Aller au contenu

Classement

  1. lemars

    lemars

    Membres


    • Points

      1

    • Compteur de contenus

      42


  2. .Shad.

    .Shad.

    Membres


    • Points

      1

    • Compteur de contenus

      6648


  3. dragonslore

    dragonslore

    Membres


    • Points

      1

    • Compteur de contenus

      24


  4. unPixel

    unPixel

    Membres


    • Points

      1

    • Compteur de contenus

      6442


Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 09/24/23 dans toutes les zones

  1. Bonjour à tous, Je me suis rendu compte grâce à cette news de Cachem que l'on ne pouvait plus ouvrir un fichier .spk et modifier son contenu comme avant DSM 7. En effet en ouvrant le fichier on se rend compte que Synology a ajouté cette ligne de code pour restreindre l'utilisation du paquet à certains NAS (politique commerciale) malgré le fait que d'autres aient les spécifications matérielles requises 😞 : exclude_model="synology_rtd1296_ds118 synology_rtd1296_ds218 synology_rtd1296_ds218play synology_rtd1296_ds418 synology_rtd1296_ds418j synology_armada37xx_ds119j synology_rtd1296_rs819" A titre d'information voici un post sur SynoForum.com mais je ne comprends pas s'ils ont trouvé la solution ?! Quand je modifie le fichier directement via un éditeur de fichier le NAS le reconnait comme corrompu et c'est normal ! Je sais qu'il y a beaucoup de spécialistes ici, je ne veux pas de la solution pour installer Docker via SSH qui peut être à refaire à chaque mise à jour de sécurité du NAS. Y a-t-il une solution pour ouvrir le .spk de Synology ou un moyen de recompiler un package maison comme le fait SynoCommunity ? Ou bien alors pour éviter de crack une propriété intellectuelle de Synology avec Container Manager, est-ce que quelqu'un saurait créer un package communautaire de Docker (+ ou - Portainer) pour les Syno avec processeur Armv8 (supporté officiellement par Docker) ? Merci beaucoup pour votre aide ^^
    1 point
  2. En effet tu as raison je n'ai pas de PUT, je vais tester moi aussi et je te fais un retour. EDIT @.Shad. c'était bien celà, la requête PUT était manquante, je pense qu'il faut revister le tuto, le premier bloc suggéré dans le tuto ne fonctionnait pas, la seconde hypothèse non plus. Il faut celà: https://api.ovh.com/createToken/?GET=/domain/zone/&GET=/domain/zone/mondomaine.fr/&GET=/domain/zone/mondomaine.fr/status&GET=/domain/zone/mondomaine.fr/record&GET=/domain/zone/mondomaine.fr/record/*&POST=/domain/zone/mondomaine.fr/record&POST=/domain/zone/mondomaine.fr/refresh&DELETE=/domain/zone/mondomaine.fr/record/*&PUT=/domain/zone/mondomaine.fr/* Par contre je suis coincé à l'étape suivante. J'ai bien répliqué les deux enregistrements créés chez OVH sur cloudflare malgré tout après le redémarrage du container il n'en veut pas. Comme si au second démarrage, il avait renouvelé les clés...
    1 point
  3. Des solutions ont été developpées pour le problème des drivers série manquants avec l'avènement de DSM 7 : https://github.com/robertklep/dsm7-usb-serial-drivers A voir la pérennité de la solution au fil des mises à jour. Sinon effectivement une VM comme le suggère @MilesTEG1 pourrait être une solution plus adaptée. Tu pourrais regrouper toute ta domotique dans une même VM, ça faciliterait la configuration car tout pourrait être géré en localhost du coup. 🙂
    1 point
  4. merci cela fonctionne avec CE ! Tip top Mais pourquoi cela fonctionne pas en créant le container Portainer avec le paquet du Syno ?
    1 point
  5. Bonjour, Nous allons voir dans ce petit tuto les quelques règles importantes pour configurer correctement son routeur Synology afin d'éviter qu'il ne soit ouvert aux quatre vents et par la même occasion protéger aussi notre réseau local du monde extérieur. Quelques règles importantes : S'assurer que le compte "admin" et le compte "guest" sont désactivés. Voir en image S'assurer que notre compte administrateur a un mot de passe fort. Voir recommandations de l'ANSSI S'assurer que notre routeur à l'heure à jour et qu'il est bien configuré. Voir en image S'assurer que la double authentification est activée. Voir en image S'assurer que l'accès à distance au routeur est désactivé. Voir en image S'assurer que DoH est activé (DNS via HTTPS). Voir en image (On en parle ci-dessous 🙂) Dans le cas ou vous voudriez tout de même accéder à votre routeur de l'extérieur ce qui n'est pas recommandé pour des questions de sécurité, je vous recommande vivement de : Passer par votre serveur VPN (voir tuto de Fenrir)voir tuto de Fenrir Éventuellement passer par un domaine personnalisé via votre proxy inversé sur le port 443. Pas de nom générique du type "routeur" dans votre domaine... Lexique abrégé : Transfert de port unique (Single Port Forwarding) : lorsqu'un accès entrant doit atteindre une application particulière (programme serveur). Il faut indiquer dans le routeur un numéro du port et l'adresse IP du PC serveur. Transfert d'un ensemble de ports (Port Range Forwarding): lorsque plusieurs ports sont nécessaires pour une même application. Déclenchement de ports (Port Triggering) : pour les applications qui nécessitent que les ports soient ouverts à la demande sans pour autant préciser un appareil contrairement au port forwarding. DMZ (DeMilitarized Zone) : on autorise tous les ports à être ouvert en permanence. A ne jamais employer pour un non connaisseur en réseau. On peut éventuellement activer ce paramètre quand nous avons derrière un autre routeur qui fera le travail. UPnP (Universal Plug and Play) : on permet à n'importe quoi/qui d'ouvrir automatiquement des ports sans l'approbation du routeur/administrateur. A ne pas activer pour un non connaisseur en réseau. Vous pourrez lire sur ce forum des membres qui recommandent d'activer l'option DMZ sur un modem routeur d'un opérateur internet comme Orange ou SFR par exemple. Cela peut être utile mais c'est souvent suivi de ces deux conditions obligatoirement : Le modem routeur en question ne peut être mit en mode "bridge". Vous avez déjà un routeur derrière ce modem routeur qui fera le boulot à sa place. Partie local : Principe : encapsuler une requête DNS dans une requête HTTP/2 et l’envoyer à un serveur HTTPS qui va faire la résolution et renvoyer la réponse en HTTPS Pour ceux qui voudraient en savoir plus sur DNS DoH, je vous recommande cette vidéo très instructive : https://tube.benzo.online/videos/watch/756a8447-5a27-408d-a513-611f0288e1dd On va configurer le serveur DNS DoH ici : Centre réseau > Réseau local > Options avancées Je vous recommande de passer par le serveur DNS (DoH) de quad9 qui est un peu plus soucieux de votre vie privée que ne l'est Google ou Cloudflare par exemple... Serveur DNS DoH de Quad9 : https://dns.quad9.net/dns-query Liste des serveurs publiques DNS DoH : https://github.com/curl/curl/wiki/DNS-over-HTTPS#publicly-available-servers Partie internet : Il n'y a pas grand chose à configurer sur cette partie à part les serveurs DNS. Sécurité : Protection DoS On active la protection DoS si elle ne l'ai pas déjà. Pour les petits curieux, je vous laisse découvrir ce que c'est sur la page Wikipedia. Centre réseau > Sécurité > Général Nous ne recommandons pas la modification des Paramètres avancés si vous n'êtes pas connaisseur car ça pourrait causer des soucis sur le routeur et les appareils du réseau. DMZ On vérifie que DMZ est bien désactivé. Centre réseau > Transmission de port > DMZ Bannir un appareil Certains appareils connectés sont un peu trop bavards avec des serveurs du fabricant ou des serveurs tiers et/ou sont vendus avec des failles de sécurité comme des caméras IP, des imprimantes etc... Il peut donc être utile de leur interdire de discuter avec internet. Si on veut bannir un appareil pour qu'il ne communique pas avec internet comme une imprimante en réseau, il faut aller sur : Centre réseau > Contrôle du trafic > Généralités Là, on coche le petit globe barré afin qu'il ne soit plus grisé. Ainsi l'appareil ne peut plus communiquer avec l'extérieur ou recevoir des informations. ATTENTION : ça bloquera toutes communication entre l'appareil et internet donc ça bloquera aussi les mises à jour automatique de l'appareil. A prendre en compte ! Partie ethernet : Ne mettez sur votre réseau local câblé QUE des appareils/personnes de confiance. Une personne mal intentionnée n'aura aucun mal à récupérer vos informations en étant sur le même réseau que vous. Exactement comme un réseau wifi public (aéroports par exemple). Adresses IP privées des principaux FAI FR : B-Box > 192.168.1.254 Free-Box > 192.168.0.254 Live-Box > 192.168.1.1 SFR-Box > 192.168.1.1 En sachant celà, on va éviter de donner à notre routeur la même adresse IP privée que le modem-routeur de notre opérateur. Il est plus facile de procéder ainsi que de vouloir changer l'adresse IP privée du modem-routeur du FAI. Voici ma configuration : Pour en savoir plus sur l'IGMP, je vous laisse consulter ce lien qui sera bien plus parlant que moi. https://fr.wikipedia.org/wiki/IGMP_snooping Fixer une adresse IP privée à un appareil : Je recommande vivement d'attribuer une IP privée à votre NAS afin que ce dernier garde toujours la même adresse IP. Quoi de mieux que de laisser faire le routeur et qu'ensuite, le NAS soit configuré sur automatique ?! Pour se faire, nous nous rendons sur : Centre réseau > Réseau local > Clients DHCP Nous pouvons y voir nos appareils connectés. Il nous suffit de sélectionner le NAS puis de cliquer sur "Ajouter à la réservation d'adresse". Résultat visible ici : Centre réseau > Réseau local > Réservation DHCP On peut bien entendu ajouter manuellement un appareil si on le souhaite. Ca sera toujours sur : Centre réseau > Réseau local > Réservation DHCP On clique sur le bouton "Ajouter" puis on rempli manuellement les informations. Il faudra redémarrer l'appareil ajouté pour qu'il prenne en compte les éventuels changements. Attention : SRM est un peu capricieux avec le nom d'hôte. Il n'accepte pas certains caractères comme les espaces. Partie WIFI : Pareil que pour la partie ethernet à la différence qu'on peut activer le wifi invité pour ..... les invités 🤣 Ma configuration WIFI : NOTE : pour le canal 2.4GHz, on vous recommande de mettre 20MHz. Le 40MHz est instable ! Options avancées (reprit du site Synology) : Rotation des clés : Saisissez le nombre de secondes entre chaque rotation des clés. Largeur de canal : Sélectionnez une largeur de canal. Remarque : Cette option devient individuelle pour les différentes bandes sans fil lorsque la fonctionnalité Connexion intelligente est utilisée. Prise en charge de PMF : Choisissez parmi Désactivé, Désactivé - optionnel et Activé - requis pour permettre à votre périphérique de modifier les paramètres internes afin de répondre aux conditions de configuration. Puissance de transmission : Entrez une longueur de signal pour le réseau sans fil. Remarque : Cette option est toujours configurée sur Élevée lorsque le produit Synology rejoint un réseau mesh. DTIM : Spécifiez l'intervalle de synchronisation entre Synology Router et les clients Wi-Fi. Extended NSS : Permet d'améliorer le traitement des paquets (à activer uniquement sur RT2600AC du faite de son processeur quad core). AMPDU : Activez cette option pour que plusieurs données envoyées vers la même destination soient empaquetées ensemble. Cela contribue à améliorer les performances lorsqu'il existe de nombreux petits paquets. 802.11r : Activez cette option pour une itinérance rapide entre différents points Wi-Fi (Failles connues sur les serveurs et les clients. Résolu côté Synology mais ne le sera certainement jamais sur les clients.) Autoriser la commutation automatique sur les canaux DFS (disponible uniquement pour les bandes 5 GHz) : Activer Dynamic Frequency Selection (DFS) pour réduire le risque d'interférence des signaux. Isolement du PA : sélectionnez cette option pour activer ou désactiver cette fonctionnalité afin d'empêcher les clients connectés au réseau Wi-FI d'interagir avec d'autres périphériques connectés. MU-MIMO (disponible uniquement pour les bandes à 5 GHz) : Autoriser les périphériques clients à se connecter au réseau sans fil avec la prise en charge de MU-MIMO. Translation de multidiffusion : Activez cette option pour traduire plusieurs paquets de multidiffusion en paquets de monodiffusion pour de meilleures performances en ce qui concerne les services de diffusion. Remarque : Cette option est toujours configurée sur Activée lorsque le produit Synology rejoint un réseau mesh. Partie WIFI invité : Je vous recommande aussi de vérifier que le réseau local n'est pas accessible pour les appareils se connectant sur le réseau invité. Transmission de port et Sécurité (Pare-feu) : SRM a un ordre de priorité sur les paquets entrants qui sont : Règles de déclenchement des ports Règles de transmission des ports Règles UPnP Règles DMZ C'est ici que l'on va autoriser le transfert d'une demande d'accès sur un autre appareil du réseau local. Je m'explique... Centre réseau > Transmission de port > Transmission de port Imaginons que l'on veuille de l'extérieur de chez nous atteindre notre NAS sur le port 443, alors c'est ici qu'on donnera au routeur la règle l'autorisant. Exemple :  Un autre exemple : Il est fréquent de voir un éditeur de jeux vidéo demander que certains ports soient ouverts pour une meilleure communication entre leurs serveurs et l'appareil utilisé. Pour cette raison, je vais donc ouvrir les ports demandés pour éviter un NAT (strict) qui pourrait me porter préjudice dans mes parties de jeu comme dans la recherche de serveurs disponibles par exemple. Je pense que là, tout le monde a compris l'intérêt et surtout comment on autorise le routeur à accepter les entrées sur tel port pour tel appareil. Mais ce n'est pas tout. Sur nos routeurs Synology, on peut aussi restreindre un peu plus l'ouverture de ces ports en y ajoutant des conditions. Et là, ça se passera dans l'onglet Sécurité > Pare-feu 🙂 Pare-Feu : NOTE : en dehors de l'ouverture de ports pour le routeur uniquement, il faudra toujours ajouter les ports à la transmission de port ! On retrouve les règles de transmission de port que l'on a vu ci-dessus et on peut y trouver d'autres règles. On peut comme je l'ai dit juste avant restreindre un peu plus l'autorisation d'une règle de transmission. Exemple : Reprenons notre règle sur les ports 80 et 443 qui autorise l'accès à distance à un serveur nommé Zeus sur ces deux ports. Je voudrais par contre limiter cet accès uniquement à la FRANCE et que l'accès ne soit pas autorisé pour les autres pays. Et bien on va créer une règle pour faire ça :   Ordre de priorité : Le routeur Synology et son Pare-feu prennent en compte la priorité donnée par un administrateur. Si SRM reçoit un ordre et trouve une règle correspondante alors il arrête sa recherche et exécute l'ordre. On peut donc organiser les priorités que l'on veut voir appliquer par le système en faisant un glisser-déposer d'une règle à une autre : Protection générale du réseau : Dans les Paramètres, voici ce qu'on doit avoir : On va en profiter pour tout cocher dans le Pare-feu dans les conditions ou aucune règle n'existerait. N'oubliez pas de sauvegarder vos changements ! Surveillance du trafic en temps réel : Si on veut savoir les communications dont celles que l'on ne voit pas directement sur un appareil, il suffit d'aller sur : Centre réseau > Contrôle du trafic > Surveiller Il faut activer sur "Paramètres" les options comme ci-dessous. Pour la durée de conservation, je vous laisse juger en fonction de vos besoins et votre mémoire. Là, on peut sélectionner en haut à droite "Domaine" puis un appareil : En cliquant sur le petit +, on peut ajouter ce domaine dans les blocages de Safe Access 🙂 ATTENTION : faites bien attention à ce que vous bloquez. Autant on peut bloquer des services de publicité comme de télémétrie, autant on peut aussi bloquer un site complet ou un service de mise à jour. Divers : Blocage auto On peut comme sur nos NAS bloquer automatiquement une IP qui serait un peu trop curieuse. Perso, je fonctionne avec 2 tentatives sous 1 minute ce qui peut faire peu si vous n'êtes pas doués pour taper vos mots de passe. Vous pouvez toujours changer cette valeur mais ne la mettez pas trop haute. Centre réseau > Sécurité > Blocage auto Nous pouvons aussi enregistrer des adresses IP privées ou publiques (local ou internet) afin d'éviter qu'une personne se bannisse d'elle même. Ex : on peut mettre son smartphone ou son ordinateur. Pour des raisons de maintenance en cas de problème, nous pouvons activer le protocole de communication SSH. Pour des raisons de sécurité, je ne vous recommande pas d'ouvrir le port dans votre Pare-feu ! Panneau de configuration > Services > System Services Petite astuce en cas de faille ou si on est un peu trop parano, on peut rediriger le port SSH sur une adresse IP privée non attribuée. Ajout d'un compte administrateur : Prérequis : avoir déjà créé un compte utilisateur à qui l'on souhaite octroyer les droits "admin". Par défaut, Synology n'autorise que deux administrateurs sur le routeur à savoir le compte par défaut "admin" qui est désactivé et le compte créé lors de l'installation du routeur. Grâce à l'astuce proposée par @maxou56, nous allons pouvoir ajouter autant de compte administrateur que l'on souhaite. Perso, j'aime avoir en permanence un compte administrateur système de secours. Pour se faire, on doit se connecter en SSH : ssh root@192.168.x.x Le mot de passe demandé sera celui du compte utilisateur "admin". Si vous avez changé le port par défaut qui est 22 alors tapez la commande ci-dessous en modifiant le port par le votre (port 1234 dans cet exemple) : ssh root@192.168.x.x -p 1234 On passe ensuite en compte "root" avec la commande : su root su root AVERTISSEMENT : à partir de maintenant, vous avez tous les droits en SSH. Une commande mal tapée pourrait vous coûter cher ! Pour obtenir la liste des administrateurs, on tape la commande : synogroup --get administrators Résultat : ~ # synogroup --get administrators Group Name: [administrators] Group Type: [AUTH_LOCAL] Group ID: [101] Group Members: 0:[admin] 1:[xxxxxxxxxxx] Pour ajouter un utilisateur au groupe "administrateur", il vous faut l'ajouter via une commande sans omettre les comptes administrateurs déjà en place. synogroup --member administrators admin xxxxxxxxxxx nouvel_utilisateur (en rouge, ce sont les comptes admin qui étaient déjà en place). synogroup --member administrators admin xxxxxxxxxxx nouvel_utilisateur Pour retirer un utilisateur du groupe "administrateur", il faut taper la même commande mais sans l'utilisateur qu'on désire retiré. N'étant pas dans la commande tapée, il sera enlevé du groupe. synogroup --member administrators admin xxxxxxxxxxx (en rouge, ce sont toujours les comptes administrateurs qui étaient déjà en place et que je veux garder). synogroup --member administrators admin xxxxxxxxxxx Je ne suis pas un expert en réseau mais juste un passionné d'informatique. C'est pourquoi si vous constatez des erreurs ou que vous voudriez apporter votre pierre à ce petit édifice, vous serez les bienvenus 🙂 Merci à Einsteinium pour l'aide apportée dans l'édition de ce tuto 😉
    1 point
Ce classement est défini par rapport à Bruxelles/GMT+01:00
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.