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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 11/20/22 dans toutes les zones

  1. Avec pip tu auras la dernière version. Et pour ce genre de chose je trouve ça mieux en natif, la conservation des permissions et l'appartenance des fichiers sont plus aisées. Et ça s'exécute dans les environnements virtuels python, donc on est sur la même philosophie que Docker, à savoir l'isolation.
    1 point
  2. IPv6 en local ça marche plutôt bien, j'ai quand même eu l'occasion de me rendre compte que beaucoup d'applications ne s'exposent pas forcément aux IPv6 mais seulement aux IPv4, ce qui a certaines conséquences fâcheuses sur la transmission d'IP source (X-Forward et X-Real-IP sur Nginx par exemple). Du coup je garde toujours l'IPv6 sur mes périphériques, ils utilisent cette même connectivité en priorité pour la navigation externe, en interne pour accéder à mes services je reste sur de l'IPv4. Comme l'a dit @PiwiLAbruti, c'est de plus en plus banalisé, cela dit il faut noter certaines variations d'un FAI à l'autre et certains comportements propres à l'IPv6 : Chez certains le préfixe ne varie pas, ce qui est plus commode pour les enregistrements dans une zone DNS. Chez d'autres il varie comme varie une IPv4 dynamique, et ce n'est pas parce que votre IPv4 est fixe que votre préfixe le sera également. Normalement, un périphérique a une adresse IPv6 fixe, elle est basée sur le préfixe du FAI et le mode d'adressage (SLAAC ou DHCPv6). Ils ont également des IPv6 temporaires, utilisés pour ne pas naviguer avec son IPv6 fixe, celle-ci est renouvelée au bout d'un certain temps. En IPv6, on a ce qu'on appelle le Router Advertisement (RA) qui n'existe pas en IPv4, il peut fonctionner indépendamment, en conjonction, ou en soumission au serveur DHCPv6. Android ne permet pas d'utiliser IPv6 si on utilise un adressage stateful (donc DHCPv6), il faut obligatoirement un adressage SLAAC (basé sur l'adresse MAC du périphérique) Dernière notion importante, et qui peut poser des problèmes de connectivité si mal appréhender, c'est le trafic ICMP. En IPv4 on peut s'en passer, car ce sont les routeurs qui gère la fragmentation des paquets. En IPv6, pour des raisons écologiques entre autres, ce sont les machines source et de destination qui s'en chargent. Et pour se faire, il faut jouer sur deux paramètres : l'ouverture au trafic ICMP (ping) et le réglage de la MTU. Ca peut faire peur, mais ça demande surtout un peu de pratique et pas mal de lecture, pour ma part je ne me sens pas capable d'écrire un tutoriel à ce sujet, car je n'écris de tutoriel que sur ce que je considère maîtriser suffisamment, et ici ce n'est clairement pas le cas. Pédagogiquement, je n'ai jamais trouvé un tutoriel reprenant tous les points fondamentaux, il faut prendre par-ci par-là ce qui nous semble utile. Il m'arrive fréquemment de rouvrir ce livre, qui ne rentre pas énormément dans les détails mais qui a l'avantage d'être plutôt bien pensé et de donner des bases solides, notamment sur l'IPv6 : https://www.amazon.fr/Réseaux-informatiques-fondamentales-Architectures-Virtualisation/dp/2409035175/
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  3. Tu peux rajouter ceci à la fin de ton fichier (avant le exit) : # Redemarrage de VideoStation synopkg restart VideoStation Merci pour les commandes qui sont bien utiles après chaque mise à jour. Bonne journée
    1 point
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