domlas

Ote moi d'un doute ? Ton ordi ne passe quand même pas en wifi vers ta box ? Sinon tu as la réponse à ta question. La Wifi passe au mieux 20 à 25Mb/s Tu dois brancher aussi ton ordi sur le switch avec un câble et couper la wifi. A savoir aussi si l'interface réseau de l'ordi est gigabit.

Oui tout à fait d'accord mais il faut bien avoir à l'esprit qu'on n'est que dans des approximations et se donner des marges d'erreurs assez lâches. D'accord aussi pour choisir un onduleur qui sera un peu surdimensionné. Cela permettra dans l'avenir (souvent proche) de pouvoir garder l'engin même si on rajoute un accessoire ou que l'on change d'ordi.pour un plus puissant par exemple. Cela évite d'avoir à changer tout de suite l'onduleur aussi. C'est d'ailleurs vrai pour bon nombre d'accessoires comme les switchs par exemple. Si sur le moment on a 4 appareils à brancher préférer un switch 8 ports que un de 5 ports. Ce n'est pas beaucoup plus cher mais on se félicite souvent peu de temps après de ne pas avoir à racheter un nouveau switch pour brancher un ou deux nouveaux appareils. A l'école on nous avait appris à appliquer des "classes" sur les éléments qu'on calculait. Par exemple pour fixer au mur un objet de 100kg on devait appliquer la classe 3, c'est à dire choisir des fixations réputées 300kg. Un peu plus chères. Mais c'était dans le temps où l'on parlait beaucoup moins d'économie de la planète qui va déborder et autres subtilités. Mais on voyait aussi beaucoup moins souvent des toitures neuves de supermarchés s'effondrer sous une petit brise et les machines que l'on concevait duraient, duraient, bien souvent elles durent toujours d'ailleurs. C'est là qu'elles deviennent économiques. Mais les "Normes". Parlons en : dans mon immeuble des années 30 il y avait un joli petit ascenseur qui marchait à la perfection depuis ans et pour lequel je n'ai jamais connu de panne depuis 25 ans que j'y habite. Et puis "Norme" oblige on a été obligé de le mettre à ces foutues "Normes". Après un arrêt de 2 mois de travaux à raison d'une heure et demie par jour, il a été remis en "service" il y a 3 mois. On en est à la 11me panne dont 3 ont nécessitées le secours des pompiers pour libérer les occupants. Mais il est "sécurisé" donc on ne risque à peu près rien.

Attention il est préférable de ne pas tabler sur les puissances en watts. Un wattmètre te donnera la puissance en watt pas en VA sauf si le modèle est commutable. On mesure la puissance en VA avec un voltmètre pour relever la tension exacte du 230V et un ampèremètre (ou une pince ampèremétrique) pour relever l'intensité. On a donc les Volts et les Ampères qui définissent les VA. C'est de la relation Watt/VA qu'on définit le cosinus phi. Mais il n'y a jamais de relation fixe entre les watts et les VA Un appareil relevé à 500W peut très bien faire 650VA et un autre appareil relevé lui aussi à 500W pourra faire 800VA. Pour le premier appareil un onduleur 650VA conviendra mais pour le second il disjonctera. Le cosinus phi varie aussi sur le même appareil en fonction de sa charge. Ainsi un moteur électrique qui tourne à vide (sans charge) aura un cosinus phi moins bon que le même moteur fournissant sa charge optimale. Pareil pour les alimentations à découpage d'ordinateurs. 170 euros ce n'est pas exorbitant, un peu plus de 1 000FF De plus un appareil moins puissant sera juste un petit peu moins cher, le jeu n'en vaut donc pas la chandelle. Reste avec l'idée de brancher aussi ton ordi dessus. Cela te permettra de pouvoir lui aussi le mettre à l'arrêt correctement. C'est toujours préférable car la coupure sauvage occasionne parfois des krachs dans windows.

Oui il est très semblable au mien un eaton 850VA Avant d'acheter va sur le site de APC et vérifie quel type de batterie(s) est utilisé. C'est très important, les batteries s'usent et ont une durée de vie "normale" de 4 à 6 ans en moyenne. Il est donc primordial de pouvoir s'en procurer chez n'importe quel fournisseur à prix raisonnable.

Oui mais il serait préférable d epouvoir aussi arrêter l'ordi correctement sinon les risques de bugs sont réels. Maintenant vu que je n'ai jamais considéré un ordi comme un "jouet" pour gamin attardé je peux difficilement donner une bonne mesure à prendre. Chez moi c'est un outil de travail, au sens "noble" du terme mais il est vrai que je suis d'un temps où le confort de vie apporté par le travail était réel et où l'on "s'amusait follement" à travailler, confort de vie que l'on voit dépérir depuis une trentaine d'années.

Au niveau du choix : les points importants, ceux qui ne sont surtout jamais mis en avant ! Le format des prises, préférer ceux avec la prise européenne (franco/allemande) Les appareils "UPS" qui sortent les informations de fonctionnement et surtout les ordres d'arrêts sur une prise USB ou mieux sur le réseau. Les appareils qui utilisent des batteries étanches au plomb STANDARDS, les plus courantes, très utilisées sur les centrales d'alarme par exemple comme les 12V/7Ah ou 12V9Ah. Ces batteries sont vendues un peu partout à des prix très raisonnables à l'inverse des batteries "spéciales" commercialisées par de rares distributeurs spécialisés à des prix faramineux. Et qui plus est disparaissent du marché au bout de 4 ou 5 ans car déclarées "obsolètes", justement au moment où il faudrait les changer. Ce qui m'a toujours étonné c'est que la très grande majorité des machines informatiques marchent bien souvent sur du 12V continu à la base. Pourquoi les "ingénieurs" n'ont-ils jamais eu l'idée de considérer le 12V continu comme la tension normalisée de base pour l'alimentation de tous ces appareils (au lieu du 230V alternatif). Ce qui aurait permis soit de se servir d'une alimentation séparée 230/12V plus ou moins capable d'alimenter plusieurs appareils, soit de les alimenter sur automobiles, bateaux etc, soit de concevoir des alimentations suavegardées simples sur batterie tampon ? parce que quand même prendre du 230V alt pour le convertir en 12V= pour charger des batteries puis le reconvertir en 230V alt pour alimenter des ordis qui vont reconvertir ce 230V alt en 12V et 5V=, c'est quand même un peu tiré par les cheveux, sans parler du rendement qui devient déplorable vue toutes les pertes additionnées ? Mais pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ???

Tout dépend de ce qu'on appelle "gros" ! A mon avis dans ton cas un modèle de bureau dans les 800 à 1000Va capable de tenir 10 à 15mn devrait amplement faire l'affaire. On reste néanmoins dans la gamme des "petits". Un gros comme tu dis sera capable de sortir 3000 / 5000VA au moins et pendant 1h ou 2h au moins. Mais bon l'engin fait la taille d'un frigo et utilise des jeux de 4 ou 8 batteries de la taille de celles des camions. Et il y a encore beaucoup plus gros !

Attention aux puissances des ordis en particulier. Mon ordi dispose d'une alimentation dite "450VA". Ca ne veut absolument pas dire qu'elle marche à fond et que mon ordi consomme toujours 450VA. Simplement cette alim peut accepter des adjonctions de composants supplémentaires jusqu'à cette puissance. Après elle disjoncte. C'est tellement vrai que mon ordi allumé normalement en cours de travail + son écran + le syno DS710+ + un disque externe WD + un switch 8 ports + ma livebox play + un autocom téléphonique + une base téléphone DECT, le tout en fonctionnement normal consomme environ 150VA (à peu près 100W). Pourtant l'alim de mon ordi est de 450VA ! Mon onduleur Eaton 800VA donné 10mn à pleine puissance tient près de 20mn avec le matériel ci-dessus et encore je n'ai jamais été jusqu'à l'épuisement total de l'onduleur. C'est largement suffisant pour lancer les arrêts propres de l'ordi, du syno etc. Si par contre tu veux pouvoir continuer à travailler comme si de rien n'était durant la coupure durant par exemple 3 ou 4 heures on n'est plus dans le travail d'un onduleur de bureau. Cela existe avec des batteries en conséquence. Quand j'ai participé à l'installation de la résa numérique et de l'autocom PTT du centre de réservation Air France il était demandé une autonomie de 8h pour tout le standard téléphonique. Cela était obtenu par un double jeu de batteries plomb de 48V et plusieurs milliers d'Ah. Ca tenait dans un sous-sol de près de 100M2. De toute façon il y avait encore en sus deux groupes électrogène de 400KVA capables de prendre le relais automatiquement dans les minutes suivantes. Evidemment le coût d'une telle installation est sans aucune commune mesure avec un onduleur de bureau à une petite centaine d'euros. Dernier petit point. Il ne faut pas confondre les VA (VoltAmpère) et les W (Watts). Un générateur de courant fourni une puissance indiquée en VA (kVA), il est capable de délivrer du 230V sous 100A par exemple. Si le circuit consommateur n'est composé que de résistances "pures" (chauffage, lampes à incandescence par exemple) le déphasage de courant/tension est nul, on dit que le cosinus phi est de 1. Dans ce cas la puissance fournie en VA est égale à la puissance consommée en W. Mais énormément d'appareils électriques comportent des bobines (selfs) ou des capacités (condensateurs) qui "déphasent le courant (A) par rapport à la tension (V). Le cosinus phi baisse. La puissance réelle (en W) diminue par rapport à la puissance apparente (en VA). Dans le cas des tubes fluos sans compensation le cosinus phi pouvait tomber à 0.5. En gros quand la tension est présente, l'intensité est nulle et vice versa. Tes fluos censés consommer 36W par exemple vont demander 60 ou 70VA au générateur. Si tu choisis un générateur de 36W comme cela semblerait logique il va cramer. Les engins qui génèrent de la puissance "réactive" et qui ont des cosinus phi inférieurs à 1 sont tous ceux qui comportent de bobines ou des condos, les moteurs, les transfos, les fluos et tous les appareils électroniques modernes ayant des alimentations dites à découpage. Ceux là sont terribles au niveau puissance réactive. Mon installation qui tire 150VA et qui fait 100W à un cosinus phi de 0.68. EDF tolère 0.85. Au niveau des particuliers il ferme les yeux (quoique les nouveaux compteurs pourraient peut-être bien mesurer cette puissance réactive) mais au niveau des industriels EDF place un compteur de puissance réactive dite VAr ou kVAr) qui si elle descend sous les 0.85 fatidiques est facturé très cher. Pourquoi enfin un onduleur qui donne du 800VA sur 10mn ne donne pas 20mn sous 400VA ? Simplement parce qu'il a des circuits internes à alimenter qui consomment aussi de l'énergie. Ce qui fait baisse le "rendement". A ce niveau le rendement total d'un onduleur est assez déplorable. Si l'on mesure l'énergie qu'il consomme sur EDF pour charger ses batteries, se maintenir en fonctionnement et que l'on compare avec la puissance qu'il sera capable de restituer c'est assez démoralisant. Les circuits électroniques, chargeur, régulateur consomme de l'énergie qu'on ne retrouvera pas à la sortie. Les batteries aussi ne restituent qu'un epartie de ce qu'elles ont reçu (il faut 14h de charge pour 10h de restitution), le circuit onduleur, l'addition du tout fait que sur 100VA fournis à l'onduleur il en restituera entre 40 à 60VA, pas plus.

Si un onduleur est indiqué 15mn sous 500VA et quexton ordi + écran + syno "tirent" alors 250VA tu disposeras alors de 20 à 25mn d'autonomie. Dès que l'onduleur détecre la coupure EDF il passe en autonome mais surtout il envoie un ordre d'arrêt "propre" au syno pour qu'il s' arrêre en fermant correctement toutes ses actions en cours. Cela peut parfois prendre plusieurs minutes, parfois 4 ou 5. Il faut donc que l'onduleur ait une autonomie supérieure. Même raisonnement d'ailleurs pour l'arrêt de l'ordi. Ce n'est pas tellement la puissance asolue de l'onduleur qui est importante maisxqu'elle est son autonomie sous la puissance réellement demandée. Plus la puissance demandée sera inférieur à la puissance maxi de l'onduleur plus l'autonomie sera grande.

Quand tu dis avec firefox, IE etc ca ne marche pas, tu fais bien les tests depuis l'extérieur ? Pas depuis chez toi ? Parce qu'en "local" en règle générale ça ne marche pas sur une majorité des box. C'est ce qu'on appelle le "loopback". Depuis chez toi tu dois taper le nom de ton syno ou son IP locale. (192.168.x.x) Depuis l'extérieur il y a aussi parfois des limitations chez les employeurs. Ils bloquent parfois certains ports de sorties, surtout ceux qui ne servent pas au boulot, pour des raisons de sécurité ! Dans ce cas ton ordi de boulot ne peut sortir que pour certains accès externes.

Pas vraiment. En fait l'hibernation n'est pas du tout recommandée. Après un certain nombre de déboires je l'ai très vite abandonnée. Maintenant depuis plus de 5 ans plus aucun soucis.

Vraisemblablement tu as un souci grave. Garde tes deux disques montés dans le syno et dans le bon ordre. Tente un double reset et essaye de recharger le DSM, même version adapté à ton modèle de syno. L'ordre des disques est important, il y a un maitre qui comporte le DSM et la table d'allocations et un disque esclave totalement tributaire du premier. En tout cas si tu es vraiment en JBOD. Si ça ne repart pas, là je crois que tu est très mal. En JBOD le disque 1 est maitre, c'est lui qui possède la table d'allocation des secteurs pour les deux disques. En fait les deux disques sont électroniquement vu comme si il n'y en avait qu'un seul. Les secteurs des fichiers peuvent indifféremment être placés sur l'un et l'autre disque suivant l'état de la fragmentation. Tout ça pour dire qu'en JBOD la perte d'un disque est synonyme de perte à peu près totale de tous les fichiers. On ne peut pas non plus, bien sûr, en remplacer un. Sur ce système la sauvegarde est impérative. C'est la seule sécurité pour les données.

Si Status clignote en orange c'est que ton DSM est broyé quelque part. Si ce n'est que ça ce n'est pas une catastrophe. Chaque DD est organisé avec 3 partitions, une dite "system" qui comporte le DSM, une seconde dite "Data" qui comporte les dossiers partagés qui contiennent tes données et une 3me dite "swap" qui sert au manipulations des données en interne sous linux. En RAID 1 les deux disques sont identiques (normalement). Les mêmes données sont donc en double sur chacune des partitions "Data" de chaque disque. Tu peux les relire sur un ordi linux ou à l'aide d'un logiciel sur un PC. Comme vraisemblablement ton DSM a subi un mauvais coup je commencerais par le réinstaller. Tu peux commencer par faire un "double reset" au syno (un appui maintenu sur poussoir reset jusqu'au bit suivant dans les 4 ou 5 secondes d'un second appui maintenu). La led sera toujours orange clignotante. Avec DSassistant rechercher le syno et réinstaller le DSM. Attention exactement la même version que celle qui était dans le syno avant la panne. Si fichier perdu, aller voir d'abord sur le site synology.fr la liste des versions car elles sont différentes suivant les modèles et versions de synos. Bien choisir celle qui correspond exactement à ton syno. Sinon gros soucis à l'horizon. Une fois installé et le syno remis en service tu peux alors envisager de faire une mise à jour. Là encore bien consulter le site, certains synos anciens ne supportent pas la dernière mouture 5.0.

Dans le DSM tu peux déjà modifier le compte "admin" en lui précisant un nouveau mot de passe

Oui tu es sur un système 1Mb/s et encore tu ne les atteins pas en descendant. Quand on montant tu dois être sous 256Kb/s et là non plus tu ne les atteins pas. Tu dois être assez loin du standard.

Tout à fait ! ! !

Comme beaucoup d'appareils aujourd'hui les constructeurs prennent un malin plaisir à planquer les fixations ce qui rend les démontages assez énervants. Pour le tien je ne sais pas mais pour mon DS710+ il faut retirer les disques, mettre le syno sur le dos les vis des capots avant et arrière sont en dessous. Ensuite remettre le syno droit et légèrement écarte le bas des capots puis les pousser vers le haut pour les dégager. Ensuite le capot central se glisse vers l'arrière. Mémorise bien la procédure pour le tien. Tu referas l'opération au moins une ou deux fois par an pour un vrai dépoussiérage sérieux. Bien sûr que tu peux ouvrir l'engin. Il est à toi et toi seul peut décider quoi en faire. Aucun risque pour la garantie à moins d'y aller au marteau-piqueur ! Et bien sûr appareil obligatoirement débranché ! ! !

Pour commencer, as tu BIEN LU la notice d'installation rapide avant même de déballer le syno et surtout de le mettre en marche ? Il faut suivre scrupuleusement les indications de cette notice dans l'ordre et ne passer à la suivante que lorsque la précédente est reconnue réussie. Il faut installer DSassistant sur ton ordi. Mettre au moins un disque (conseillé au début) dans le syno Le brancher d'abord sur le réseau. Réseau où doit déjà être branché ton ordi et le routeur (box). Allumer le syno Attendre qu'il soit stabilisé (voyant bleu M/A fixe) Par DSassistant lancer une recherche du syno. Une fois trouvé lancer l'installation du DSM fourni avec le syno sur CD comme indiqué sur la notice d'installation rapide. A partir de là tu devrais voir les voyants "status" et "disques" passer au vert fixe. Le syno est alors actif. PS : ne pas utiliser la wifi ni pour le syno ni pour le PC. Tout brancher en filaire, au moins pour l'installation. Donc brancher le syno sur la box et le PC aussi sur la box avec des câbles. C'est le routeur de la box qui va organiser les adresses IP de tout ce petit monde. Si tu as trop bidouillé : réinstalle comme demandé sur la notice. On ne branche pas un syno directement sur un ordi. Faire un double reset = premier appui maintenu jusqu'au bip du poussoir "reset" puis dans les 5 ou 6 secondes suivante refaire un second appui maintenu jusqu'au bip. Le voyant status doit alors clignoter orange. Faire la recherche du syno par DSassistant Puis la suite comme indiqué ci-dessus. Si ça ne va toujours pas Eteindre le syno sortir le (les) disques et les reformater totalement. Reprendre la procédure au tout début (notice installation rapide).

Le RAID0 est autre chose. Il consiste à enregistrer les secteurs pairs sur un disque et les impairs sur l'autre. C'était très employé il y a 30 ans quand on n'avait que des dérouleurs de bandes magnétiques comme mémoire de masse. Comme on pouvait lire des données sur une bande pendant que l'on calait l'autre à la bonne place pour poursuivre la lecteur, cela permettait de gagner beaucoup de temps. Aujourd'hui vu la vitesse des disques ça n'a plus d'utilité. Le système est très dangereux : en cas de grabuge sur un disque la totalité des données est perdue. Il y a aussi le JBOD. Il permet de ne créer qu'un seul grand volume constitué de l'addition des disques à la suite des uns des autres. La capacité de ce volume sera l'addition des capacité des disques. La encore danger. On ne peut plus remplacer un disque et là encore la perte d'un disque fait perdre les données. Dans ton cas le mieux est le plus simple le "basic". Lors de la mise en place du second disque faire très attention à bien choisir la formule "SHR sur plusieurs volumes sans protection des données". Un second volume (volume2) sera créé en plus du premier. Ils seront totalement indépendants. Ce sera à toi (administrateur) par le DSM à attacher tes "dossiers partagés" sur le volume de ton choix. Les utilisateurs "normaux" (sur les PC) ne verront jamais ni les disques ni les volumes. Ils n'ont aucun pouvoir sur eux. Ils ne verront que les "dossiers partagés" et encore que ceux que tu leur autoriseras, sans savoir sur quel volume (et disque) ils interviennent. C'est la solution que j'utilise depuis facilement 5 ans.

Sous quelle version de DSM es tu ? Pour un DS207 je crois qu'il y a une limitation, tu ne devrais pas pouvoir être en 5.0. Va sur le site de synology pour connaître les possibilités. Les DSM sont liées aux modèles de synos et il ne faut utiliser que la version correspondant exactement au modèle. Ensuite il te suffira de remplacer un premier disque par un de 2To. D'attendre que le miroring soit reconstitué, c'est souvent assez long. Puis ensuite de remplacer le second disque. Par la suite ton volume sera augmenté.

Oui et aussi cette histoire de bit et de byte. Ca les anglo-saxons ont inventé un sacré truc. Le bit est l'impulsion de base en informatique. Quand on parle d'un débit de 800Kb/s (c'est un petit "b") il s'agit d'un débit de 800 000 bits par seconde. En fait on prend 8 de ces bits et on en fait un octet (du latin octo = . Chez nous qui avons une merveilleuse langue, on parle d'octets. Les américains avec leur langue pauvre ils l'appellent le byte avec le symbole B. Ca permet de confusions des plus hilarantes. En définitive un débit de 800Kb/s (800 kilobit/seconde) correspondra à un débit de 100KB/s, ou mieux 100Ko/s donc 100 kilooctet/seconde. Pourquoi alors parler de débits adsl par exemple en kilobit et pas en kilooctet ? Simplement parce que pour un "commerciot", 20Mb/s est beaucoup plus ronflant et plus vendeur que de parler d'un débit de 2.5Ko/s. Ah ce monde mercantile !

Non ce n'est pas tout à fait pareil. On parle bien de mesure de débit mais initialement le système binaire utilisé en machines informatiques est basé sur les puissances de 2. De ce fait on partait de 8 octets, puis 16, 32, 64, 128, 256, 512 et 1024. Puisque ce dernier nombre était approchant du 1000 décimal tout le monde avait pris l'habitude de dire 1 kilo-octet quand on atteignait les 1024 précisément. Au début 1Ko c'était quelque chose ! Puis les choses évoluant on a finit par atteindre les 1 048576 octets soit 1024x1024. Un million et quelques ce n'est pas encore très loin des 1000 x 1Ko et on a donc parlé de 1Mo et ainsi de suite mais au fur et à mesure l'erreur augmente et beaucoup ici s’interrogent souvent sur le fait que disque déclaré 4To ne les fassent pas exactement. En fait il est assez absurde d'utiliser les multiplicateurs décimaux en puissance de 10 pour compter des valeurs numériques.qui sont elles en puissance de 2. On a donc inventé le kilo binaire ou kibi ou Ki, le méga binaire ou mébi (Mi), le giga binaire ou gibi (tiens voilà les shadocks) ou Gi. Quand on parle d'octets on dit alors des Kio qui correspondent réellement à 1024 octets et le Mio qui fait précisément 1 048 576 octets. Ces multiplicateurs sont en principe les valeurs normalisées qui sont en théorie les seules devant être utilisées. Mais comme les habitudes sont tenaces tout le monde mélange souvent un peu les deux systèmes. Dans le même genre on utilise bien de village de tant d'habitants pour parler d'énergie électrique alors qu'il serait bien plus simple, plus explicite de parler en Kwh seule unité d'énergie légale. Mais allez expliquer la réelle supériorité de 160 000m2 de panneaux solaires capable de produire à midi de l'ordre de 4Mw de puissance. On préfère parler de la consommation d'un patelin de 2300 habitants, hors chauffage et eau chaude, qui peuvent ainsi disposer d'un éclairage écolo entre 10h du matin et 16 heures le soir. Le soir on allume les bougies. Quand je compare avec la centrale fioul à côté de chez moi qui peut débiter 2600Mw de puissance et ce même de nuit... Ce n'est pas une invention (de ma part tout du moins) mais les élucubrations de notre bonne Ségolène débitées cette semaine.

Oui et pour le refourreautage si deux câbles semblent ne pas pouvoir tenir dans le fourreau utilise le vieux câble téléphone comme aiguille de tirage pour tirer la câble Ethernet. Ce câble a 4 paires mais seules deux servent au réseau. Tu en prends une des deux restantes pour rebrancher le téléphone.

Non. Dans ce cas (comme ceux de 1 ou 2Mb/s) le débit montant est de 256Kb/s (64Ko/s). Par contre ceux qui sont à 20Mb/s ont environ 800Kb/s en montée soit environ 100Ko/s. Si il y a dix ans on sautait de joie au plafond en voyant arriver ces vitesses fantastiques, aujourd'hui on trouve ça désespérément long.

Oui mais tout dépend de ce qu'on veut faire avec ce site. Pour juste afficher une page d'information de quelques lignes à faire consulter à une demi douzaine d'adhérents d'un club de boulistes, c'est parfaitement envisageable. La gène sera minime et les coûts nuls. Il est alors probable que les quelques boulistes qui viendront visiter la page pour savoir où sera le prochain concours ne seront pas gênés par une attente de 5 ou 6 secondes pour voir la page.