.Shad.

Acme v1 : validation par IP (ce que fait DSM actuellement). Acme v2 : validation par la zone DNS, des enregistrements "challenge" sont créés dans celle-ci et permettent à LE de déterminer si vous êtes bien le propriétaire de votre nom de domaine. J'ai un package ACME sur pfSense qui fait tout pour moi, mais je pense qu'il est possible d'utiliser l'image docker linuxserver/letsencrypt pour s'affranchir de DSM pour la gestion des certificats.

Bienvenue ! Je savais même pas que ça existait encore ces numéros perso... 😄

C2 n'est pas gratuit loin de là, pour avoir testé une restauration je peux dire que c'est nickel, quand on a un NAS Synology évidemment. Je ne connais pas de solution de stockage en ligne open source, si tu en connais je suis preneur.

J'utilise mais c'est assez cher comparativement à d'autres solutions quand on monte dans l'espace de stockage (comme ici 700Go). Amazon Glacier est très compétitif, si on n'a pas besoin de ses données dans la minute en cas de problème (il faut compter quelques heures je crois). Attention à la confidentialité des données dès qu'on sort de l'Europe par contre.

Bienvenue 🙂

Bienvenue !

Est-ce qu'un réglage dans les permissions d'utilisateurs de DSM et des applications ne pourrait pas te permettre de t'affranchir de modifier ce fichier ?

Bienvenue, au plaisir de pouvoir t'aider !

Salut, Quel type de raid pour tes disques ? Bienvenue sinon 🙂

Si ton instance telegraf est bien directement hébergée sur la Freebox, n'arrives-tu pas à récupérer les données sans passer par du SSL ? Parce que vu que tu récupères les données par un script maison, je ne crois pas que tu aies de champ pour un introduire un certificat client à opposer au serveur SSL de ta Freebox. Qu'est-ce qui ne marche pas en l'état ? Quant à la teneur du message, ça donne juste la chaîne complète permettant de valider l'obtention du certificat jusqu'à une autorité compétente pour cela.

Bienvenue à toi ! 🙂

Bienvenue parmi nous ! Au plaisir de pouvoir t'aider 🙂

Bienvenue à toi, l'intention de se dégoogliser est louable, attention toutefois à l'hébergement de son serveur mail, ce n'est pas chose aisée 🙂

Tant mieux 👌

Aucun problème de mon côté en version 1.32 : Tu as récemment changé quelque chose ?

Hello, Content que tout fonctionne, et je pense que ça intéressera du monde oui vu le nombre d'abonnés Free sur ce forum. Et en effet, je privilégie toujours l'installation, quand c'est possible, d'une instance telegraf sur la machine à superviser et de garder une seule instance d'InfluxDB :)

Merci de ton retour @maxou56, ça confirme ce que je craignais, que l'onduleur, bien que reconnu par le NAS, ne donne aucun ordre à ce dernier. Et j'ai beaucoup de chance visiblement de ne jamais avoir eu le moindre souci avec mes disques... J'avais déjà essayé de contacter le support Eaton, par deux fois, jamais reçu le moindre retour. Je vais peut-être m'orienter vers un APC du coup...

@firlin : Je peux effectivement régler plus que mes pauvres 30 sec, c'était un réglage que j'avais mis il y a longtemps et que je n'ai pas touché depuis. J'avais mis une valeur faible pour être certain que le NAS puisse passer en mode sans échec à temps avant l'éventuel vidage des batteries de l'UPS. Mais c'est clair que je n'exploite pas la capacité de l'onduleur. Je vais suivre ton conseil. 🙂 @Antimousse : car je ne suis pas certain de ce que ça veut dire, vu que le NAS est passé en mode sans échec lors d'une coupure disons longue de 7 minutes si je suis le conseil de @firlin, est-ce que ça consiste juste à le repasser en mode fonctionnel (remontage des volumes, démarrage des services, etc...) ? Si le NAS est éteint, c'est que les batteries de l'UPS sont vides, que le NAS s'est arrêté dans la foulée faute d'énergie. Donc comment pourrait-il bien redémarrer à partir de ce moment si la coupure est toujours d'actualité ?

Bonjour à tous, Il m'arrive de recevoir une notification stipulant que le NAS a subi un arrêt incorrect, et c'est à près tout comme explication... Je suis équipé d'un UPS a priori compatible (Eaton ELLIPSE Pro 650 FR), lors de son achat, j'avais débranché l'alimentation et vérifié que le NAS restait alimenté. En revanche, j'aimerais être certain que le système entre en safe mode avant le vidage de la batterie éventuelle si cela devait advenir. La configuration de mon UPS : Ce qui m'intéresse dans ce cas-là c'est d'avoir des logs qui peuvent attester du démontage des volumes, de l'arrêt des services, etc... bref tout ce qui peut caractériser l'entrée du système en mode sans échec. Mon premier réflexe a été de consulter le centre des journaux, qui ne m'indique rien de plus que la notification... Je me suis ensuite connecté en SSH, et suis allé voir dans /var/log/, j'ai écumé les fichiers messages et dmesg, et une bonne partie de ce qu'on peut trouver dans le dossier /var/log/upstart/ mais rien n'a l'air de faire référence à une entrée en mode sans échec, seulement au reboot qui a eu lieu par après. Ce que je trouve étrange car je ne demande pas le reboot du NAS suite à une coupure... Bref, si quelqu'un a une piste pour m'aider à m'assurer que l'UPS fait correctement son job quant à l'envoi du signal sensé déclencher l'entrée en mode sans échec... Merci !

Salut, Bienvenue parmi nous ! 🙂

Est-ce que tu as bien précisé dans le fichier telegraf.conf sur la freebox dans [[outputs.influxdb]] l'adresse IP ou le nom de domaine de ton NAS ? On ne peut mettre influxdb que si l'instance de telegraf en question est sur le même réseau docker que l'instance d'influxdb. Autre chose, même si telegraf a l'air d'envoyer les données, tu peux voir dans les logs d'influxdb si des données sont effectivement reçues, exemple chez moi à l'instant je reçois des données de 3 instances distinctes de telegraf sur mon unique instance d'influxdb : Tu peux également te connecter au conteneur influxdb et vérifier si les tables sont remplies ou non, as-tu pensé d'ailleurs à créer manuellement un utilisateur et une base de données pour ta freebox ? Leur documentation est juste très bien faite si besoin : https://docs.influxdata.com/influxdb/v1.7/

De souvenir les DNS personnalisés sont déclarés dans les variables d'environnement DNS1 et DNS2.

Bienvenue à toi !

A la base je ne fonctionne pas par utilisateur dans le sens physique, étant le seul (ma femme de manière très occasionnelle) à y accéder. J'ai un utilisateur avec droits admin, un avec accès lecture seule sur les médias, un pour l'accès à ma bibliothèque calibre (lecture écriture dans ce dossier partagé), etc... Ça me permet d'éviter de disperser des droits sur des utilisateurs qui correspondraient à des personnes physiques. C'est un fonctionnement qui se prête bien à une utilisation mono-utilisateur, j'ai installé le NAS d'un ami dans un bureau d'architecture, où là je tends en revanche vers la centralisation des droits sur un seul et même utilisateur.

Moi j'étais parti sur un problème que j'ai rencontré sur Windows où je ne peux monter des dossiers distants via CIFS d'un même périphérique qu'avec un seul et même utilisateur. Alors que sur Linux, je peux préciser quel utilisateur est utilisé pour monter tel ou tel partage. Si quelqu'un a une solution à ce problème d'ailleurs...