domlas

Alors Cloud station je n'ai pas et donc je ne connais pas. Mais plusieurs posts ici même ont parlé de ce problème. En fait Cloud station créerait d'office une cascadage (ce qui est apparemment logique en soi) mais le paramétrage à faire, ça je n'en sais rien. Voir la notice sur le site synology ?

Ca ressemble fort à une poubelle pleine ou encore à un cascadage de fichiers de sauvegarde genre J puis J-1, J-2 etc. Tu n'aurais pas par hasard installé Cloud station ?

On ne peut pas ajouter dans un RAID un disque plus petit que les autres. Plus grand, oui mais plus petit c'est impossible. Par contre tu peux toujours l'utiliser pour créer un second volume indépendant.

Si tu es en SHR sur un volume unique "avec" protection... tu n'as qu'un seul volume composé de tes deux disques en miroir l'un de l'autre. Sorte de RAID1. Sur les serveurs en général et donc sur les synos on ne parle pas de "disques" pour le stockage mais de "volumes". Avec tes deux disques de 2To en miroir l'un de l'autre une donnée de 10Go prendra 10Go sur chaque disque donc chaque disque ne pourra plus recevoir que 2000Go moins ces 10Go. De ce fait le volume résultant de ces deux disques en miroir n'aura que 2To de capacité. A noter qu'en réalité et compte tenu des emplacements réservés et utilisés par le syno lui même avec entre autre le DSM ton volume de théoriquement 2To n'aura en fait qu'environ 1.8To d'utilisable. Tu as deux solutions. Soit casser le SHR type RAID1 et revenir à la formule BASIC. Dans ce cas tu auras 2 volumes chacun composé d'un des disques. De ce fait tu auras 4To (ou plus précisément 2x2To) de capacité utile (moins la place réservée au DSM). Soit tu changes tes disques pour des disques de 4To de capacité. Il faut les changer un par un. D'abord changer le premier et attendre que le syno ait complètement recréé le miroring. A ce stade aucune augmentation de capacité. Ensuite changer le second. Après la recréation du miroring la capacité aura doublée.

Quand on change de routeur, plusieurs cas. D'abord faire une sauvegarde de la configuration du routeur, la plupart d'entre eux ont une fonction pour ça. Soit on remplace le routeur par le même modèle du même fabricant auquel cas il suffira de recharger la sauvegarde. Sinon il suffira de reparamétrer ce nouveau routeur en conséquence, ce qui sera quand même moins fastidieux que de refaire le tour de tous les appareils.

Non juste au pire le syno peut ne pas redémarrer mais les données sur les disques ne sont pas touchées. A moins bien sûr que l'un des disques soit HS auquel cas les données sur ce disque seront perdues. Sans vouloir faire peur je suis tombé par hasard il y a deux ou trois jours sur un article qui faisait état d'une statistique qui donnait un taux de panne nettement plus élevé sur les disques 3To que sur les autres et ceci plus marqué chez WD. Si c'est un disque HS (ce qui est probable) il te suffira de le remplacer par un neuf au moins de mêm capacité (ou plus), de procéder à son installation et "agrandir" le volume pour finer. Le syno se chargera ensuite tout seul de recréer les copies entre disques. Ce qui peut être assez long.

Attention avec les ventilateurs, certains ont une connexion supplémentaire qui rapporte des informations sur la rotation du ventilo entre autres si mes souvenirs sont exacts dans le cas de l'ajustement de la vitesse en fonction de la température. Si le ventilo ne fournit pas ce retour la platine le met à tourner à fond. Quel était le défaut du ventilo d'origine ?

Si sur du SHR tu ajoutes un 3me disque tu vas passer d'une sorte de RAID1 en une sorte de RAID5 c'est ce que permet le SHR disons automatiquement. Si on considère que tous les disques sont de même taille (2To par exemple) en SHR à 2 disques tu disposeras d'un volume de 2To. Avec l'ajout d'un 3me disque ton volume sera recombiné en un volume de 4To. Avec un 4me disque il passera à 6To. Soit (la capacité d'un disque x le nombre de disques) - (la capacité d'un disque). Si les disques ont des volumes différents voir la méthode de calcul sur le site synology.fr

Il est possible que le bip soit désactivé. On a le choix de l'activer ou pas. Je ne sais plus trop ce que j'avais indiqué lors de ma réponse que tu cites mais il arrive que cette "panne" provienne d'un disque défectueux qui bloque le syno. Dans ce cas il faut suivre une procédure indiquée sur le site qui consiste à faire un test sans aucun disque, puis en un remettant qu'un seul et ainsi de suite.

Pour commencer les disques sont formatés en ext4, format employé par Linux. Donc à part un ordi Linux qui pourra visualiser le disque les autres, windows, Mac ne le peuvent pas. Dans le temps lorsque ce format était en ext3 il existait au moins pour windows un petit logiciel permettant la lecture du disque. A ma connaissance ça n'existe plus pour ext4. Par ailleurs si les disques sont en RAID la tåche sera très complexe voire impossible et pourra peut être même par la suite engendrer des dysfonctionnements au retour des disques dans le syno. Pour mettre toutes les chances de son côté il faut toujours choisir les solutions les plus simples et les plus généralistes en cas de sauvegardes de façon à favoriser au maximum la relecture des données facilement sur n'importe quel OS, en clair, de la façon la plus passe partout possible. Ne pas tomber non plus dans la mode actuelle de cette paranoïa de "sécurisationnement" à tous va. Il faut bien évaluer les vrais risques réels et ne pas accumuler des "si" antagonistes le plus souvent, à n'en plus finir. Le piratage ? la première règle : ne pas trainer ses guêtres dans les lieuw mal famés adorés des pirates comme les sites de téléchargement, ou mes sites de rencontres, ou les sites xxx ou encore beaucoup de sites de jeux. Second point bien évaluer ce qui doit et surtout ce qui ne doit pas être accessible par internet. Ne pas donner d'accès au DSM par internet. Dans une architecture bien faite du syno c'est inutile dans 99% des cas. Contre le vol physique du syno ou des disques, commencer par ne pas le laisser en évidence. Surtout appliquer quelques régles simples et de bon sens, c'est de très loin la meilleure approche. D'ailleurs sur les dix dernières années, combien de vols de synos as tu subi ? Combien de disques durs ? Enfin sauf cas très particulier, Défense Nationale, documents bancaires recherchés par quelques rares personnes très spécialisées, que tu n'intéresses pas, le petit malfrat de quartier te vole pour revendre ton matériel au plus vite, pas pour passer des heures à essayer de visualiser tes fichiers. Quant à l'acheteur final le pire qu'il fera sera de formater tes disques pour s' en servir pour lui. Tes photos de famille, les copies de lettres à Pépé et Mémé il s'en tape complètement dans 99% des cas au moins. De la logique et du bon sens c'est la meilleure solution.

Je ne sais pas trop. En fait sur le syno je n'utilise que la sauvegarde proposée dans le DSM pour effectuer quelques sauvegardes (celles non faites par ailleurs) du syno vers un disque USB chaque jour. Par contre toutes mes autres sauvegardes, celles des fichiers de mes 3 ordis vers le syno ou pour quelques unes vers un serveur dit "coffre-fort" j'utilise syncback.exe sur les ordis. En effet pour sauvegarder des données d'un ordi faut-il encore qu'il soit allumé. Donc les outils d esauvegarde sont sur les ordis. Time Backup je ne connais que de nom. Il y a plusieurs appellations de sauvegarde en fonction des particularités de fonctionnement qu'elles peuvent avoir. Il y a la sauvegarde pure et dure : consiste à recopier d'office des documents de A vers B. On peut néanmoins prévoir des vérifications de conditions et par exemple ne pas recopier les fichiers qui n'ont pas changés ni sur A ni sur B. On peut aussi définir que si les fichiers sont différents prendre le plus récent et le copier de l'autre côté. On peut aussi décider de supprimer sur B un fichier qui a été supprimé sur A etc. La synchronisation : consiste à rendre identiques les fichiers sur A et B en prenant par exemple le plus récent comme modèle. Si A est plus récent il remplace B et si c'est B qui est le plus récent il remplace A. Ce n'est plus à proprement parler une sauvegarde. Par exemple si le fichier déjà sur B est le bon et que celui sur A a été corrompu il remplacera le bon de B pour un fichier corrompu et on n'aura plus de bon fichier. La réplication est un peu la même chose. En fait ces procédés sont courants sur les Clouds. Par exemple on a un fichier de travail (une lettre par exemple) au bureau sur un ordi A. On veut aussi utiliser, compléter ou modifier ce fichier sur un ordi portable B. On va alors mettre une copie du fichier de A dans le syno, puis on créer un système de synchronisation entre l'ordi A et le syno ainsi qu'entre l'ordi B et le syno. Chaque changement sur l'un ou l'autre ordi sera répercuté sur le syno. De cette façon tout le monde aura le même fichier à jour. ATTENTION : c'est pas une sauvegarde. Si un des ordis bousille le fichier, le bousillage sera répercuté sur le syno puis sur l'autre ordi. Le document propre est perdu. Il faut donc faire une sauvegarde (4ième fichier) sur un disque à part si possible avec une cascade. C'est à dire conserver une, deux, trois, x copies antérieures de ce fichier de sauvegarde, par exemple avec le fichier du jour, un du jour-1, un du jour-2 etc. Ainsi même en cas de grosse connerie sur l'un des ordis, connerie répercutée sur le syno, répercutée sur l'autre ordi et par un malheureux hasard répercutée aussi sur la sauvegarde du jour, on disposera quand même d'une copie à J-1 qui sera propre même si elle est un peu incomplète. Pourquoi les sauvegardes sur un disque séparé ? Si on mets un disque autonome USB branché sur le syno, les données sauvegardées dessus seront enregistrées au format du disque USB. En cas de crash du syno, il suffira de brancher ce disque USB sur un ordi quelconque pour y retrouver les sauvegardes à jour. Je dis ça mais je suis comme tout le monde je m'aperçois encore assez souvent que j'ai encore des trucs que j'ai oublié dans mon "plan" de sauvegarde...

En fait le mieux serait que tu branches un disque externe USB sur el syno. Pour une sauvegarde il est recommandé de la faire sur un autre support, un autre système et si possible dans un autre lieu.

En principe quand tu branches un objet en USB (y compris un dock) windows t'indique en bas à à droite qu'il voit un nouvel USB et recherche son pilote, puis annonce si il l'a trouvé ou pas. Dans la majorité des cas il le trouve. Dès lors si le disque dans le dock n'apparait pas c'est que ce disque a un problème. Par contre tout ce que tu pourras y voir sont les 3 partitions qui sont dessus mais sans plus ce qui est normal puisque les disques des synos sont partionnés sous linux et pas sous windows. Puisqu'il n'y a rien sur ce disque tu peux le reformater en n'importe quel système, même NFTS. Si cela ne réussit pas c'est que le disque est défectueux. Sinon tente de le remettre avec ce nouveau formatage dans le syno et recommence la procédure d'installation complète comme indiqué ci dessus.

As tu tenté un redémarrage du syno ? De la box ? Que disent les voyants ? (Bouton M/A, status, réseaux, disques ?)

Non mais c'est une bonne question... Je serais curieux de voir ça !

Oui avec un syno ou plus généralement avec tout appareil demandant de fréquents gros transferts de données la liaison filaire est quasi incontournable, sinon les débits ne seront pas au rendez-vous. En wifi de même qu'en CPL il y a les débits théoriques, très prisés des vendeurs, mais qui ne sont bien souvent même pas atteignables en laboratoire, qui n'ont rien à voir avec la réalité sur le terrain. De plus ces deux types de liaison sont mutualisés. Ils ne font transiter qu'un seul passage de données à un moment donné. Si par exemple ton ordi demande à télécharger sur le net un gros fichier en wifi ou en passant par une liaison CPL et que ta femme envoie un fichier sur le syno par wifi ou le même lien CPL vos données passeront alternativement l'une après l'autre mais pas ensemble. Ce qui veut dire qu'avec un débit moyen du CPL de 3 ou 5Mo/s (25 à 40Mb/s) le débit réel de chacun des utilisateur ne sera en fait que 1.5 à 2.5Mo/s). On est très loin des 60 à 80Mo/s qu'on peut décemment espérer d'un bon réseau gigabit bien construit. Sans parler des aléas de transmissions, les parasites, les pertes épisodiques de liaison etc. A mon avis il faut garder la Wifi pour des connexions de courts transferts de données (gestion de mails, consultations rapides de données sur le net) pour les appareils mobiles. Quant au CPL c'est un peu une fumisterie qui coute quand même très cher comparativement au coût moindre d'une installation filaire. Moi je laisserais le syno proche de la box. Question refroidissement, tout va dépendre de la taille du placard...

As tu procédé à l'installation du DSM sur ton syno ?

Non absolument aucun risque à ce niveau. Les resets du syno ne touchent absolument pas aux données, fichiers etc placés sur le syno. Le "simple reste" (un seul appui long) remet le DSM existant avec les paramètres initiaux dits "sortie d'usine". Dans ce cas l'identifiant d'accès au DSM redevient "admin" et sans mot de passe, le syno supprime les IP fixes et repasse en DHCP auto et plus généralement tous les paramètres perso sont supprimés. A noter à cet effet qu'il est possible (à chercher dans le DSM) de faire des sauvegardes de ces paramètres. Le "double reset" (un double appui long) supprime le DSM existant. Utile en cas de plantage ou de corruption du DSM. Il faut alors réinstaller le DSM soit par le même version que celle qu'il y avait (les précédentes sont systématiquement refusées) soit par une version supérieure. Attention quand même le passage à une version supérieure peut nécessiter des étapes intermédiaires par certaines versions clés si on part d'une très vieille version. Ainsi si on était en DSM2.2 par exemple on ne peut pas passer directement à 5.1. Il faut d'abord passer par le 3.0 (ou 3.2 ?), puis par la 4 etc. C'est précisé sur le site www.synology.fr. La solution de limiter la plage accessible est une solution moins pire, mais la seule vraie qui soit bonne et la plus facile à mettre en oeuvre est la réservation d'adresses. Imagine toi deux secondes administrateur d'un réseau dans une tour à la défense avec 1000 ordinateurs dans 200 bureaux et d'^étre obligé de demander un rendez-vous à chaque utilisateur pour aller paramétrer son matériel. En tenant compte de ses réunions de direction, ses rendez-vous professionnels, ses RTT, ses congés maladie... Là tu restes dans ton bureau et tu paramètres simplement les routeurs.

As tu suivi scrupuleusement et dans l'ordre exact la "notice installation rapide" ? Dans ton cas voilà ce que je ferais : - Lui faire subir "un double reset" = un 1er appui long sur le poussoir reset (au moins 4/5 secondes) jusqu'au bip, puis après 4 ou 5 secondes refaire un second appui long de 4/5 secondes de ce reset. Attendre que le syno ait finir de faire le sapin de Noël et l'éteindre. - Sortir le disque dur - Le monter dans un ordi ou sur un dock USB - Le reformater en rapide. N'importe quel type de formatage, ça n'a aucune importance. Si le fabricant de ton disque propose un petit logiciel de test du disque fais le. - Si le disque est déclaré bon le remonter dans le syno, sinon demander un échange. - Rebrancher le syno comme il faut, sur le courant bien sûr mais aussi sur ta box (ou un switch branché sur ta box) avec un câble RJ45 - Utiliser un ordinateur lui aussi branché sur la box avec un câble. Pour l'installation le wifi n'est pas recommandée et bien l'éteindre sur l'ordi. - Faire la recherche du syno soit par le site internet indiqué soit en installant le programme "DSassistant" à télécharger sur www.synology.fr. (D'ailleurs y télécharger aussi les fichiers indiqués plus loin en même temps) - Une fois le syno trouvé relever son nom et son adresse IP indiqué par ce logiciel. - Lancer l'installation du DSM. Ca dure environ 15/20mn. Etre patient et ne pas s'inquiéter, le syno va redémarrer tout seul au moins une fois. Le laisser faire. La bonne fin sera indiquée à l'écran. - Avant, supprimer les mises en veille de l'ordinateur-installateur. - En principe le logiciel de fonctionnement du syno (appelé DSM) est automatiquement téléchargé sur synology mais il arrive que ce téléchargement ne marche pas. Dans ce cas aller sur le site www.synology.fr et télécharger le fichier XXXX.pat qui correspond exactement à ton modèle de syno et refaire l'installation du syno en indiquant le chemin d'où se trouve ce fichier .pat sur ton ordi. - Si tout se passe bien (et c'est le cas dans 98% des cas) ton syno doit présenter les voyants suivants : - Voyant bouton M/A = bleu fixe en marche normale. (Clignote quelques dizaines de secondes à l'allumage ou l'arrêt du syno. Si il clignote en permanence = défaut carte-mère ou disque. - Voyant "status" = vert fixe en marche normale. Clignotant orange = défaut ou absence de DSM - Voyant "réseau" = vert fixe (ou frétillant lors du passage de données sur le réseau) en marche normale. Eteint = défaut du réseau, non branché etc. - Voyants "disques" = vert fixe (ou frétillant lors des accès disques). Eteint = disque défectueux ou non reconnu. Arrivé à ce stade ton syno est opérationnel. On peut alors tester le fonctionnement de l'ordi en wifi si besoin était. Mais cela ne sera pas fini. Il faudra encore gérer les "Dossiers Partagés", les "utilisateurs", les "groupes" et les "permissions". Et la grand aventure pourra commencer... Sur le site www.synology.fr il existe aussi (en PDF à télécharger) la notice complète et très détaillée pour ton modèle de syno. A noter que les disques durs neufs en panne cela existe vraiment. Certaines marques plus que d'autres. Dans ce cas les revendeurs sérieux les échangent sans problème. Si ton syno plante encore après tout ça, trouves toi un disque même de faible taille dont tu pourras détruire les données pour retenter l'installation. Si là ça marche alors échange du disque neuf. Si toujours problème l'après vente (par internet) de synology est efficace et assez rapide, ils répondent en moins d'une semaine environ. Bien évidemment poser des questions succinctes en anglais mais préciser que tu es français. Ils ont assez souvent des techniciens francophones.

Ce n'est pas "ma" logique mais le principe fondamental de fonctionnement d'un système basé sur un serveur de données. Et les synos sont avant tout des serveurs de données à part entière, petits certes, à taille d'usager personnel. En utilisation normale c'est à dire y placer des données ou récupérer et exploiter ces données on doit procéder comme annoncé ci-dessus. De plus ce type d'utilisation est bien plus pratique que d'avoir à s'identifier en permanence sur le DSM. Contrairement à ce que tu crois au moins un "utilisateur" a été enregistré automatiquement lors de l'installation du syno, c'est le nom de session de l'ordi qui a servi à faire cette installation. Tu le retrouveras d'office dans les "utilisateurs" (dans le DSM) et il aura été automatiquement versé dans le groupe 'users' (à ne pas confondre avec "utilisateurs"). De ce fait depuis cet ordi en allant dans le poste de travail et en cliquant sur "réseau" tes synos apparaitront sous leur propres noms et en cliquant dessus tu dérouleras tes "Dossiers Partagés, comme ceux automatiquement créés "video, photo, et music" ainsi que ceux que toi en tant qu'administrateur aura pu créer en supplément. Car il faut en créer ! Sur le point deux je confirme que la mise d'IP fixes dans le syno n'est pas la bonne méthode et elle peut occasionner des problèmes de conflits et/ou par la suite des "disparitions" de syno en cas de changement de routeur par exemple. Pourquoi ? Imagine un syno bloqué en 192.168.0.2. Tu l'éteins. Entre temps quelqu'un branche un nouvel appareil, un smartphone en wifi par exemple. L'adresse 192.168.0.2 étant devenue libre elle sera attribuée par le routeur au nouveau smartphone. Jusque là pas de problème, ça marche. Tu redémarres ensuite ton syno. Il va "imposer" son 'IP 192.168.0.2 au routeur. Et deux appareils vont être sur la même IP avec des dysfonctionnements aléatoires et assez déroutants. La vraie solution "pro" : Tu laisses tous tes appareils, synos, ordis etc en DHCP auto. Déjà c'est plus simple et moins de boulot à faire. Ensuite tu vas dans ton routeur section "DHCP". Là tu trouveras un endroit pour attribuer des IP statiques aux appareils voulus. Dans la live box par exemple ça s'appelle "adresse IP statique". Tu vas pouvoir y mettre tes synos (par leurs noms si ils sont allumés ou par leurs identifiants MAC inscrits au dos des synos) et leurs définir une IP par exemple 192.168.0.2 pour le syno 1. En validant ce service cette adresse IP sera dite "réservée" dans le routeur et ne sera jamais attribuée à quiconque d'autre que ton syno 1 (il sera reconnu à son allumage par son identifiant MAC). Donc jamais aucun conflit d'adressage. De plus si tu changes de routeur et que ce nouveau ne soit pas sur le même plan d'adressage ton syno sera quand même reconnu et accessible au moins pour le reparamétrer.Sinon si le syno cherche à imposer son 'IP fixe (192.168.0.2) au routeur qui lui serait sur la plage 192.168.1.x il ne sera jamais pris en compte et tu ne pourras jamais y accéder sans faire un reset du syno. Je ne voudrais pas passer pour un vieux ronchon mais un syno ne s'installe pas en 5mn chrono (comme peuvent bien souvent l'affirmer les "vendouilleurs") mais en plusieurs semaines avant d'avoir un vrai début d'utilisation "de croisière". Une fois cette installation matérielle correctement en place il faut faire un "plan" de fonctions. Imaginer tous les Dossiers Partagés dont on aura besoin, d'abord en y classant les données de façon ordonnée et aussi en tenant compte des "permissions" (droits d'accès) que chacun des utilisateurs pourra avoir. Au début ça parait simpliste mais rapidement, avec le temps qui fait oublier des réglages qu'on a fait quelques jours auparavent, l'augmentation des données dans le syno et les demandes des utilisateurs, si au départ on n'a pas un plan bien structuré on commence vite à s'arracher les cheveux. Je ne sais pas ce que tu comptes faire de tes synos mais par exemple beaucoup s'en installe un pour servir de gros jukebox à films. En fait ils n'utilisent le syno qu'au millième de ses possibilités. Mais cette fonction jukebox n'est possible que parce que le syno à un architecture de serveur, exactement comme ceux de Google mais en modèle réduit. Il est donc souhaitable d'en connaître au moins les principes de base comme par exemple que seul l'administrateur puisse accéder aux paramètres du serveur (ici appelé DSM) et que les droits des utilisateurs restent sous l'entier contrôle de l'administrateur. Sur le site www.synology.fr (en français) il y a plein de renseignements, d'aides et de documents dont la notice à télécharger en PDF, très complète et bien détaillée pour ton modèle de syno . A utiliser comme livre de chevet...

Normalement les utilisateurs "lambdas" c'est à dire tous les autres qui ne sont pas l'administrateur, ne doivent jamais accéder au DSM. L'accès au DSM est fait pour paramétrer le syno et rien d'autre. Seul l'administrateur ne doit pouvoir y avoir accès et personne d'autre ou alors bonjour le foutoir. Les utilisateurs lambdas ne doivent pas utiliser file station. Ce service est là pour permettre justement d'avoir accès à certains fichiers (choisis par l'administrateur) depuis l'extérieur du syno et à des utilisateurs dûment autorisés (toujours par l'administrateur). Premier point : il ne faut pas bloquer des IP fixes dans les synos. Il faut les laisser en DHCP auto et par contre faire des "réservations d'adresses" dans le routeur. C'est beaucoup plus logique et c'est la garantie absolue de n'avoir aucun conflit d'adresses. Deuxième point : Un ordinateur du réseau local (comme n'importe lequel de tes trois machines) sera reconnu par les synos par le "nom de session" qui est en cours d'utilisation. En fait l'ordinateur en tant que machine physique n'a aucune importance ni existence pour le syno. C'est la "session" de la personne qui travaille qui compte, quelle que soit la machine utilisée. (En entreprise le même ordi peut être utilisé par plusieurs personnes. Dans ce cas chacune de ces personnes aura sa session d'installée sur la machine. Ainsi il pourra travailler sur ses propres travaux sont interférer sur le travail des autres). Il faut donc vérifier (et inscrire si nécessaire) ce nom de session (et son pass) dans les utilisateurs du syno. Ensuite il faut donner des "permissions" à ces utilisateurs envers les différents "Dossiers Partagés" des synos. ENFIN et SURTOUT il faut désactiver toutes les permissions données dans le "Groupe USERS". Tous le sutilisateurs inscrits dans le syno sont automatiquement versés dans le groupe "users" et ne peut pas le sretirer ni supprimer ce groupe, donc désactiver tous le sdroits (permissions) du groupe. (Dans les versions antérieures du DSM ces permissions s'appelaient "privilèges". Dès lors chaque utilisateur en ouvrant son "poste de travail" (appelation windows et "finder" je crois dans Mac) et en cliquant sur "réseau" verra le (les) noms des synos présents et en cliquant sur ceux-ci verra se dérouler la liste des dossiers partagés auxquels il a droit d'accès. En aucun cas il ne pourra supprimer (ou créer de nouveaux) dossiers partagés, ni modifier les paramètres de fonctionnement des synos. En accès extérieur (internet) sur un mobile avec l'appli DSfile un utilisateur pourra lister les dossiers partagés qui auront été validés dans file station par l'administrateur).

Et par hasard ton imprimante ne serait-elle pas compatible réseau ethernet ? Si oui plutôt que de la brancher en USB raccorde là en réseau c'est bien plus logique et ça ne te bouche pas une prise USB du syno.

En fait deux cas différents sont soulevés. Pour le syno cette technologie est conçue dès le départ pour tourner 24/7. Ce qui est d'ailleurs parfaitement logique car ces appareils sont en principe faits pour répondre à tout moment à toutes les demandes. L'arrêt périodique (ou pire pour les économies de la planète...) va nécessiter un travail supplémentaire, puis un refroidissement suivant d'une remontée en température des disques. C'est justement ces variations de température qui sont très néfastes aux disques. Donc un syno (comme tout serveurs) doit tourner 24/7. Par contre au niveau d'un ordi dont on se sert peu, 2 ou 3 heures et qui ne sert plus pendant 15 ou 20h d'affilée, il vaut quand même mieux l'éteindre car là d'une part la planète sera contente (et surtout votre porte-monnaie) et ensuite les longues périodes inactives feront quand nettement gagner en longévité du matériel. Et il est vrai, surtout avec windows, que les redémarrages permettent à ce logiciel assez imparfait de se réinitialiser souvent. Et il en a très souvent grand besoin !

Non on peut les regarder l'un après l'autre. Mais tout ce que tu verras sera qu'ils sont divisés en 3 partitions.

En gros en RAID0 on sépare le secteurs pairs et impairs des fichiers. On enregistre les impairs sur le disque 1, les pairs sur l'autre. Il est évident que la moindre défectuosité d'un des disques fera perdre la moitié dees données de tous les fichiers donc toutes les données sont totalement détruites. Ce système avait été très utilisé du temps des dérouleurs à bandes magnétiques pour compenser la lenteur de positionnement des bandes. Dans le JBOD on a un premier disque dit "maitre" sur lequel est placée la table d'allocations. Les autres disques dits "esclaves" sont exclusivement gérés par la table d'allocation du disque maitre. Cela permet d'avoir un volume de stockage unique et très grand correspondant à l'addition des capacités des disques en jeu. Ce volume est extensible à tout moment par simples ajouts de disques supplémentaires. Du fait de la fragmentation des données qui peut en fait se répartir sur plusieurs disques il est impossible de retirer ou remplacer un disque dans ce système, cela se traduit par la perte totale de toutes les données. Alors que danq les autres formules (basic, SHR, RAID 1ou 5) la sauvegarde n'est que vivement recommandée, un systéme de sauvegarde très sérieux, trés strict et très régulier est obligatoire en JBOD ou SHR0. De même qu'un onduleur connecté au syno. Pour de petits utilisateurs particuliers comme nous, quand on veut privilégier la taille de stockage la seule formule "tranquille" est le BASIC. On crée autant de volumes indépendants que disques, chaque volume ayant la capacité de son disque. La capacité totale de stockage correspond alors à l'addition des capacités des volumes.