriez apporter votre pierre à ce petit édifice, vous serez les bienvenus 🙂 Merci à Einsteinium pour l'aide apportée dans l'édition de ce tuto 😉
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