Aller au contenu

.Shad.

Membres
  • Compteur de contenus

    6673
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    154

Tout ce qui a été posté par .Shad.

  1. @lordatao Je sais que j'avais rencontré un problème quand même que je n'avais pas réussi à solutionner. Cela dit, quelqu'un a eu le même problème que toi en Mai : https://forums.openvpn.net/viewtopic.php?t=32260, voir ici aussi : https://www.forum-nas.fr/viewtopic.php?t=11249 Ce sont déjà quelques pistes à explorer.
  2. Deluge via Docker sur ma Debian. Hébergé chez moi.
  3. Il est peut-être dans un dossier caché du /volume1, généralement précédé d'une @. Je n'ai pas Videostation d'installé, mais tu peux y jeter un oeil en SSH, tu peux ne rien casser à coup de "cd" et "ls -l". 😛
  4. 1. Préambule Ce tutoriel a pour but d'autoriser l'accès aux données du NAS via le protocole SMBv1 (ou NT1) sans pour autant impacter le niveau de sécurité d'accès au NAS. Cela permet d'assurer la compatibilité d'équipement qui n'auraient pas été mis à jour par leur fabricant. SMBv1 est un protocole déprécié et comportant des failles de sécurité. Lorsqu'il est possible de vous en passer, faites-le. 2. Prérequis Avoir un NAS compatible Docker, voir la liste ici. Savoir se connecter au NAS via SSH en root : Utiliser Docker-compose Avoir installé le paquet SynoCLI File Tools, pour ajouter le dépôt SynoCommunity voir la partie Easy Install sur cette page. IMPORTANT : Si vous souhaitez accéder aux dossiers partagés "music", "video", etc... à la racine tels quels, ça ne pourra pas fonctionner, il faudra monter des sous-dossiers de ces dossiers partagés. Autant prévenir de suite. 3. Principe Afin de ne pas devoir réduire drastiquement le niveau de sécurité du NAS en autorisant le protocole SMBv1, on va passer par un conteneur qui va monter uniquement les fichiers du NAS dont on a besoin, et qui lui, autorisera l'accès en SMBv1. Comme le NAS utilise déjà le port 445 pour parler SMB avec les autres périphériques du réseau, il n'est pas disponible, on va donc utiliser un réseau macvlan (voir point 11-A de mon tutoriel introductif à Docker). Ce réseau permet entre autre d'attribuer au conteneur une IP située sur le même sous-réseau que votre réseau local. En somme, il devient accessible comme n'importe quelle autre machine, avec une IP par exemple du 192.168.0.x. Comme il est fréquent de faire avec des machines virtuelles. Cela permet notamment d'utiliser des ports déjà utilisés sur le NAS, et facilite la détection par les autres appareils, car visible directement par tout le réseau. 4. Mise en place du réseau macvlan Je ne détaille pas cette étape, car elle est décrite avec précision au point 11-A-1 du tutoriel introductif. A noter dans ce tutoriel précis qu'il n'est pas nécessaire de mettre en application le point 11-A-2 qui s'attarde sur la création d'une interface virtuelle pour communiquer entre le NAS et le conteneur. Si vous avez déjà un réseau macvlan disponible, assurez-vous simplement de disposer d'une IP libre dans la plage utilisée. Et adaptez les hypothèses suivantes. 5. Hypothèses Je vais me baser sur la plage et le sous-réseau utilisés dans le tutoriel introductif : IP hôte (NAS) : 192.168.0.100 Passerelle : 192.168.0.1 Sous-réseau local : 192.168.0.0/24 (ou encore écrit 192.168.0.0/255.255.255.0) Plage macvlan : 192.168.0.144/28 (vous pouvez vérifier les IP que ça concerne ici : http://jodies.de/ipcalc) IP conteneur : 192.168.0.145 Les valeurs en orange sont directement héritées de la mise en place du réseau macvlan, et sont simplement répétées par rapport au tutoriel introductif dans un souci de contextualisation. Les valeurs en vert sont propres à votre installation et ce tutoriel. 6. Configuration 6-A. Fichier docker-compose On va créer le fichier docker-compose.yml qui va reprendre toute la configuration de notre conteneur. On va utiliser l'image servercontainers/samba. Elle met à disposition un serveur Samba entièrement configurable, accompagné d'Avahi et WSD pour qu'il s'annonce sur le réseau et le rendre consultable et visible dans Finder (Mac) et l'explorateur Windows. Il faut savoir que cette image a été améliorée suite à des propositions que j'ai faites à son créateur. Elle a été adaptée pour faciliter la compatibilité avec DSM et sa version particulière de Linux. Tout d'abord, on se connecte en SSH en root, puis on crée le dossier qui va contenir la configuration du conteneur mkdir -p /volume1/docker/samba/ && cd $_ mkdir conf On va ensuite créer le fichier docker-compose.yml en utilisant nano (ou le télécharger ici : docker-compose.yml et l'importer dans File Station au bon endroit). nano docker-compose.yml dont voici un modèle : version: '2.1' services: samba-nt1: image: servercontainers/samba container_name: samba-nt1 hostname: samba-nt1 networks: mac0: ipv4_address: 192.168.0.145 environment: ## Groups ## - GROUP_users=100 ## Accounts ## - ACCOUNT_media=motdepassemedia - UID_media=10XX - GROUPS_media=users ## Global variables ## - SAMBA_GLOBAL_CONFIG_server_SPACE_min_SPACE_protocol=NT1 - SAMBA_GLOBAL_CONFIG_ntlm_SPACE_auth=ntlmv1-permitted - SAMBA_CONF_MAP_TO_GUEST=Never ## Shares ## - SAMBA_VOLUME_CONFIG_music=[music]; path=/shares/music; guest ok = no; read only = yes; browseable = yes; valid users = media; force group = users volumes: - /volume1/music/bibliotheque:/shares/music - /volume1/docker/samba/conf:/etc/samba restart: unless-stopped networks: mac0: external: true 6-B. Personnalisation des paramètres 6-B-1. Général Dans un fichier docker-compose, il n'y a pas de tabulation, uniquement des espaces, et il est important de respecter l'indentation (l'alignement). Les sauts de lignes ou le nombre d'espaces que vous mettez pour décaler les items n'a en revanche aucun impact, assurez-vous juste que ce soit lisible. hostname : cette variable est importante ici car c'est le nom que vous verrez apparaître dans la découverte de réseau de Windows. Cette chaine de caractères est automatiquement convertie en majuscules sous Windows, évitez les caractères exotiques. ipv4_address : c'est l'adresse IP que j'attribue manuellement au conteneur, c'est la première disponible dans la plage que j'ai choisie pour mon réseau macvlan nommé mac0. GROUP_users : On va définir au sein du conteneur un group "users", celui-ci correspond au groupe auquel appartient naturellement votre/vos utilisateur(s) du NAS. On lui donne la valeur de 100 car c'est le gid du groupe users sur DSM également. Si pour une raison ou un autre vous utilisez un groupe personnalisé, vous devez déterminer le GID affilié à ce groupe. Pour cela, tapez en SSH : cat /etc/group | grep nom_du_groupe Il faudra utiliser le nombre à la fin de la ligne en sortie de commande. ACCOUNT_media, UID_media et GROUPS_media : Voir paragraphe 6-B-3. SAMBA_GLOBAL_CONFIG_server_SPACE_min_SPACE_protocol : En lui donnant une valeur NT1 on autorise SMBv1 comme protocole minimal, depuis Samba 4.x le protocole minimal est SMB2. NT1 est le nom officiel de SMBv1. SAMBA_GLOBAL_CONFIG_ntlm_SPACE_auth : Il faut également autoriser l'authentification NT1. SAMBA_CONF_MAP_TO_GUEST : On ne souhaite pas que les utilisateurs soient automatiquement redirigés sur guest en cas de mauvais nom d'utilisateur ou de mot de passe. Donc on désactive la directive. SAMBA_VOLUME_CONFIG_music : voir 6-B-4. volumes : voir 6-B-2. restart: unless-stopped : Le conteneur redémarre quand il s'arrête suite à une erreur, si le service Docker ou le NAS redémarrent. Sauf si on l'a arrêté manuellement. networks : Je dois définir la nature du réseau mac0 invoqué plus haut pour le paramètre ipv4_address. Il a été créé extérieurement au conteneur, ce que je précise par le paramètre external: true. 6-B-2. Volumes Pour revenir au point abordé dans les pré-requis, et sans rentrer dans les détails, l'utilisation de cette image avec DSM possède quelques limitations : Il n'est pas possible de monter directement un dossier partagé à la racine : par exemple dans mon fichier docker-compose, je monte /volume1/music/bibliotheque et pas /volume1/music dans /shares/music. Cela vient des permissions UNIX qui sont inexistantes au niveau des dossiers partagés du point de vue de l'utilisateur root, c'est la surcouche d'ACL qui gère les permissions. Par conséquent, les permissions UNIX doivent être suffisantes pour garantir un fonctionnement adéquat. Prenons un exemple : ls -l /volume1/music Les permissions UNIX pour le dossier "bibliotheque" par exemple sont définies par les caractères qui se situent à gauche du "+" : drwxr-xr-x. Cas d'utilisation : Pour traverser les dossiers et lire en lecture seule avec un utilisateur authentifié, il faut a minima : dr-x------ pour un dossier (-r-x------ pour un fichier). Pour traverser les dossiers et lire/écrire avec un utilisateur authentifié, il faut a minima : drwx------ pour un dossier (-rwx------ pour un fichier). NON RECOMMANDÉ : Pour traverser les dossiers et lire en lecture seule avec un utilisateur guest (non authentifié), il faut a minima : d------r-x pour un dossier (-------r-x pour un fichier). NON RECOMMANDÉ : Pour traverser les dossiers et lire/écrire avec un utilisateur guest (non authentifié), il faut a minima : d------rwx pour un dossier (-------rwx pour un fichier). Je ne recommande pas les deux derniers cas d'utilisation, car SMBv1 est un protocole déprécié et ayant des failles de sécurité. Or SMB de manière générale est sûrement le moyen le plus simple d'infecter un NAS. Néanmoins, cela peut avoir son utilité par exemple pour des imprimantes d'ancienne génération, qui stocke des éléments scannés dans un répertoire du NAS via SMBv1. L'utilisation d'un guest doit rester exceptionnelle. NOTE : Avoir d------rwx n'implique pas qu'un guest aura forcément accès aux données du partage, on peut tout à fait désactiver l'accès guest par la configuration du partage (voir point 6-B-4), limiter l'accès à certains partages à certains utilisateurs uniquement, etc... c'est simplement une condition nécessaire, mais non suffisante. En revanche, si vous n'avez pas ces permissions a minima, activer le guest n'aura aucun effet. Voilà un type de montage qu'on pourrait vouloir faire : volumes: - /volume1/music/bibliotheque:/shares/music - /volume1/video/films:/shares/films - /volume1/video/series:/shares/series - /volume1/famille/documents:/shares/documents On doit aussi s'assurer d'avoir monté le dossier dans lequel se trouvera le fichier de configuration smb.conf créé par le conteneur lors de sa mise en route : - /volume1/docker/samba/conf:/etc/samba 6-B-3. Utilisateur Pour faciliter le bon fonctionnement du conteneur, il est recommandé de créer des utilisateurs dont le nom existe déjà dans DSM. Dans mon cas, j'ai un utilisateur media qui est propriétaire de tous les fichiers multimédias (musique et vidéo). ls -l /volume1/music/bibliotheque Au sein d'un même partage (par exemple le contenu musical), il est recommandé qu'un seul et même utilisateur soit propriétaire de tous les fichiers. Ca ne changera rien dans DSM car le système a sa propre couche d'ACL qui détermine les permissions de chacun, et ça facilitera l'exploitation du conteneur. Pour unifier le propriétaire d'un ensemble de fichiers et dossiers, c'est très simple, on va dans File Station, on sélectionne les éléments dont on souhaite changer la propriété, clic droit, Propriétés. En bas de la fenêtre, on choisit le propriétaire. Si on a sélectionné un dossier, on peut cocher la case "Appliquer à ce dossier, ses sous-dossiers et ses fichiers" pour que les enfants héritent du même propriétaire. NOTE : Si vous sélectionnez à la fois des dossiers et des fichiers, il se peut que le cadre Propriétaire n'apparaisse pas. Limitez votre sélection et ça marchera. Je vais donc créer un utilisateur media dans le conteneur via la variable d'environnement : ACCOUNT_media. La valeur de cette variable est le mot de passe pour l'utilisateur media dans ce conteneur. NOTE : Ce mot de passe ne doit pas être le même que celui pour l'utilisateur media du NAS ! En effet, le conteneur aura ses propres accès. La documentation de cette image permet de chiffrer ce mot de passe, pour ma part je n'en vois pas l'intérêt. Car pour accéder à ce fichier, l'utilisateur doit déjà avoir infecté le NAS. Cacher ses clés dans la maison n'a pas d'intérêt s'il y a déjà effraction. Concernant la variable UID_media, il s'agit de l'ID de l'utilisateur. Il est pratique d'utiliser le même UID que celui de l'utilisateur du NAS. Pour récupérer cet UID, il suffit de taper en SSH : id media Dans mon cas c'est 1035, dans tous les cas c'est strictement supérieur à 1025. Enfin, pour GROUPS_media, on lui donne la valeur users, par défaut l'utilisateur appartient à un groupe identique à son nom d'utilisateur. Pour DSM, le groupe users est le groupe par défaut pour les utilisateurs. On s'assure une meilleure compatibilité avec les ACL. Au final, en configurant ces trois variables, on assure la création d'un utilisateur qui pourra se servir des droits utilisateurs accordés par les permissions UNIX et ne fâchera pas les ACL de DSM. REMARQUE : Il est tout à fait possible de créer plusieurs utilisateurs, par exemple si vous décidez de monter l'espace personnel d'un utilisateur du NAS, ou simplement parce que tous les fichiers de vos partages n'appartiennent pas à un seul et même utilisateur. Exemple : - ACCOUNT_media=motdepassemedia - UID_media=1035 - GROUPS_media=users - ACCOUNT_lolita=motdepasselolita - UID_lolita=1031 - GROUPS_lolita=users 6-B-4. Configuration des partages La configuration des partages se fait via la variable d'environnement SAMBA_VOLUME_CONFIG_music (pour un partage qui se nommerait "music"). La valeur associée peut paraître étrange avec ses points virgule, mais ça représente juste un saut de ligne dans ce qui correspond habituellement à la configuration d'un partage SMB. Voyons plus en détail : path=/shares/music : correspond à l'emplacement qu'on a indiqué dans le montage de volume, c'est le chemin DANS le conteneur. [music] : c'est le nom du partage tel que vous le verrez dans votre explorateur. Vous pouvez utiliser des majuscules et des espaces ici. guest ok : prend la valeur "yes" ou "no", dans le premier cas lorsque vous vous connecterez aucun mot de passe ne vous sera demandé. Valeur recommandée : no. read only : est assez explicite, prend la valeur "yes" ou "no". En SMBv1, préférez la lecture seule. browseable : permet de voir apparaître le partage dans les onglets de découverte du réseau. valid users : permet de définir quel(s) utilisateur(s) sont autorisés à accéder au partage. Pour ajouter plusieurs utilisateurs, les séparer par une virgule. Si tous les utilisateurs peuvent accéder au partage, il n'est pas nécessaire d'utiliser cette directive. force group : Par défaut, ce sera l'utilisateur media/media qui écrira quand on est connecté avec cet utilisateur, on souhaite que le groupe par défaut soit users, d'où la valeur forcée à "users" pour ce paramètre. Autres directives majeures disponibles : comment : permet de décrire notre partage, majuscules autorisées. directory mask : permet de définir quelles seront les permissions UNIX par défaut lors de la création d'un dossier. Exemple : create directory mask = 0755 => les dossiers auront les permissions suivantes : drwxr-xr-x. Voir la page Wikipédia (Fonctionnement - Représentation des droits) pour plus d'information : https://fr.wikipedia.org/wiki/Permissions_UNIX create mask : même chose pour un fichier. guest only : nécessite d'avoir réglé guest ok sur "yes" au préalable. Accès guest seulement (pas d'authentification). Il existe énormément de paramètres configurables pour un partage SMB, voir la liste ici : https://www.samba.org/samba/docs/current/man-html/smb.conf.5.html Tout est maintenant configuré. On n'a plus qu'à sauvegarder le fichier docker-compose (sous nano, CTRL+O puis Entrée pour sauvegarder, CTRL+X pour sortir de l'éditeur). 7. Création du conteneur Pour créer le conteneur, on vérifie qu'on se trouve toujours dans /volume1/docker/samba et on tape : docker-compose pull Ce qui va télécharger la dernière version de l'image. Puis : docker-compose up -d Si pas d'erreur à la création (souvent dues à des caractères de tabulation, une directive dans le fichier docker-compose mal orthographiée ou désalignée, etc...), vous verrez un petit done apparaître en vert. Si browseable a été activé, on voit le partage dans la découverte réseau : Tous les autres moyens habituels pour accéder à un partage SMB sont actifs (connecter un lecteur lecteur réseau, smb:// via Finder, etc...). MàJ : 13/01/2022
  5. Attention, car il y a eu un scandale l'année dernière à ce sujet : https://www.macg.co/materiel/2020/09/western-digital-reinvente-la-definition-de-tours-par-minute-pour-ses-disques-durs
  6. Tu as essayé de taper tes messages d'erreur sur Google ?
  7. @toutnickel Ils donnent la raison du retrait en premier point du lien donné par @maxou56 :
  8. Back to 1998 là 😄 J'ai plus lu ce mot depuis les années 2000 je crois. 🤔
  9. Difficile de faire plus vague comme question.
  10. .Shad.

    glpi et dsm 7.0

    Sûrement définitif, s'orienter vers Docker si ton NAS est compatible : https://hub.docker.com/r/diouxx/glpi
  11. @maxou56 Tu as raison. Reste que ma demande est toujours valable. 😄
  12. Salut, Je suis arrivé aux mêmes conclusions que toi. Pour ma part mon serveur OpenVPN est aussi en 2.5 sur mon pare-feu pfSense, et je n'ai plus de compression dans la configuration du serveur, ni dans les fichiers de configuration des clients.
  13. .Shad.

    Écouter la radio en ligne

    Ca sent plutôt le spam non ? 😛
  14. Si quelqu'un a un périphérique type Sonos ou autre qui ne fonctionne qu'en SMBv1, j'ai quelques tests à conduire pour une solution que j'ai mise en place via Docker. Ca consiste à ne pas toucher aux réglages de DSM tout en ayant accès en SMBv1 aux dossiers partagés du NAS. N'ayant aucun périphérique de ce type, je ne peux pas être conduire moi-même les tests et vérifier que tout est fonctionnel. Si volontaire il y a, me MP. PS : Il faut un NAS compatible Docker.
  15. Normalement Photostation émet bien sur les ports 80 et 443 (80 du moins j'en suis certain). Quand tu dis que tu atteins les autres applications en HTTPS, c'est via quelle adresse si tu n'utilises pas le proxy inversé et le portail de connexion (donc pas de port ou de domaine personnalisé) ? Pour ma part j'utilisais une bête entrée de proxy inversé pour les apps web de DSM (Photostation et phpMyAdmin notamment) : https://nas-apps.ndd.tld:443 -> http://localhost:80 et j'y accédais via https://nas-apps.ndd.tld/photo et https://nas-apps.ndd.tld/phpMyAdmin
  16. .Shad.

    Présentation cnonob

    Bienvenue parmi nous ! 🙂
  17. .Shad.

    Présentation ZD67

    Bienvenue parmi nous !
  18. Il faut appuyer sur F12, puis onglet "console" normalement. 😉
  19. Ce n'est pas lié au port sur lequel est exposé PhotoStation, c'est le port utilisé lors d'un partage de lien photo par exemple. @toutnickel Que dit la console développeur de ton navigateur ? c'est une erreur 404 ?
  20. .Shad.

    [Tuto] Reverse Proxy

    @oracle7 Des arguments en sa faveur il y en a plein, je m'en rends compte fréquemment vu que je l'utilise depuis plus d'un an : - Gestion et renouvellement automatique du certificat - Possibilité d'éditer intégralement les configurations Nginx sans craindre qu'elle soient écrasées à la suite d'une màj d'OS ou de paquet - Configurations préexistantes de proxy inversé pour un grand nombre d'applications - Fail2ban à la demande pour toutes les applications, pas seulement celles de DSM - Surcouches d'authentification possibles : http, ldap et authelia (2FA, 1FA à la demande) Actuellement sur DSM, si tu dois traiter différemment l'url application.ndd.tld de application.ndd.tld/admin, tu oublies de le faire via l'interface. Et je suis pas sûr qu'une modification par terminal persiste à un redémarrage du paquet. Le proxy inversé de DSM est tout sauf mauvais, mais il ne tient pas la comparaison face à SWAG selon moi.
  21. Si ça marchait bien en DSM 6, pas de raison que ça change en DSM 7. En tout cas j'ai des sauvegardes croisées entre 3 NAS, et aucun problème à déplorer de mon côté. Je crois me souvenir que @maxou56 avait rencontré des soucis de destination en utilisant un identifiant QuickConnect ? je confonds peut-être, il me corrigera au besoin. 😛
  22. .Shad.

    [Tuto] Reverse Proxy

    Il faudrait idéalement que j'étoffe la section f2b (et que j'ajoute l'implémentation de f2b-discord, que j'utilise depuis qu'on a regardé ça ensemble 😉). Mais je crois que ce tutoriel décourage déjà les meilleures volontés, je ne vais pas en rajouter une couche. 😄
  23. Dans quel état Synology Assistant voit-il le NAS sur le réseau ? (s'il le détecte bien)
  24. .Shad.

    Présentation Uhgo

    Tout ce qui est virtualisation et conteneurisation est indépendant de la plateforme à quelques détails près. Donc tu devrais pouvoir trouver ton bonheur sur notre forum. 😉
  25. .Shad.

    Présentation mrb

    Bienvenue ! 🙂
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.