.Shad.

Mais du coup pas de solution ?

Salut @TuringFan, Je n'ai pas un grand avis sur le sujet. Mes données sont relativement mortes sur mon NAS, pour celles qui m'intéressent du moins, donc je me sers uniquement de la sauvegarde. Mais peut-être ce sujet du forum pourra éclairer quelques-unes de tes interrogations :

Salut et bienvenue ! Je me permets d'attirer ton attention sur l'importance d'une sauvegarde, car comme tu as l'air de l'avoir compris, le RAID n'est pas une sauvegarde mais seulement une tolérance de panne.

@oracle7 Pour moi c'est la bonne solution, je n'en connais pas d'autres non plus, sauf à utiliser Portainer.

Du gateauuuuuuu

Welcome !

Pour résumer grossièrement, à partir des versions 3 c'est plus adapté pour Docker Swarm, qui gère l'aspect haute disponibilité et multi-hôtes. Dans 95% des cas tu peux utiliser la version 2.1 Le Dockerfile c'est pour créer l'image toi-même, typiquement si c'est ton programme ou si tu veux apporter des modifications à la version disponible publiquement. La plupart du temps tu n'en feras rien car l'image publique satisfera à ton besoin.

Bienvenue !!

Malheureusement je doute qu'il soit possible de générer un lien de partage depuis la ligne de commande...

Je n'en parle pas car j'ai à peine joué avec et donc je pense que ce que tu trouveras ailleurs sera plus pertinent. Mais c'est très simple, un Dockerfile va comprendre les étapes de construction de ton image, un exemple simple : https://github.com/linuxserver/docker-deluge/blob/master/Dockerfile A l'étape FROM on définit quel OS va être utilisé, on va souvent prendre quelque chose de léger comme une alpine. LABEL permet d'ajouter des labels à l'image que tu vas créer. c'est entre autres un outil pour favoriser la communication entre conteneur (demander par exemple à un conteneur d'ajouter sur tous les autres conteneurs disposant de telle ou telle valeur de tag untel). ENV définit des variables d'environnement, comme dans un script, docker-compose ou Docker via DSM. RUN est le plus important car c'est la procédure de mise en place de tes applications. Ici ça se déchiffre assez bien : - Mise à jour d'apt et ajout de nouveaux dépôts - Installation de déluge et ses dépendances - On supprime les fichiers temporaires inutiles pour réduire la taille de l'image COPY permet à une personne qui build l'image d'ajouter des fichiers locaux dans l'image. EXPOSE et VOLUME permettent d'exposer les ports et volumes dont l'utilisateur va pouvoir se servir.

De ce que je lis tu as fait une bourde dans la suppression de tes fichiers, je pense que le mieux est de voir avec le support Synology.

Est-ce que dans les permissions du groupe "users" tu n'as pas interdit d'accéder à certains dossiers partagés ? Les interdictions prennent le pas sur tout le reste.

Salut, Je ne le dirai jamais assez, mais on n'utilise pas un compte administrateur pour se connecter via lecteurs réseaux... C'est une faille de sécurité énorme, on peut protéger autant qu'on veut le NAS, si on donne un accès administrateur à des dossiers partagés du NAS via des PC, on est à la merci du premier ransomware, pour peu qu'un utilisateur soit peu scrupuleux sur les bonnes pratiques de sécurité quand il surf par exemple... Cela étant dit, j'utilise un script de ce style qui permet de reconnecter mes lecteurs réseaux à chaque démarrage du PC (en le plaçant dans le sous-dossier démarrage de l'utilisateur concerné) : @echo off :Start timeout /t 5 /nobreak >NUL if exist X:\ Y:\ Z:\ NUL goto End net use X: \\NAS\dossier1 /user:toto toto_password /PERSISTENT:YES net use Y: \\NAS\dossier2 /user:toto toto_password /PERSISTENT:YES net use Z: \\NAS\dossier3 /user:toto toto_password /PERSISTENT:YES if ERRORLEVEL 1 goto exit :End toto / toto_password étant les accès du compte de l'utilisateur sur le NAS. NAS étant le nom Netbios du NAS, ça peut aussi être son IP ou un FQDN. Bien penser à ajouter dans la ligne if exist les lecteurs réseaux que tu listes juste après.

BTRFS sans hésiter.

Bienvenue parmi nous ! Superbe NAS que le DS218+ 😉

Et bah pas de bras, pas de chocolat. 😄 Visiblement les métriques exposées sont formatées pour Prometheus, pas InfluxDB. Je regarde juste ce que dit leur doc. Je pense que c'est utile si une seule et même instance gère plusieurs sites à la fois.

Pour moi tu vas justement le définir dans cette variable, pour y accéder avec un script ou Telegraf par exemple, et exporter ça vers Prometheus.

Haha je m'étais renseigné il y a quelques temps pour faire la même chose, ce que j'avais trouvé était tellement alambiqué que j'avais laissé tombé. Et vu que je n'ai eu à le faire qu'une ou deux fois, je n'ai pas vu l'intérêt de pousser mes recherches plus avant. Mais à mon avis un petit script bash peut tout à fait faire ce que tu veux. Sachant que depuis l'hôte tu peux exécuter n'importe quelle commande dans le conteneur avec docker exec. Et qu'il n'y a pas forcément besoin de se connecter à Influx depuis InfluxDB pour exécuter des commandes (faut regarder la doc). Tu dois même pouvoir introduire des variables en argument de ton script qui se chargera de tout créer seul, je vois ça comme un bel exercice de recherche. 🙂

@PiwiLAbruti Corrections faites, bien vu.

Comment sont attribuées les IP ? Statiquement sur le NAS ou par réservation d'IP sur le serveur DHCP ?

Merci de ton retour. 🙂

Salut, cool que ça marche enfin 🙂 Je me permets par contre : Je ne vois pas pourquoi il y a besoin de mettre le HTTP, ce n'est pas ce que semble dire la doc : https://alexsguardian.net/2019/02/21/monitoring-your-media-server-with-varken/ Et je cacherais ma clé MAXMIND à ta place, on ne peut en avoir qu'une seule, ce serait dommage de se la faire piquer. 🙂 En étape 2, tu donnes tous les droits à ton utilisateur, tu en fais un admin (mauvaise idée). Puis à l'étape 3 tu lui donnes des droits qu'il a déjà sur la base de données créée juste avant. Je te conseille d'éditer ton post et d'inviter à suivre la procédure que je préconise dans la section II-10-d pour la création d'une base de données. La tienne pose des problèmes de sécurité. Et en dernier lieu aucun besoin de redémarrer le conteneur.

J'avais bien noté, je n'avais juste pas encore pris la peine d'éditer. 🙂

Bonjour @PPJP, Merci de ce retour, je vais évidemment le préciser car le cas est suffisamment rare pour qu'on ne retombe pas de sitôt dessus (pas évident de trouver la cause surtout).

Dans ton fichier telegraf.conf au niveau de la configuration globale de Telegraf (au début), tu peux régler debug sur true, les logs de Telegraf devraient être plus verbeux et fournir plus d'informations.