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domlas

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Tout ce qui a été posté par domlas

  1. As tu changé de box ? Il se pourrait qu'un port du routeur soit fermé pour cet usage.
  2. Oh mince ! J'aurais du m'en souvenir. Ton post m'a subitement remis en mémoire un incident quasi identique chez un copain voici 3 ou 4 ans; Il se plaignait que par moment son ordi n'était plus en réseau. Puis le lendemain ça remarchait. Je me suis retapé tout son réseau, depuis son sous-sol jusqu'à son bureau au premier. En fait il avait au fond d'un placard un switch 3com 8 ports qui semblait parfait. les voyants bien visibles qui clignotaient bien... On était en été et deux ou trois jours après on a eu un bon coup de chaleur et là patatras plus rien. C'était bien le 3com. Remplacé par un netgear "pro" (en boitier métal) tout est reparti comme en 14. En fait j'ai soupçonné le boitier alim mais je n'en avais pas d'autre pour faire des essais. Bien souvent sur ces petits appareils avec les foutues alims qui sont impossibles à brancher au mur sans qu'elles tombent où qui bouffent trop de place sur les blocs de prises sont de vraies cochonneries. J'ai eu une livebox qui s'est mise à merdouiller. Je lui ai collé une "vraie" alim, comme dans le temps avec transfo, redresseur etc. Plus aucun problème. Elle a tenu 4 ans jusqu'au changement pour la play. Et aussi un ancien modem Olitec.
  3. Oui c'est un bon appareil. Personnellement j'ai un Eaton 900VA PRO aussi. Il se pourrait peut-être même bien que ces deux appareils sortent du même "tonneau"... Avec des étiquettes différentes bien sûr ! Pour le choix c'est surtout la puissance de sortie qui va être importante. En générateur d'énergie électrique on parle toujours en VA (VoltAmpère) et pas en W (watts). En courant alternatif les appareils purement résistifs ne créent pas de puissance réactive et l'on peut dire que les W sont égaux aux VA. C'est le cas des résistances de chauffage, des ampoules à filament. Beaucoup d'appareils comme les moteurs, les alimentations électroniques comportent des selfs (bobines) et créent de la puissance réactive. D'ailleurs les alims à découpage sont complètement basées sur cette puissance réactive). En gros ça déphase le courant par rapport à la tension. Cette puissance réactive est une puissance "perdue", elle ne procure pas de puissance active qui elle s'exprime en W. Le générateur de courant (alternateur) va devoir produire la puissance active et en plus la réactive. C'est la cas de ton onduleur. Normalement sur les plaques signalétiques (en principe obligatoires) il doit être indiqué la puissance active (W) le cos phi et le rendement. Ainsi un moteur de 1CV (donc 736W) avec un rendement de % (0. et un cos phi de 0.85 va demander à l'alternateur une puissance de 1082VA en environ un courant de 1.6A par phase dans le cas du triphasé.. Avec les "petits" appareils électroniques disposant d'alimentations dites à découpages de quelques dizaines de watts, voire une ou deux centaines de watts on table sur un cos phi moyen (rarement indiqué sur ces appareils) de 0.6. On ne prend pas de risque. Ainsi un engin de 235W demandera 392VA à l'onduleur. Ca devrait être le cas de ton projecteur. Au niveau des particuliers on s'en fout un peu parce que EDF utilise un compteur de type wattmètre qui ne comptabilise que la puissance active en watts. On ne paye que ça. Enfin presque car EDF considère qu'en moyenne ton installation va avoir globalement un cos phi supérieur à 0.85 et il intégre dans le prix du KW/h le coût de cette puissance réactive estimée. Ce n'est pas du tout la même chose pour les entreprises nécessitant de très grosses puissances. Là EDF installe des compteurs de KVAR qui enregistrent la puissance réactive. Si tu dépasses la tolérance de 0.85 la facture s'alourdit nettement; Pour choisir ton onduleur il faut obligatoirement que sa puissance soit supérieure à la demande maxi sinon il disjoncte vite fait. Il est en outre "malin" de le prendre surdimensionné au moins de 40%. Deux avantages, d'abord on pourra ajouter des appareils à venir dans le futur et aussi son temps de fonctionnement sur batterie sera prolongé. Si un onduleur tient 15mn à pleine charge il devrait tenir au moins 30mn à 35% de charge. Bien souvent la différence de prix entre un modèle 500VA et un 800VA n'est pas rédhibitoire et même souvent assez minime. Autre point : les "parafoudres" si mal nommés. Ce sont des limiteurs de surtensions sans plus mais ce n'est déjà pas mal. Le principe est le suivant. On utilise un composant qui est isolant en dessous d'une tension et devient conducteur au dessus. Lorsqu'il conduit (à cause d'une surtension) ce surplus doit impérativement être dirigé vers une prise de Terre de bonne section et de très bonne qualité; Il faut bien comprendre qu'en présence d'une "onde de choc" de plusieurs milliers de Volts, l'écoulement vers la Terre va être énorme, en centaines d'ampères. Il est alors impératif que l'installation comporte un disjoncteur différentiel de tête qui devra réagir immédiatement afin d'arrêter la casse. Sans Terre et sans différentiel le "parafoudre" ne sert strictement à rien et peut même devenir dangereux. Comme toujours les appareils capables d'écouler de très fortes surtensions sont peu précis (au niveau tension de seuil) et réagissent lentement (quelques dizaines de millisecondes quand même). C'est suffisant pour bon nombre d'appareils seulement "électriques" comme les ampoules, moteurs, transfos, frigos etc mais pas assez pour l'électronique beaucoup plus sensible. Il existe donc des éléments parasurtenseurs beaucoup plus fins en tension de seuil et plus rapides mais qui ne sont pas capables de véhiculer de très fortes ondes de choc, ni de contrôler de grosses puissances. On les installe donc dans le circuit final d'alimentation des appareils sensibles et évidemment l'onduleur est l'endroit tout trouvé. Là encore il est obligatoire d'avoir un raccordement à la Terre en bon état. Il faut donc installer un parasurtenseur de forte puissance dans le tableau principal électrique car indispensable pour protéger les parasurtenseurs en aval et installer de petits parasurtenseurs locaux pour les appareils électroniques très sensibles. A moins de très bien connaître les installations électriques il ne faut pas bricoler ce genre d'installation. Un parasurtenseur mal installé peut prendre feu et créer un incendie ou pire écouler la surtension vers les usagers par le chemin des connections de Terre. Et là ça fait de très gros dégâts. Ca dépend aussi des régions. Si dans l'Ile de France en grande ville les risques de foudre sont très réduits et où ce genre de protection est un peu superflu, dans le sud-est de la France en habitat individuel et lignes aériennes ces protections sont quasi indispensables.
  4. Dans certains cas on parle aussi de synchonisations de fichiers. Je n'utilisent pas TimeBackup mais du peu que j'en sais il sait le faire et sait aussi conserver un certain nombre de copies précédentes.
  5. Je suis assez surpris des durées indiquées. Pour comparaison je transfère couramment des fichiers assez importants de l'ordre de 1Go ou des photos en NEF et ça va quand même beaucoup plus vite. Un fichier vidéo de 1Go met de l'ordre de la minute pour passer de mon ordi (windows) au syno et un peu plus (2mn peut être) pour passer de l'ordi vers un disque USB branché sur le syno. Mon ordi et le syno sont branchés en câble sur le switch d'une livebox play (gigabit). Par contre je ne me sers d'aucun dossier partagé fourni par synology comme photo par exemple. D'abord parce que je considère que la première base de "sécurisationnement" consiste avant tout à ne pas rester sous les mêmes architectures que tout le monde. Comme je ne garde pas l'identifiant "admin" pour gérer mon DSM, comme j'ai changé l'adressage de base de mon réseau (je n'ai pas gardé le 192.168.1.xxx que tous les Orangistes utilisent). L'autre raison, et celle là pourrait peut être te donner une piste, est que je n'ai pas besoin de l'indexation avec création d'imagettes et tout le toutim pour mes photos. Car cela prend beaucoup de temps. Ne pas oublier que lorsqu'on veut copier un fichier du syno vers le disque USB en traitant la commande depuis son ordi, les données vont d'abord venir du syno vers l'ordi puis repartir vers le syno et le disque USB. Ca ralentit bien les choses surtout en Wifi qui est "mutualisé". C'est à dire qu'il ne sait passer qu'un transfert à la fois. Il descend un peu de données, puis met ce transfert en attente pour passer un peu de données dans l'autre sens. En gros ça double le temps. En wifi, que j'utilise peu, mais qui est utilisé par ma femme sur son portable les photos sont un chouhia plus longues à passer. mais c'est dérisoire, peut être 10 secondes au lieu de 3 ou 4. Elle ne copie jamais de vidéos. Par contre je regarde de temps en temps des films sur ma tablette androïd. Les mpg ne posent aucun problème, elles sont fluides sans à coup. De toute façon je ne suis pas un fou fana furieux des vidéos super/hyper/high/HD et autres. Ca ne sert pas à grand chose d'avoir une définition inimaginable quand on regarde sur un petit machin de 15x20cm. Pour ton problème, et crois en quelqu'un qui a passé sa vie à faire des tests pour localiser des problèmes, il faut que tu traites cas par cas. Commence pas brancher par câbles ton matériel. Ordi vers switch Gb et syno sur ce même switch. Y raccorder aussi la box. Prendre un fichier "test" assez volumineux de l'ordre de 4 ou 500Mo. Faire tous les tests avec ce même fichier. prendre un chrono, ne pas trop se fier aux indications souvent farfelues données sur l'écran. Créer un dossier partagé "normal" sur le syno pour se soustraire des indexations et autres détails du même genre. Faire d'abord un transfert de l'ordi vers le syno et voir combien de temps ça met.Recommencer 3 ou 4 fois. Cela permet de savoir si la liaison est stable ou perturbée. Faire ensuite pareil mais dans l'autre sens, du syno vers l'ordi. Noter les résultats avec une feuille de papier et un crayon.Oui c'est toujours aussi performant même à l'ère électronique ! Cela contrôlé, faire les mêmes tests mais cette fois vers le disque USB. Cela fini refaire ces mêmes tests en wifi cette fois. Toujours ne changer qu'un seul "réglage" à chaque fois, sinon si un coup on teste en wifi avec un petit fichier, puis ensuite chercher à comparer avec un lien CPL et un gros fichier tu ne pourras rien comparer et donc rien définir d'un dysfonctionnement quelconque. Il faut être très méthodique et définir un "protocole de mesures" comme on dit en métrologie. Ne pas oublier aussi que des disques en RAID vont avoir à établir le miroring en même (et en plus) ce qui ralentira aussi un peu le processus. Personnellement je n'utilise pas de mac. Mais ma fille et son compagnon (imprimeur) travaillent eux sur Mac et je ne les ai jamais entendu se plaindre, mais ils utilisent rarement la wifi. Dernier petit point souvent oublié : stopper durant ces phases de tests tout autre travail en tâche de fond comme par exemple les téléchargements au "kilomètre" qui monopolisent beaucoup de ressources.
  6. J'ai entendu parler de wifi "super rapide" (sic !) dans ton post. Il existe peut être du wifi plus rapide que du wifi mais même les soi disant rapides sont super lents par rapport à du gigabit. De mêm d'ailleurs avec les couples CPL. En gigabit total (ordi, câbles, switch et syno) tu peux espérer de l'ordre de 80Mo/s. Avec le meilleur des wifi si tu obtiens du 8Mo/s tu peux ouvrir le champagne ! Raccorde ton ordi sur le switch et ferme son wifi. Tu verras une petite différence. Attention aussi aux switchs incorporés aux box, beaucoup ne sont que 10/100Mb/s.
  7. Bon on est content que ça se soit bien passé. Mais sauvegarde tout de suite tes données surtout les plus précieuses avant de tenter quoi que ce soit d'autre surtout des mises à jour.
  8. Déjà pour commencer la passerelle par défaut chez orange n'est pas 192.168.1.254 mais 192.168.1.1 En fait c'est l'adresse du routeur dans la box. Free le met au 254, les autres au 1. (Il me reste le doute sur 192.168.1.1 ou 192.168.0.1 chez orange mais en tout cas le dernier bloc est bien 1 et pas 254) Normalement tu laisses le routeur de la box en DHCP auto. Tu dois laisser le syno en DHCP auto lui aussi (ne pas lui imposer une IP fixe) et lui réserver une adresse dans le routeur. Normalement il faut aussi désactiver le pare feu du syno (si il avait été activé) Quant à faire la mise à jour du DSM elle ne doit être faite exclusivement que lorsque tout le reste du fonctionnement est redevenu parfait. Lors de fonctionnements incomplets ou erronés ne jamais croire qu'une mise à jour sera le coup de baguette magique qui résoudra tout ! C'est exactement le contraire qui se passera. Dans un second temps (et là encore quand la partie précédente sera entièrement redevenue normale) il faudra résoudre l'accès depuis l'extérieur. Avec free c'était facile puisque free offrait une iP publique fixe. Avec orange il te faudra créer un compte DDns chez dtdns.net et paramétrer ta box en conséquence. Ou prendre un compte chez synology.me et paramétrer le syno en conséquence.
  9. Oui tente un arrêt "propre" (appui long du bouton M/A) puis un redémarrage. Le voyant qui clignote orange est le voyant "status" ? C'est probable. Si le voyant "status" clignote orange cela signifie que le DSM est endommagé ou perdu. Dans ce cas il est à peu près certain que les données (qui sont sur une autre partition) n'ont eu aucun dégâts. Les disques sont bien restés dans l'ordre initial ? Ils n'ont pas été déplacés ? Dans ce cas un "double reset" ne fera pas de mal et assurera la suppression "propre" du DSM (Les données ne sont pas touchées). Ensuite te munir de la même version de DSM que celle qu'il y avait dans le syno quand il marchait avant de tomber en panne. Lancer DSassistant pour retrouver le syno et recharger le DSM. En fait refaire l'installation comme le demandait la notice d'installation rapide. Si ça se passe bien, le syno devrait redémarrer. Sinon ça pourrait bien indiquer un défaut sur le disque 1 (maitre) et là ce serait très mauvais signe. En JBOD l'ensemble des disques est vu comme si c'était un seul gros disque. Seul le disque maitre possède la table d'allocation pour tout l'ensemble. les disques esclaves n'ont pas de table d'allocation et dépendent totalement du maitre. Celui-ci va enregistrer les données en les répartissant sur les secteurs libres répartis sur n'importe lesquels des disques. Du coup les données sont fragmentées sur tous les disques. De ce fait il faut absolument que tous les disques soient bons et dans le bon ordre pour récupérer les données. Si l'un des disques est HS la table d'allocation est soit complètement perdue soit déréglée et elle est alors incapable de retrouver quoi que ce soit. C'est pour cela qu'on dit qu'une sauvegarde très rigoureuse est indispensable eavec un JBOD.
  10. Ca fait toujours plaisir ce genre de petit message... Bonne journée.
  11. En JBOD ??? J'espère que tu as une bonne sauvegarde de tes données sur un autre support ! Entre nous en JBOD le risque est tellement important que la sauvegarde "vraie" est indispensable. Pour commencer, que disent les voyants ? Ils doivent être tous verts et fixes sauf celui du réseau qui devra être vert mais peut clignoter au rythme du réseau. Sur un JBOD en panne les données sont irrécupérables.
  12. Pour ma part c'est en vertu de ce genre de petits problèmes que j'attends de passer à 5.0. D'autant que pour mon usage cette version ne semble pas m'apporter de vraies améliorations et rien ne m'horripile plus que des appareils qui marchaient nickel avant présentent ce genre de petites tares après des mises à jours fréquemment inutiles et souvent problématiques. Ton cas semble me faire souvenir de pas mal de posts sur ce forum sur ce genre de problèmes avec 5.0. Pourtant il semble que beaucoup de choses auraient été solutionnées. Peut être est-il indispensable de sauvegarder tes modifications de paramétrage ?
  13. Et je suis entièrement d'accord avec CoulRaoul : garde ta propre session de travail pour toi exclusivement avec accés par MdP. Par ailleurs crée en une pour les gamins, voire même une par gamin. De cette façon ils ne risqueront jamais de venir foutre le chambard dans tes affaires. De plus dans windows tu peux configurer une suspension automatique au bout de xx minutes d'inactivité de ta session. On rejoint alors le même principe de fonctionnement que celui que j'ai décrit plus haut. Même en utilisant ta machine tes momes n'auront pas accès à tes données, ni sur ton ordi ni sur le syno. Cette fonctionnalité est trés utilisée en entreprise, elle permet à quiconque de continuer son propre travail depuis n'importe quel bureau.
  14. C'est des petite ficelles du syno. Prenons l'explication au début. Lors de la mise en service du syno ce dernier va créer un "groupe" nommé "administrator" qui possèdera la totalité des "privilèges" sur tous les "dossiers partagés" présents et à venir. De plus le syno va relever le "nom de session" et son pass en cours d'activité de l'ordi qui est utilisé pour la mise en service du syno. Il sera inscrit comme "utilisateur" et rangé dans le groupe "administrateur". De ce fait cette session (ou plutôt son propriétaire) va devenir administrateur ce qui permettra la suite de l'installation. Pour les autres ordis il faut les inscrire comme "utilisateur" dans le syno avec leurs noms de session. De cette façon ils pourront accéder aux DP directement sans avoir à s'identifier à chaque demande. Le hic est (du moins sur les DSM antérieurs à 5.0) qu'ils sont eux aussi automatiquement inscrits dans le groupe "administrateur" et ils ont donc eux aussi tous les droits. On ne peut pas désinscrire un utilisateur du ce groupe, ni supprimer ce groupe. Mais on peut le désactiver. Ainsi on pourra attribuer des "priviléges" personnalisés à chacun de ces utilisateurs envers chaque DP. Cela nécessite évidemment de créer une architecture finement réfléchie de ces DP afin que certains utilisateurs n'aient accès qu'à certains DP et ne pas se cantonner à entasser en vrac les documents par milliers dans les seuls 3 ou 4 DP installés d'origine par synology.
  15. Ton syno ne connait certainement pas ton nouvel ordinateur. Ou plus précisément le "nom de session" qui travaille sur cet ordi. Il te faudra relever ce "nom de session" et son mot de passe sur le nouvel ordi, puis entrer comme administrateur dans le DSM du syno et y créer un nouvel "utilisateur" ayant ce nom de session et son pass. Enfin il faudra lui donner les "privilèges" que tu acceptes de lui donner. Il te faudra par la suite certainement revoir l'organisation de tes sauvegardes pour tenir compte du nouvel arrivant.
  16. On en revient toujours un peu aux réponses de normand : le choix de la configuration des disques dépend surtout de l'usage auquel on destine le syno. On peut dire qu'en gros il y a trois grands genres de formules, le basic, le JBOD et les RAID. Chacun apporte des fonctionnalités différentes et chacun à ses avantages et ses inconvénients. Le "BASIC" est le plus simple, le moins créateur de risques, le moins solliciteur pour les disques et permet facilement par la suite de passer au SHR ou RAID. Pour nous petits particuliers n'ayant pas des impératifs de service à assurer quoi qu'il arrive c'est certainement la meilleure formule. Le SHR (en RAID 1 puisque seulement 2 disques) créera un volume de stockage composé des deux disques maintenus en permanence en parfait miroir l'un de l'autre. Contrairement à un fausse pensée très répandue (et fortement ancrée) ce ne doit pas être considéré comme une "protection" ou "sécurité" des données. Le gros avantage du RAID est d'assurer la continuité du fonctionnement du serveur de données en cas d'arrêt d'un disque. Par ailleurs ce système étant logiciel est très sujet aux bugs, subit très mal les pannes de courant et peut assez souvent causer de graves pertes de données suite justement à des incidents de ce genre. Le JBOD (appelé parfois aussi RAID0 bien que ce ne soit pas la même chose) permet de créer un grand volume unique composé d'un premier disque maitre et de plusieurs autres disques dits esclaves. La taille du volume sera l'addition des tailles des disques. On peut rajouter des disques supplémentaires à l'infini mais on ne peut plus jamais les retirer, ni les remplacer. Le moindre cafouillage d'un seul disque fait perdre irrémédiablement la quasi totalité des données. Cette disposition peut néanmoins être très utile pour certains utilisateurs ayant besoin de très grande taille de volume comme par exemple les monteurs de séquence vidéos en très haute définition. On sort un peu de nos petits problèmes. La terreur des syno, surtout en RAID, SHR ou JBOD étant les pannes de courant il est presque obligatoire de se munir d'un onduleur de bonne qualité avec fonction UPS. Les sauvegardes sont toujours hautement recommandées, surtout en RAID et SHR et quasi obligatoire en JBOD. Une vraie sauvegarde devrait respecter la règle de trois suivante : sur un autre support (disque), sur un autre système (autre syno, disque USB...) et si possible dans un autre lieu. Il ne faut pas sauvegarder des disques d'un syno sur un autre disque du même syno. En cas de défaillance du syno.... Il faut créer un processus de sauvegarde très rigoureux, très régulier, fréquent et automatisé. Tout, loin de là, n'est pas à sauvegarder. Nos données personnelles, uniques, sont à sauvegarder deux fois plutôt qu'une, comme nos photos perso, nos vidéos de famille, nos copies de documents officiels. Mais pour tout ce qui est téléchargeable, musique, vidéos, c'est totalement inutile, en fait la sauvegarde est déjà existante sur le lieu de téléchargement. Faire aussi le tri des fichiers provisoires de travail, utiles lors de l'avancement d'un travail mais bons à supprimer ce travail fini. On devrait le faire systématiquement... L'apprentissage du syno est long. J'ai des synos depuis 2005. J'en apprends encore et pourtant je n'utilise pas toutes les fonctions, loin de là. Il faut commencer par le mettre en service. Ensuite bien appréhender son fonctionnement et toutes ses finesses d'utilisation sur le réseau intérieur. Bien comprendre le rôle et les raisons des "dossiers partagés" et des "privilèges" que chacun des "utilisateurs" pourra avoir sur ces dossiers. Une fois ce point bien acquis on peut alors songer à passer au service extérieur sur le net. Ca ne marche pas tout seul en deux coups de bouton poussoir ! Il faut créer toute une architecture, un protocole. Il est très recommandé de télécharger la notice complète (dans les 300 pages) sur le site de synology.fr. Elle est très instructive même si tout n'y est pas toujours expliqué. En tout cas bienvenu au club des "félés du syno" !
  17. Il faut bien comprendre la philosophie d'un Nas. C'est un engin conçu pour être un serveur de données. A ce titre le matériel est conçu pour tourner 24/7 sans arrêt ni "mise en veille". C'est parfaitement logique. Contrairement à ce qu'on pourrait penser les arrêts et remises en marche usent bien plus le syno et les disques qu'une continuation de fonctionnement qui se poursuit à température stabilisée. Donc ton syno, tu l'allumes puis tu l'oublies. Le mien tourne ainsi depuis bientôt 5 ans sans aucun souci.Juste deux ou trois arrêts complets par an pour nettoyage approfondi. Dans ton cas qui est un peu le mien, j'ai choisi le basic à deux volumes séparés composés d'un disque chacun. Ensuite une bonne trentaine de dossiers partagés répartis sur l'un ou l'autre volume.
  18. Que ce n'est pas très malin. C'est un peu comme avoir un local de 500M2 dans lequel on entasserait des documents papier en vrac jusqu'à plus soif. Bonjour la crise nerf pour retrouver un document. Il est beaucoup plus intelligent de se créer plusieurs armoires (ou dossiers partagés) qui comporteraient chacune plusieurs étagères (sous dossiers) qui supporteraient chacune des dossiers suspendus dans lequels seraient rangés les quelques documents appartenant au même sujet. Là on retrouve quelque chose vite fait bien fait. Sans compter qu'on peut aussi mettre des cadenas différents su chaque armoire et ainsi contrôer qui à accès à quoi.
  19. Pour Loubet, C'est bien de citer ma proposition du JBOD. Encore faut-il lire jusqu'au bout et surtout ce que je nomme "inconvénients". A mon avis vu nos faibles moyens ce système nous est totalement rédhibitoire.
  20. Non sauf mauvaise manipulation.
  21. En fait tout va dépendre de l'utilisation envisagée. Si tu veux assurer un service continuel de serveur de données il faut choisir un RAID; Soit deux volumes distincts en RAID1 donc 2 disques en miroir 'un de l'autre pour chaque volume, soit un seul volume composé des 4 disques genre RAID5. La terreur des RAID est la coupure imprévue de courant. Donc un bon onduleur UPS est très, mais vraiment très recommandé. D'autre part les RAID n'étant pas des système de sauvegarde il est vivement voire indispensable de monter une sauvegarde sérieuse sur un (des) support externe. Ne jamais oublier qu'en RAID les données sont beaucoup plus manipulées pour toujours maintenir le parfait miroring et sollicite bien plus les disques et le syno. Si le besoin de garantir la disponibilité permanente du serveur de données n'est pas indispensable, choisir la formule "basic" qui consiste à créer autant de volumes que de disques. C'est dans ce cas qu'on obtient la plus grande capacité de stockage. C'est aussi le système le plus simple et le moins "manipulateur" de données. Par contre la casse d'un disque fait perdre les données de ce disque (volume) et il faut là encore prévoir des sauvegardes. Néanmoins les disques étant moins sollicités les risques de panne sont moins grands. On peut aussi "panacher". Faire un RAID1 avec deux disques et deux volumes basic avec les deux autres disques. Il y a aussi le JBOD qui consiste à créer un seul volume composé d'une part d'un disque "maitre" et de plusieurs autres disques dits "esclaves". L'intérêt est que la taille du volume sera égale à l'addition des tailles des disques. On peut rajouter indéfiniment (tant qu'on a des baies de vides) des disques pour agrandir le volume. Les inconvénients sont qu'on ne peut plus retirer ou remplacer un disque du système. La casse d'un disque entraine pratiquement toujours la perte complète des données. Dans ce système l'onduleur et les sauvegardes rigoureuses sont obligatoires. Dernier petit point qui peut avoir son importance. Il est très facile de commencer par du basic puis ultérieurement de convertir en RAID. L'invers, revenir en basic en partant d'un RAID est plus délicat et plus compliqué. Mais on en revient toujours que c'est l'usage auquel tu destines le syno qui décidera de la meilleure formule.
  22. Mais surtout j'ai oublié le plus évident qui est pourtant si vivement recommandé sur ce forum : effectuer sérieusement et régulièrement des sauvegardes sur un simple disque externe USB.
  23. Je n'ai pas encore eu le besoin mais il y aurait linux reader qui devrait pouvoir consulter les données inscrites en ext4. Sinon installer tout simplement ubuntu en dual boot, ce qui peut en plus favoriser un aprentissage intéressant de cette formule qui devient de plus en plus répandue.
  24. Comment as tu installé ton switch ? Je pense qu'avant tu avais ton ordi, le syno et d'autres engins directement sur le switch de la box. Pour mettre un second switch il faut le brancher sur une des sorties du switch de la box et raccorder les appareils dessus. En théorie il vaudrait mieux brancher les engins devant fréquemment échanger de gros transferts sur le même switch, il semblerait que sinon il y ait un léger ralentissement. Je n'ai jamais vraiment constaté. En gigabit on n'atteint quasiment jamais un débit réel de 1024Mb/s soit 128Mio/s. Quand on tourne dans les 80Mio/s (650 à 700Mb/s) on doit s'estimer heureux. Les freins sont les parasites, les qualités de câbles et leur longueur. Au délà d'une vingtaine de mètres le débit diminue. Bien évidemment un réseau gigabit est exlusivement câblé. Proscrire absolument le wifi et les prises CPL qui réduiront quoi que puissent en dire les "marchands" considérablement le débit, au mieux 40 à 60Mb/s (6 à 8Mio/s).
  25. Oui les "traductions" sont parfois surprenantes ! Ajuster à la place d'étendre aurait peut être été mieux choisi. C'est tout le problème de ces appareils fabriqués dans des contrées lointaines et où bien souvent les notices sont "adaptées" au fur et à mesure des pays où l'engin s'exporte. Il est fréquent qu'un produit taiwanais arrive au Japon avec une première traduction de la notice. Ensuite un Japonais à l'idée de trouver un marché en Chine et traduit sa notice "japonaise" en Chinois. Un petit chinois se débrouille pour créer un marché en Russie, le chinois et translaté en russe. Un russe approvisionne la suède et baragouine la notice en suédois. De là on passe en Hollande, en Allemagne pour arriver en France... Ce n'est pas une spécialité exclusive à Synology, c'est à peu près pareil pour bien des engins construits dans des pays trop lointains. Il faudrait (certains importateurs le font) prendre la notice originale et se trouver un bon traducteur technique franco-taiwanais, mais ça coûte plus cher. On préfère le principe du téléphone "arabe", vieux jeu de cours de récréation... J'ai lu pour une rôtissoire qu'il n'était pas recommandé de prendre sa douche avec, sans débrancher la prise au préalable ! Si, si ! ! ! Mais pour les sauvegardes il faut bien penser à bien les concevoir. Tout n'a pas toujours besoin d'être sauvegardé. Ainsi les fichiers provisoires intermédiaires que l'on crée lors des retouches photos n'ont aucun besoin de sauvegarde. Ils devraient même être tout de suite supprimés une fois l'opération finie. Mais qui le fait vraiment ? De même tous les fichiers téléchargeables donc facilement récupérables n'ont aucune raison d'être sauvegardés. Je pense par exemple aux dizaines de milliers d'heures de musique que certains téléchargent à outrance sans jamais les écouter... Il existe, pour les fichiers réellement précieux, uniques, des formules sur le net de stockage sécurisés. Il y a les "cloud" mais un peu trop à la vue des google and Co . Il y a aussi des services plus privées comme dedikam.com qui offrent ce genre de service très sécurisé. On peut aussi organiser des synchronisations de fichiers entre 3 ou 4 copains si ils ont des synos.
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