domlas

Bien sûr Gaétan c'est vrai quand on ne lit que le début de la première phrase. Mais as-tu bien lu TOUTE la suite ?

En fait d'un avis assez général ici le comportement du WOL est assez instable principalement du fait du temps trop long de sortie de veille. Moi même après beaucoup de tentatives j'ai oublié définitivement l'idée au bout d'une quinzaine de jours. Depuis maintenant plus de 7 ou 8 ans mon syno tourne à la perfection en 24/7. D'ailleurs le principe même d'un serveur n'est-il pas d'être toujours disponible à tout moment ? D'autant qu'entre les miroring, indexations, séquences de sauvegardes etc qu'il a à faire durant les périodes calmes, les mises en veille sont rares, très souvent courtes et trop répétitives.

Parfait Et merci pour le merci, c'est rare !

Très simple : Récupère le fichier .pat du DSM correspondant à ton syno (Si nécessaire aller voir dans le site www.synology.fr dans support) ou encore beaucoup mieux le CD d'installation d'origine. Tu sors les deux disques et tu les reformates complètement, les trois partitions SYSTEM, DATA et SWAP, de chaque disque sur un dock USB par exemple. Sous n'importe quel format, ça n'a pas d'importance, le syno les voyant vierges et inconnues les reformatera à son standard. Ensuite tu le vends tel quel mais avec tous les documents d'origine, la notice "installation rapide", le logiciel DSassistant (qui sert à trouver le syno sur le réseau et à le préparer à recevoir le DSM. En gros tout ce qu'il y a sur le CD d'installation d'origine. Ton acheteur se retrouvera exactement dans la même configuration que lorsque tu l'avais toi-même acheté. Il aura à faire sa propre installation avec ses propres paramètres, mots de passe, nom d'utilisateur etc. Oui mais "restore defaults" remettra le syno aux réglages "usine" comme un "simple reset", mais l'utilisateur privilégié inscrit dans le syno sous le "nom de session" de l'ordinateur ayant fait l'installation restera en place alors que le nouveau propriétaire devrait avoir son nom de session à lui d'inscrit dans le syno. De plus le retour "usine" ne supprime pas les données enregistrées dans DATA. Donc le mieux est de faire comme j'ai dit : reformater les 2 disques et laisser le nouvel acheteur faire sa propre installation.

Alors là c'est encore autre chose. D'abord je ne suis pas un fou de vidéo TV, je ne suis pas du tout accro ni aux séries assez nulles dont on nous abrutit, ni des films actuels creux au possible. Et puis je n'ai pas de freebox mais une livebox play soit disant très accentuée sur la vidéo. Sauf qu'il y a plein de limitations en tout sens qui fait que j'ai très vite remis le décodeurs dans son carton. Je m'en sors avec une simple clé chromecast. C'est simple, ça marche très bien. Mais faut pas trop en demander le 4k , je ne suis pas sûr que ça passe impec, mais pour moi ce qui m'intéresse est systématiquement reconverti en XviD et ça passe nickel.

Avec une freebox je ne sais pas comment la parmétrer. Mais en utilisant l'appli VideoStation sur le syno et les applis DSvideo (compatibles apple ou androïd) ça ne pose à priori aucun problème. Voir sur le site www.synology.fr où ces applis sont expilquées et téléchargeables.

As tu par hasard exécuté Quickconnect ? Ce n'est pas la meilleure solution. Il est hautement préférable même si au début c'est plus long à comprendre, de bien apprendre la manipulation des redirections et des ports. Normalement tout ce qui provient de Internet débutant par www. et sans spécification particulière sera orienté vers le port du routeur. Le syno reroutera alors ces données vers son propre port 5000 qui est l'entrée de la page DSM. Mais si l'appli WEB a été mise en service normalement le flux du port arrivera maintenant sur ce DP WEB. Personnellement j'ai configuré dans le routeur de ma box la redirection du port vers le nom du syno. Je n'ai pas redirigé le port 5000 n'ayant aucun besoin d'accéder au DSM depuis "the rest of world". Imaginons que ton nom de domaine soit toto.fr (sans aucun www ni autre) que ton nom de redirection soit tata.synology.me et que le nom de ton site internet soit MonSite Tu veux qu'en tapant http://www.toto.frtu aboutisses sur ton site MonSite. Configures le port de ta box comme déjà indiqué. Sur le syno : Mets sen service le service WEB Place ton site dans un sous répertoire nommé MonSite Chez Gandi : pour ton nom de domaine toto.fr Crées un redirection en mettant dans la première case www (sans le point) tout de suite à droite il y a .toto.fr pré-inscrit Dans la case redirection tu mets = tata.synology.me/MonSite Si tu ne veux pas que tout l'intitulé de la redirection s'affiche chez le visiteur mais seulement - www.toto.fr - choisis dans le déroulant "transparente" au lieu de "directe (permanente)" pré-proposé.

Bon. Archi classique et on en parle assez souvent sur le forum mais pas dans ces termes là. Quand tu ajoutes un disque dans un syno le DSM te propose une configuration "standard" pré-établie qui s'appelle SHR et qui consiste à ajouter le second disque au volume déjà éxistant sous la forme d'un RAID1 revu et amélioré par synology. Ton second disque est donc maintenant en miroir du premier. Comme les deux disques font chacun 2To ton volume de stockage fait 2To. Lors de l'installation du second disque il a été proposé à un moment ce choix pré-établi : "SHR sur volume unique avec protection des données" Si à ce moment on clique sur suite c'est ce choix qui correspond à un RAID1 qui est installé. Sinon il faut dérouler les choix et prendre : "SHR sur volumes séparés sans protections des données". Dans ce cas il sera créé un second volume constitué du second disque (le premier volume étant déjà fait avec le disque 1). Dans ce cas tu auras alors une capacité de 2x2To. La notion de "avec" ou "sans" protection de données ne veut pas dire grand chose et résulte certainement d'une traduction très approximative. En aucun cas un RAID "protège" les données. Maintenant que c'est fait 2 solutions. Soit tu fais une sauvegarde complète de tes données sur un disque externe, tu reformates les deux disques du syno, tu les réinstalles en volumes séparés et tu rapatries tes données. Soit tu casses le RAID en retirant par exemple le disque 1. Ton système sera déclaré "dégradé" (mais reste fonctionnel). Tu reformates le disque 1 et tu le ré-installes comme un volume séparé sans protection... Ensuite tu recopies tes données du disques 2 vers le 1. Enfin tu sors le disque s2, tu le reformates et tu le ré-installes en volume séparé. C'est moins sûr que le cas 1 car en cas de fausse manoeuvre ou d'incident tu risques la pertes des données.

J'allais proposer la même chose : à l'arrêt retirer tous les disques et rallumer le syno. La led bleu va clignoter durant 1 à 2mn puis devenir fixe. Dans ce cas la carte-mère (donc le syno) est bonne et c'est un problème de disque sur au moins l'un d'entre-eux. Si par contre la led bleue reste indéfiniment clignotante, c'est l'annonce d'un souci sur la carte-mère et là il faut contacter synology. 9 fois sur 10 c'est un problème sur un des disques.

Que dis le voyant "status" ? Si le DSM est bon il sera vert fixe. i il est orange clignotant le DSM est abimé ou détruit. Si tu dois réinstaller le DSM il faut remettre exactement la même version que celle qu'il y avait et faire très attention à bien confirmer la conservation des données (ne pas reformater la partition DATA). Par contre certains paramètres comme les mots de passe administrateur, ou de certaines applis seront certainement à refaire, à moins que tu ais fait auparavent une sauvegarde de ces paramètres. Une piste : le DSM est installé en partie sur les disques (dans la partition SYSTEM) et en partie sur la mémoire de la carte-mère. Un DS411 doit avoir dans les 4 ou 5 ans. Sur la carte-mère il y a une pile plate (CR2032 je crois) qui sert à conserver les données, l'heure etc en mémoire. Or c'est à peu près la durée de vie de ces piles. Ceci pourrait expliquer cela.

Si tu laisses une permission à USERS sur un DP, une appli etc, tous les utilisateurs inscrits dans le syno auront totalement accès à cette permission sans exception. Si on veut que certains utilisateurs et pas d'autres accèdent à un DP par exemple il faut supprimer la permission du groupe USERS pour ce DP et ensuite autoriser cette permission personnellement à la seule personne admise en allant dans la section UTILISATEUR. Attention aussi au fait suivant : sur le réseau interne un individu peut être reconnu par le syno sous "mafemme" si ce nom a été inscrit dans UTILISATEUR mais aussi par le nom de session de l'ordinateur local utilisé, comme par exemple "session_monepouse" et bien sûr "session_monepouse" est aussi automatiquement présente dans le groupe USERS. Relève bien tous les individus inscrits dans UTILISATEUR. Il est probable qu'il en aura certains qui te sembleront être là "par hasard". Note les et recherches bien à qui ils correspondent. Ils sont certainement les noms de sessions des ordis du réseau. Ca parait crétin à priori mais c'est très pratique. Dans une entreprise tu as un service comptable. Dans ce service 3 employés et leurs ordis. Pour chacun de ces employés tu vas créer un session personnelle dans son ordi et en programmant celui-ci de façon qu'à chaque allumage ou sortie de veille de cet ordi il soit demandé le mot de passe de la session. Sur le syno tu vas créer un nouveau groupe COMPTABLES auquel tu donneras les permissions pour les quelques DP concernant la compta. Dans UTILISATEUR tu vas inscrire les noms de session de chacun des trois employés. Ensuite tu verses ces trois noms de session dans le groupe COMPTABLES. Le tour est joué ! A l'arrivée des comptables chacun allumera son ordi et ouvrira sa session. Il seraautomatiquent autorisé d'accès aux DP des comptables. S' il va boire un café son ordi passe en veille et sa session s' arrête. Un intrus passant dans le bureau n'aura accès à rien. Le comptable revient à son poste, il réveille son ordi et se retrouve imédiatement reconnecté à ses DP. Maintenant si tu es en conflit avec un comptable indélicat il te suffit dans le syno de ressortir son nom de session du groupe COMPTABLES.

Parce que d'une part certaines parties du DSM sont inscrites dans la mémoire de la carte mère du syno et d'autre part que des paramètres du nouveau syno différents de ceux de l'ancien soient bien pris en compte par le DSM. Aussi parce que les DSM même de la même version de base, comme 5.1 par exemple vont être déclinés en sous-versions exactement adaptées aux différents modèles de syno. Cette sous-version est précisée par les 4 chiffres qui suivent le numéro de version comme DSM5.1-xxxx

Il s'agit donc bien d'un dysfonctionnement du disque original. Après vérifications et contrôle que routes les données ont été récupérée, je tenterais les repartionnement et formatage complets du disque. Il se peut qu'il soit réutilisable mais pour un usage moins sensible que dans un syno.

As tu bien désactivé toutes les permissions dont dispose le groupe "users" dans le DSM ? Ce groupe est spécial : il est prioritaire sur tous les autres, reçoit d'office tous les utilisateurs inscrits. Du coup tout le monde a accès à tout. On ne peut pas supprimer ce groupe, ni ressortir les utilisateurs qui sont dedans. On peut par contre désactiver les permissions de ce groupe.

Ces histoires d'accés depuis internet sont toujours assez pointues et sources de plein de soucis. En fait (et comme toujours) il est important de bien assimiler le principe de base et de bien comprendre qu'il n'existe de "kit tout prêt" pour résoudre ton cas perso sinon il faudrait des dizaines de milliers de kits différents ! La première chose a bien comprendre c'est la notion de réseau. En général on en utilise tous deux. Le réseau dit INTERNET, réseau mondial bien connu et le réseau privé dit ETHERNET (déjà là la terminologie prête à confusion). Les deux sont totalement indépendants (enfin en théorie) Les deux sont exactement construits sur le même principe Les deux utilisent le méme système de codage d'adresses. Avec ça déjà... Prenons le plus simple pour commencer, le réseau privé dit Ethernet. Il utilise une ligne de communicatio commune à tous les utilisateurs locaux. Mais il faut pourtant pouvoir les différentier. Comme à la Poste. Tu habites Taville. Dans la rue Tarue. Au numéro 1. Ce qui va être très important sera de bien mettre l'adresse vou256x256x256lue : Fourvin -1 rue Tarue - Maville sur l'enveloppe. Ton facteur pourra ainsi différentier toutes les lettres à priori identiques qui se trouvent dans sa sacoche et les mettre chez les bons destinaires. Sur un réseau c'est pareil sauf les manières d'écrire qui sont différentes. On va utiliser le protocole IPV4. Il consiste en un groupe de 4 paires d'octets. Un octet permet 8 combinaisons et donc une paire d'octets en permet 8x8 soit 256 (tiens ça me rappelle quelque chose...). 4 paires d'octets vont donc permettre d'avoir 256x256x256x256 soit plus de 4 milliards de combinaisons. Au début des années quand ce système a été officialisé on pensait avoir atteint l'infini ! Au moins... Comment ça marche ? En théorie on donne une de ces 4 milliards d'IP (Internet Protocol) à chacun des branchés au réseau et du coup quand l'abonné 000.000.000.001 veut parler au 0.0.0.2 il fera précéder sa demande de cette IP du destinataire. En fait c'est beaucoup trop compliqué de bien maitriser l'attribution des IP dites fixes à chacun des utilisateurs. On a dc créé le systême des IP dite dynamiques. On va mettre dans ce réseau un "chef d'orchestre" qui sera le détenteur des IP. Il saura lesquelles sont utilisées et lesquelles sont libres. Et pour cause car c'est et lui seul qui les distribue. On l'appelle routeur. Quand un nouvel utilisateur va se brancher au réseau (on allume un ordi) il se signalera au routeur qui lui donnera un des IP libres. Tous le monde aura ainsi une IP unique et pourra se faire reconnaitre par les autres. Pour les réseaux privés Ethernet il a été réservé par convention la séquence 192.168.x.x afin de clarifier les choses. On peut bien sûr créer plusieurs réseaux de ce type côte à côte tout en restant complètement indépendants. D'ailleurs il en existe bien un autre, mondial, lui, le réseau Internet. Mais il est exactement similaire à celui qu'on vient de voir au point qu'il utilise exactement le protocole d'adressage IPV4. Mais lui n'utilise pas la bande 192.168.x.x Si besoin était (ça arrive parfois) de passer des données d'un réseau vers l'autre il faudra utiliser une "passerelle". C'est le routeur qui s-chargera. D'un côté il sera le docile abonné d'Internet en utilisant une adresse IP "publique" fournie par le routeur de ton FAI (Fournisseur d'Accès Internet). Il récupèrera les données venant d'Internet et les rebalancera vers le réseau privé Ethernet. Au passage il lui faudra savoir vers qui (adresse IP privée) renvoyer ces données. Ce sera le rôle des "ports". Il faut donc bien assimiler que lorsqu'on veut passer des données depuis un abonné du réseau privé vers un autre abonné de ce même réseau privé on se servira d'adresse IP privée type 192.168.x.x Par contre si le client voulant envoyer des données sur ton syno il devra les envoyer à ton routeur (box) en utilisant l'IP publique fournie par ton FAI en précisant à quel port c'est destiné. Ton routeur prendra alors la suite des opérations, fera les contrôles d'usage, vérifira les autorisations et dirigera ensuite (ou pas) les données vers l'IP privée du syno. Il faut bien comprendre tout ceci car en pratique se greffe là-dessus plein de petits détails souvent scabreux censés faciliter les choses.

Je reprends un peu la conversation. D'abord le UTF8 tendrait à devenir LE standard courant semble t-il. Il me semble donc recommandable de choisir de préférence ce standard lors du choix d'une appli ou d'un logiciel. Le problème remonte à très loin, du temps ou on utilisait en informatique les tables de codage des caractères ASCII basée sur la pauvreté de cette langue anglo/américaine peu précise ! (Et pan j'ai encore réussi le replacer !). Le reste du monde (le bas peuple, le menu frotin) ayant des langues très enrichies par de nombreux caractères supplémentaires et vu que le codage ASCII n'utilisait que 7 bits sur les 8 possibles on a eu l'idée de créer une (?) Table ASCII "étendue" de 128 caractères supplémentaires. Bonne idée, sauf que ... Chacun, les pays, les constructeurs, d'imprimantes ont un peu créé ces tables en fonction de leurs préférences, alors des ASCII étendues, il y en a eu ! Plein ! ! ! A l'image par exemple de notre bon vieux minitel qui avait mis dans la sienne des caractères "graphiques" pour faire des encadrements par exemple. Si dans du texte, de la littérature par exemple le problème peut être un peu maitrisé il n'en va pas du tout de même pour les écrits d'usage "international" comme par exemple les noms de fichiers, les noms de sites internets, de boites mails qui doivent pouvoir être lisibles et écrivables aussi bien par un américain sur son pauvre clavier, que par un français, un espagnol (sont pas mal non plus) etc. De même pour les mots de passe avec la recommandation à la mode d'utiliser plein de caractères" spéciaux, ça c'est l'idée qu'elle est bonne ! Imagine toi simplement en villégiatures aux "states" et que tu te retrouves devant un clavier Qwerty pour taper ton MdP bourré de caractères franchouillards d'accès à ta messagerie... Là, il vaut mieux se limiter à la table ASCII stricte, soit les 26 lettres minuscules, les 26 majuscules, les 10 chiffres et en caractères spéciaux n'utiliser que les 2 tirets (moins et souligné) car les autres comme les points, virgules, /%&# etc ont souvent en plus des fonctions particulières comme le bien connu @.

Sous windows tout ce que tu peux voir en branchant ton DD dans une tour ou avec un adaptateur USB sera la présence des 3 partitions citées plus haut. Windows utilisant son système propriétaire NTFS ne sait pas (ne veux pas ?) utiliser celui de linux le ext4. Si du temps du système précédent, le ext3 un petit logiciel de lecture de ce format par windows a existé, à ma connaissance il n'en a pas été conçu pour le ext4. La seule solution est d'utiliser une machine sous linux ou un ordi avec un dual boot windowd/linux par exemple. Si tu maîtrises bien les manipulations de disques durs et que tu arrives a bien visualiser sur ton ordi les trois partitions SYSTEM, DATA er SWAP avec le gestionnaire de disque présent dans windows, tu peux tenter de reformater la seule partition SYSTEM, le système important peu à ce stade. Après remise du disque dans le syno il faudra relancer la procédure décrite dans la notice "installation rapide" comme pour la première et commencer par la recherche du syno avec DSassistant par exemple. Il faudra, lors de la réinstallation du DSM, d'abord bien se munir de la même version du DSM que celle qu'il y avait et surtout ensuite de choisir de ne pas formater DATA afin de ne pas détruire les données existantes. Tout cela bien sûr n'envisageable qui si le disque reste fonctionnel et n'est pas détérioré mécaniquement par exemple.

Ton disque devrait aller. Quand tu branches un disque USB sur le syno cela crée un nouveau "Dossier Partagé" nommé usbshare1 visible dans filestation. Tu peux utiliser usbshare1 exactement comme n'importe quel autre DP du syno. Tu peux y créer des sous dossiers, faire des copier/coller depuis un DP du syno vers usbshare1 etc. Avec sauvegarde et réplication tu peux programmer ce genre de copier/coller à des horaires réguliers.

Je pense que tu utilises un disque sur un dock USB et dans ce cas je crois qu'il devra être en ext4. Personnellement j'utilise des disques totalement autonome genre MyBook de WD. l'intérêt est que ces disques peuvent repasser sur n'importe qul ordi.

Pour la configuation que tu veux ça va t'amuser un bon moment pour réunir tout le monde sans parler des différents standards vidéo... Par conte l'appli vidéo station et ses clients DS vidéos offrent ce que tu cherches, listage des vidéos avec résumés, vignettes etc. Voir pourcela le site www.synology.fr

Sur Filemaker je ne sais pas si c'est pareil mais sur Access quand un utilisateur "ouvre" la BDD elle se trouve vérrouillée pour les autres le temps d'effectuer la transaction (fichier .ldl). Rien n'empêche (toujours avec access) de déporter la BDD sur un serveur centralisé. Mais il est impératif que tous les utilisateurs "périphériques" disposent en permanence d'un accès vers le syno. Ce qui est sans problème sur un réseau interne mais l'est (et l'était encore moins à l'époque) pour des utilisateurs (nos boutiques) disposés dans des villes différentes et dont la liaison reposait au début avec un modem 56k sur ligne téléphonique puis sur ADSL. Donc le smagasins travaillaent en local en autonome et on se servait du moment d'inactivité la nuit pour synchroniser les différentes BDD.

Alors là tu risques d'être mal pour tes données. Quoiqu'il est en principe possible de pouvoir les relire sur un ordi linux.

Je reprécise : ton syno était-il en SHR/RAID1 (deux disques en miroir) ? Si oui essaye le démarrage avec un seul disque à la fois. Si ça démarre avec un disque cela signifie tes données redeviennent accessibles et que c'est l'autre disque qui débloque. Le mieux est alors de le remplacer par un neuf et de reconstruire le miroring. A la limite et toujours dans ce cas, tu pourrais aussi tenter le repartitionner complètement et reformater la disque malade et voir si il peut reprendre du service.

Ah oui alors c'est un peu le même problème qu'avec MSaccess et plusieurs utilisateurs. Dans ce cas il faut mettre la BDD sur le syno et chaque utilisateur en périférique. Le gros inconvénient est qu'il faut être sûr d'être connecté en permanence. J'ai eu ce problème avec des gestions de magasins. En fait comme on était sûr que les boutiques ne travaillaient pas la nuit on les laissaient travailler indépendamment durant leurs hueres d'ouvertures et l'on faisait un double synchro la nuit. Une première des boutiques vers le site central, traitement par ce dernier puis mise à jour vers les boutiques. De cette façon les boutiques pouvaient toujours bosser même en cas de coupure ADSL.

Oui en règle générale il est judicieux de mettre sur onduleur le syno bien sûr mais aussi le ou les switchs importants, la box au cas ou une mise à jour serait en cours par exemple et aussi l'ordi principal. D"où l'intérêt de faire renvoyer par le syno les infos de l'onduleur vers le réseau à fin que l'ordi puisse lui aussi être mis à l'arrêt.